Wiki Assassin's Creed
Advertisement
Wiki Assassin's Creed
Cette page concerne la mémoire de Basim. Peut-être recherchez-vous la mémoire de Kassandra ?

Un nouveau départ est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Basim Ibn Ishaq.

Description[]

Basim suivit la formation de Ceux qu'on ne voit pas à Alamut.

Dialogues[]

Basim, torse nu, qui avait plongé dans un lac, baissa les yeux et aperçut le djinn dans le fond, qui tenta de s'approcher de lui. Il remonta rapidement à la surface et sortit ensuite du lac.

  • Basim : Un nouveau jour. Une nouvelle épreuve. Je ferais mieux de rentrer…

Alamut, deux mois plus tard

Il observa la forteresse d'Alamut, au loin.

  • Basim : La forteresse d'Alamut me laisse sans voix… C'est comme si elle avait surgi des hikayat (contes) qu'on me racontait quand j'étais enfant.

Basim rejoignit Roshan, qui discutait avec un autre apprenti.

  • Roshan : Si tu n'as pas confiance en toi, qui t'accordera la sienne ?

L'apprenti s'en alla.

  • Roshan : Te voilà. Es-tu prêt ?
  • Basim : Je… Je crois.
  • Roshan : Chasse le passé de ton esprit. Il est sans effet sur le présent.

Basim s'inclina.

  • Roshan : Habille-toi et nous commencerons.

Une fois en tenue, Basim se présenta face à une falaise dans le but de l'escalader.

  • Roshan : Vas-y, Basim. Comme à l'entraînement.
  • Basim : Oui, Maître.

Basim entama l'ascension de la paroi rocheuse.

  • Novice : Tu as l'air en forme, Basim ! Continue comme ça !

Au sommet, il s'avança sur la poutre.

  • Basim : Du calme, Basim. Tout va bien.
  • Roshan : Saute ! Allez !
  • Basim : Oui, maître !

Basim tenta le saut de la foi, mais ne le réussit pas.

  • Roshan : J'en ai vu assez. Nous réessaierons demain.
  • Basim : J'étais serein.
  • Roshan : Ton corps le montre clairement. Tu te laisses trop facilement distraire. Le Saut de la foi est une étape cruciale et incontournable de ton parcours d'initiation. C'est l'un des rites les plus sacrés, les plus ancestraux de la Confrérie. Pour l'effectuer avec succès, tu dois centrer ton esprit, ton corps et ton âme. Accueille la peur. Dompte-la. Trouve la sérénité. Et lance-toi.
  • Basim : Oui, maître.
  • Roshan : Bon, rentrons au campement.

Basim suivit Roshan.

  • Basim : Puis-je vous poser une question ?
  • Roshan : Tu peux.
  • Basim : À Anbar, au palais, j'ai été témoin d'une rencontre entre le calife et cinq hommes masqués. Des membres de l'Ordre. Le calife devait protéger l'objet qu'ils avaient découvert, mais ignorait ce qu'ils comptaient en faire. Il ne connaissait même pas leurs noms. Pourquoi l'homme le plus puissant de Bagdad s'est-il incliné de la sorte devant ces gens sans visage ?
  • Roshan : L'Ordre exerce une emprise sur de tels hommes, et leurs empires, depuis des siècles. Et cela en les persuadant de sa vérité, qu'il est l'arbitre naturel du monde. Le calife n'était que leur pantin, tout comme celui ou celle qui lui succédera. Le califat tout entier est sous l'influence de l'Ordre.

Ils arrivèrent au camp.

  • Roshan : Basim, parle à Fuladh, vois s'il a besoin d'aide. Nous poursuivrons ton instruction plus tard.
  • Basim : Bien, maître.

Roshan s'adressa à un autre membre.

  • Roshan : As-tu vu mentor Rayhan au campement ?
  • Novice : Il se prépare à recevoir l'émissaire des Tahirides, maître.
  • Roshan : Merci.

Basim s'adressa à Tabid, un membre de Ceux qu'on ne voit pas.

  • Basim : Bonjour, Tabid !
  • Tabid : Bonjour, Basim.
  • Basim : Que t'arrive-t-il ?
  • Tabid : À vrai dire, je me sens frustré. L'Ordre ne cesse de se renforcer à Bagdad depuis le décès du calife. Et nous, nous demeurons sur cette montagne.
  • Basim : Mentor Rayhan sait certainement ce qu'il fait…
  • Tabid : Je manque peut-être de confiance.
  • Basim : Aurais-tu vu Fuladh ?
  • Tabid : Il doit être dans son bureau, comme d'habitude. Quoi qu'il en soit, je dois me remettre au travail.
  • Basim : Araka Lahikan (À plus tard) !

