Une simple affaire de meurtre ! est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Jacob et d'Evie Frye, revécue par un Initié à travers Helix.
Description[]
Jacob et Evie arrivèrent sur une scène de crime à Whitechapel.
Dialogue[]
- Artie: Seigneur. Ça prend mauvaise tournure, n'est-ce pas ?
- Raymond: Ce qui est certain, c'est qu'il n'y a pas là matière à un bon roman.
- Evie: Que s'est-il passé ?
- Raymond: Ah ! Voilà les charmants jumeaux Frye.
- Jacob: Qui êtes-vous ?
- Artie: Mr Raymond connaît tout le monde. Il sait absolument tout sur cette ville. Et il écrit tout dans ses livres.
- Raymond: Je suis Henry Raymond. Auteur de médiocres récits à sensation. En d'autres termes, des penny dreadfuls. Et voici le jeune Artie.
- Artie: Mr Raymond s'inspire de vrais meurtres pour les rendre passionnants. Le coupable se fait toujours prendre !
- Raymond: Et l'un d'eux vient de se dérouler ici-même. Peut-être voudriez-vous tenter de le résoudre ?
- Artie: Je trouve le crime délicieusement divertissant, pas vous ? Je parle des enquêtes, bien entendu.
Interrogatoire[]
Entrepôt[]
- Mr Freems (Corps): À mon arrivée, j'ai trouvé le corps du contremaître... et le petit Dooley avait les mains pleines de sang. Personne n'a réussi à trouver l'arme du crime ou l'identité du meurtrier. Pouvez-vous régler ça, s'il vous plaît ? Ça retarde le travail.
- Mr Freems (Ouvriers): Les gamins ne sont pas faciles et il faut bien que quelqu'un les tienne. Si seulement les adultes cessaient de se bagarrer !
- Buck (Corps): Quand je suis revenu, le type était là, mort, et Dooley tenait un couteau ! S'il vous plaît, ne l'arrêtez pas !
- Buck (Dooley): J'étais là, debout, à penser à je ne sais plus quoi, quand quelqu'un est venu me donner une raclée. Dooley a essayé de l'arrêter et le type s'en est pris à lui ! Je suis parti chercher de l'aide.
- Dooley (Corps): Il m'a fait tomber et il m'a donné un coup de pied. J'ai eu peur. Alors, j'ai trouvé mon couteau de travail et je l'ai pris. J'ai tendu les mains pour me protéger et l'autre m'a assommé. Quand je me suis réveillé, je l'ai trouvé là, mort !
- Dooley (Buck): C'est mon frère. Comme ce n'est pas un acharné du travail, l'un des ouvriers l'a cogné. J'ai essayé de l'en empêcher, alors l'autre, il a arrêté de taper sur Buck pour me cogner moi !
Indices[]
Entrepôt[]
- Corps de Wilkins - Profonde entaille à la poitrine. Un foulard recouvre le visage de la victime.
- Couteau - Petit couteau avec l'initiale "D" grossièrement gravée sur le manche.
- Lettre - "Il a été porté à notre attention que l'un de vos ouvriers, un certain Mr Coulton, bat les enfants que vous employez. Cette situation préoccupe notre société de protection, comme elle aussi vous préoccupe sans doute aussi. Nous vous prions de veiller à ce que cessent de telles pratiques. - Miss Clara O'Dea"
Dialogue[]
Jacob ou Evie lança une accusation contre le jeune Dooley.
- Dooley: Moi ? Non !
- Raymond: Oh, non, non ! Pas si vite ! Vous avez certes résolu ce meurtre avec les éléments dont vous disposiez. Cependant... Artie, qu'est-ce que tu conseillerais ?
- Artie: Je vous inviterais à aller au-delà des apparences, à chercher ce qui se cache sous la surface.
- Raymond: Essayez de nouveau. Utilisez vos talents pour aller au fond des choses et découvrir la vérité.
Interrogatoire[]
Entrepôt[]
- Mr Freems (Wilkins): Wilkins n'était pas du genre à battre les enfants. Au contraire, il jouait souvent des poings pour empêcher ce genre ce chose.
- Mr Freems (Foulard): Les vapeurs sont assez denses à la brasserie. Lorsque les hommes y travaillent, ils portent des foulards. Mais à l'entrepôt, ils n'en mettent pas.
Cour au charbon[]
- Taylor (Empreintes de pas): On travaillait ici, Wilkins et moi. On a entendu crier. Wilkins est allé voir ce qui se passait et n'est jamais revenu. J'y suis allé à mon tour et je l'ai trouvé, mort ! Je n'ai pas demandé mon reste. Je me suis carapaté. On aurait pu croire que c'était moi !
- Taylor (Foulard): Ce qui est étrange, c'est que Wilkins ne portait pas de foulard quand il était avec moi. Seuls ceux qui sont à la brasserie portent des foulards. Allez voir Morris, là-bas.
- Taylor (cigarette): Je ne fume plus depuis plusieurs mois. Mais ce matin, j'ai aperçu quelqu'un de la brasserie qui fumait. Sauf que je n'ai pas vu qui c'était.
Entrée de la brasserie[]
- Morris (Foulard): Eh bien, je suis resté dans la brasserie toute la journée. Avec mon bandana sur la figure. C'est nécessaire, avec ces odeurs et ces vapeurs...
- Morris (cigarette): Je ne sais pas trop qui fume ou qui ne fume pas ici. Peut-être Taylor ? C'est peut-être sa cigarette.
- Morris (cigarette): Eh bien, comme je l'ai dit, j'étais à l'intérieur. Je n'ai pas eu l'occasion de sortir pour fumer. Coulton est sorti, lui. Allez lui demander. Il est à l'endroit où on charge, en ce moment.
Zone de chargement[]
- Coulton (Wilkins): Je discutais avec quelqu'un quand j'ai entendu du bruit. Je suis allé voir et j'ai trouvé Wilkins, mort. Le pauvre, tué par cette sale petite ordure qu'on nourrit et qu'on paie !
- Coulton (cigarette): Je n'ai jamais fumé. Jamais.
- Coulton (cigarette): Oh, d'accord. Je fume de temps à autre. Quelle importance ?
Jacob ou Evie accusa Coulton du meurtre.
- Coulton: C'est moi qui devrais être contremaître ! Wilkins était une vraie mère poule avec ces gamins. Il a voulu m'empêcher d'en rappeler un à l'ordre.
- Artie: Ça a été beaucoup plus compliqué qu'on aurait pu l'imaginer ! Bravo !
Indices[]
Entrepôt[]
- Empreinte de pas moyenne - Empreinte d'une chaussure d'ouvrier de taille moyenne. Elle est marquée par des fragments et de la poussière de charbon, ce qui permet de suivre les traces.
- Grande empreinte de pas - Empreinte de pas d'ouvrier de grande taille.
Entrée de la brasserie[]
- Mégots - Mégots de cigarettes.
- Grande empreinte de pas - Empreinte de pas d'ouvrier de grande taille.
Zone de chargement[]
- Mégots - Mégots de cigarettes.
Galerie[]
Conclusion[]
Identité du coupable et résumé de l'affaire
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Le coupable était Coulton, en froid avec son supérieur, Wilkins.
Résumé de l'affaire Une altercation entre un enfant et un ouvrier s'achève par la mort de ce dernier ! Le garçon se rappelle avoir sorti son couteau, mais pas le meurtre. A-t-il tué ? Non ! En réalité, l'ouvrier décédé, un dénommé John Wilkins, a entendu crier et s'est précipité pour apporter son aide. À son arrivée, il a trouvé le garçon inconscient et un autre ouvrier, Tom Coulton, debout et indemne. Mais Coulton, qui avait depuis longtemps une dent contre Wilkins, a saisi l'occasion et frappé l'homme à l'aide du couteau du garçon. Il a ensuite apposé son foulard sur le visage de Wilkins ! Coulton a su réagir vite, mais ça ne l'a pas sauvé : il a été démasqué ! - Henry Raymond |