Basim s'adressa également à Nur.

  • Basim : Comment va Nur, l'aigle courageux ?
  • Nur : Va-t-il tomber ou s'élever ?
  • Basim : Tu vas t'élever, ya sadiki (lami) ! Inch Allah (Si Dieu le veut) !
  • Nur : Merci. Nous nous ressemblons par l'esprit, tu sais.
  • Basim : Qu'est-ce qui te fait dire ça ?
  • Nur : L'un des Banu Musa était fâché après toi et tu es resté de marbre. Te souviens-tu ?
  • Basim : Je n'ai jamais touché à son marteau.
  • Nur : Tu as refusé de t'excuser pour quelque chose que tu n'avais pas fait. Je respecte ça… Aussi entêté que moi !
  • Basim : On m'a traité de bien pire. As-tu vu Fuladh au campement ?
  • Nur : Je l'ai vu qui discutait avec Ahmad près de sonbureau.
  • Basim : Araka Lahikan (À plus tard) !

Basim se rendit au bureau de Fuladh, en discussion avec Ahmad.

  • Fuladh : J'aurai peut-être à t'en reparler.
  • Ahmad : Bien entendu !

Fuladh examine une carte et désigne un symbole qui y est dessiné.

  • Fuladh : Ah, qu'y a-t-il dans ce coin, là ? Dis-moi… Un petit dessin ?
  • Ahmad : C'est ma signature. Afin que tu saches que c'est moi qui ai fait ça et pas Al-Hasan ou pire, Abu Jafar !

Fuladh le dévisage.

  • Ahmad : Je plaisante, bien sûr. Wada'an !

Ahmad s'en va, saluant Basim au passage.

  • Fuladh : Ah, Basim. Comment vas-tu ?

L'aigle Enkidou, posté sur son perchoir dans le bureau, émet des petits cris.

  • Fuladh : Oui, Enkidou ! Tu vas manger ! il est intelligent. Et l'intelligence est censée rimer avec patience ! Ce qui me rappelle quelqu'un…
  • Basim : N'aurais-tu pas parlé à maître Roshan ?
  • Fuladh : Sois patient… Veille à faire des progrès.
  • Basim : Je m'y applique sans cesse. Roshan m'a demandé de venir te voir.
  • Fuladh : Ah, oui ! Rebekah a besoin de lanières de cuir. Peux-tu aller en chercher dans les réserves ?
  • Basim : Tout de suite, Fuladh.
  • Fuladh : Araka Lahikan (À plus tard) !

Basim se rend dans les réserves et cherche les lanières de cuir.

  • Basim : Ce n'est pas ça.

Il examine autre chose.

  • Basim : Ce n'est pas simple de trouver quelque chose ici

Il trouve une lettre.

N'oublie pas les plumes

Fuladh,

Aie soin de rappeler aux Bureaux de Bagdad de faire parvenir chaque plume ensanglantée et compte rendu de mission à Alamut. Chacune de ces plumes est une victoire et elles doivent être recueillies et faire l'objet d'une chronique, pas fermenter dans le marais de l'histoire. Il ne s'agit pas d'une simple cérémonie. Les générations à venir de ceux qu'on ne voit pas examineront nos archives à la recherche de références. Notre passé doit instruire notre avenir, nous ne pouvons le laisser s'effacer.

- Mentor Rayhan

Un autre élément.

  • Basim : Non, ce n'est pas une lanière de cuir.

Basim récupère les lanières de cuir et surprend une discussion entre un émissaire des Tahirides et le mentor Rayhan.

  • Émissaire des Tahirides : Ces forces au sein même du califat commencent à peser lourdement sur nous.
  • Rayhan : Des forces ? Tu veux parler de l'Ordre, Aban.
  • Émissaire des Tahirides : Je… je ne peux parler que de ce dont j'ai connaissance, ya sadiki (mon ami). Le calife entend se débarrasser des rebelles, et vous, vous persistez à les soutenir… Par conséquent, nous sommes dans une impasse, nous ne pouvons pas vous protéger contre la… "réaction" du califat.
  • Rayhan : Les rebelles nous fournissent des informations à Bagdad. Nous serions aveugles, sans eux.
  • Émissaire des Tahirides : Quoi qu'il en soit, aveugles ou pas, le gouverneur Mohammed est avide de montrer qu'il peut rapidement venir à bout de cette rébellion.
  • Rayhan : Ça, je n'en doute pas.
  • Émissaire des Tahirides : Je suis venu vous prévenir. La situation évolue vite à Bagdad. Vous risquez de devoir agir plus tôt que prévu.
  • Rayhan : J'entends bien tes paroles, Aban.

Les deux hommes s'éloignent.

  • Basim : Ainsi, les Tahirides qui dirigent ces terres représentent l'unique protection d'Alamut contre une attaque d'ampleur. La paix est fragile. Combien de temps durera-t-elle ?

En chemin pour aller voir Rebekah, Basim s'adresse à l'un des ouvriers qui travaille à Alamut.

  • Basim : Alors, comment se passent les travaux ?
  • Ouvrier : Ah, c'est plus long qu'on ne le prévoyait, ya Sayyidi.
  • Basim : Cela doit être agaçant.
  • Ouvrier : Mentor Rayhan est un homme sage, mais il parle de cette montagne comme si nous étions destinés à bâtir ici. Nous nous montrons patients et appliquons ses ordres.
  • Basim : Maître Roshan dit toujours qu'on ne doit pas se hâter de retourner à Madinat as-Salam (la cité de la Paix).
  • Ouvrier : Je prendrai moi aussi mon temps. Bagdad a… a bien changé. Cette ville grouille de dangers.

Basim retrouve Rebekah, qui travaille à sa forge.

  • Basim : Rebekah ?
  • Rebekah : Basim, Basim… Es-tu encore à errer sans but dans le campement ?
  • Basim : Non, j'ai ce morceau de cuir pour toi. Fera-t-il l'affaire ?

Elle le prend et se remet au travail.

  • Rebekah : Apparemment tu as dépassé le stade des épées en bois. J'ai protesté, mais… Roshan a insisté.

Rebekah lui donne une dague.

  • Rebekah : Voici ta dague.

Basim la soupèse avant de la ranger.

  • Rebekah : Et ton épée. Je suis fière d'y avoir travaillé.

Basim récupère l'épée et effectue quelques passes. Elle semble lui plaire.

  • Basim : Cette lame a du tempérament !
  • Rebekah : Je n'ai pas l'habitude de créer des armes banales !
  • Basim : Je suis ton débiteur. Je ne m'attendais pas à recevoir de nouvelles armes !
  • Rebekah : Pour me remercier, utilise-la contre l'Ordre. Qu'il ressente le tranchant de son… "tempérament" ! Roshan a dit que ton instruction n'était pas terminée. Va lui montrer ta nouvelle épée !
  • Basim : Je brûle d'impatience !

Un novice salue Basim.

  • Novice : Sois béni, Basim.
  • Basim : Comment va ton instruction, ya sadiki ?
  • Novice : Nur m'a montré une autre manière de tenir mon couteau et à présent, je suis beaucoup plus précis ! Quand on le lance comme ça, il touche sa cible à tous les coups, et de façon meurtrière ! Dois-je te rappeler comment on se sert d'une lame ?

Basim s'entraîne au lancer de couteaux et atteint toutes les cibles.

  • Novice : Ya ilahi (mon Dieu) ! Bien joué ! Tu me donnes envie de m'entraîner davantage !
  • Basim : C'est bien ce qu'il faut faire, ya sadiki !

En rejoignant le lieu d'entraînement, Basim s'adresse à un autre ouvrier.

  • Basim : Assalamou 'aleïkoum, ya sadiki ! (La paix soit avec toi, mon ami !)
  • Ouvrier : Wa 'aleïkoum assalam ! (Et avec toi aussi !) C'est Fuladh qui t'envoie ?
  • Basim : Ma foi, non.
  • Ouvrier : Tu n'es pas là pour aider à déplacer ces pierres ?
  • Basim : Ah ça, je suis certain qu'on ne me l'a pas demandé.
  • Ouvrier : Pardonne-moi, mais je n'ai pas le temps de bavarder. Il faut que je règle ça. Alors si tu veux bien…
  • Basim : Je te laisse à ta tâche, alors.

Un autre.

  • Basim : Assalmou 'aleïkoum, ya sayyidi (La paix soit avec toi).
  • Ouvrier: Wa 'aleïkoum assala (Et avec toi aussi) !
  • Basim : J'étais dans les montagnes, un peu plus tôt, et la vue de la forteresse d'Alamut m'a impressionné.
  • Ouvrier : C'est mentor Rayhan qui nous a dit de nous inspirer des aires que construisent les aigles sur les pics d'Alamut.
  • Basim : L'influence est très nette. Wada'an (Adieu) !
  • Ouvrier : afaqaka Allah (Que Dieu t'accompagne) !

Basim rejoint l'aire d'entraînement.

  • Roshan : Beau travail. À demain.

Il rejoint Roshan.

  • Roshan : Basim. Il est temps de t'entraîner au combat.

Basim dégaine son épée.

  • Basim : Que Rebekah me remette ceci m'a étonné. Une épée n'est-elle pas une arme grossière pour un membre de Ceux qu'on ne voit pas ?
  • Roshan : Ceux qu'on ne voit pas doivent savoir manier de nombreuses armes. Après tout, un combat peut avoir mille visages. N'importe qui peut brandir une épée. Toi, comment t'en serviras-tu ?
  • Basim : Je suis là pour apprendre, Maître.
  • Roshan : Es-tu VRAIMENT là ?
  • Basim : Eh bien… Oui. Je le crois.
  • Roshan : Ton corps est ici, oui, mais en va-t-il autant de ton âme et de ton esprit ?
  • Basim : Est-ce… une énigme ?
  • Roshan : Non. C'est la différence entre la vie et la mort.

Basim et Roshan se font face à l'épée.

  • Roshan : Prends soin de me faire face et de tourner autour de moi. N'offre jamais ton dos à un adversaire. Oui, c'est mieux ! Commence par me montrer tes coups rapides.

Basim attaque Roshan avec des coups rapides.

  • Roshan : Bien. Eh bien, je t'attends. Oui. Excellent ! Il faut parfois appliquer plus de force à une attaque, afin de causer davantage de dégâts. Mais cela fera baisser ta garde, alors agis au bon moment. Vas-y !

Basim mène des attaques puissantes.

  • Roshan : Oui, c'est ça. Allez, attaque en force ! Excellent ! À présent, la défense. Tu peux parer les attaques de ton adversaire. Après quelques parades réussies, ton adversaire sera étourdi. Essaie de parer mes attaques.

Basim pare les attaques de Roshan.

  • Roshan : Comme ça. Oui, c'est bien. Excellent ! Il est impossible de parer certaines attaques, qu'il faut alors esquiver. Prépare-toi !

Basim esquive les attaques puissantes de Roshan.

  • Roshan : Beau travail. C'est ça, oui. Oui, bien joué. À présent, improvisons un combat. Sers-toi de ce que tu as appris.

Basim et Roshan s'affrontent.

  • Roshan : Tu as réussi à me surprendre. Bien joué.
  • Basim : Prends ça !

Les lames s'entrechoquent.

  • Roshan : Je ne m'y attendais pas.

D'un coup de pied, Roshan envoie Basim au tapis.

  • Roshan : C'est tout pour aujourd'hui, Basim.
  • Basim : Pourquoi s'arrêter ? L'échec ne m'apprend rien.
  • Roshan : L'apprentissage exige action et calme, à parts égales. Tu as pratiqué l'action… Cherche à présent le calme.ne presse pas les choses. Sois patient. L'échec fait partie des progrès. Médite sur ces paroles, et reviens mieux préparé.
  • Basim : Oui, maître. Entendu.
  • Roshan : Bien. À plus tard.

Une nuit, les membres de Ceux qu'on ne voit pas sont réunis au coin du feu.

  • Abu Jafar Mohammed : Ahmad va bientôt regagner la maison de la Sagesse. Je crains qu'il ne se retrouve au cœur d'un nid de serpents.
  • Fuladh : Je sais à quel point tu es proche de ton frère. Nous en saurons bientôt plus. Alors, nous pourrons agir.

Basim les rejoint.

  • Basim : Assalamou 'aleïkoum, Abu Jafar.
  • Ahmad : C'est Ahmad.
  • Basim : Ahmad, oui. Mes excuses.
  • Ahmad : Ce n'est rien. Viens te réchauffer près du feu.
  • Rebekah : Notre frère Ahmad doit nous quitter demain.
  • Ahmad : Pour Bagdad. La maison de la Sagesse.
  • Basim : La maison de la Sagesse ?

Basim s'installe au coin du feu.

  • Ahmad : Nous y avons travaillé, mes frères et moi, pendant des années. Mais il me reste des choses à y faire. La science n'attend pas. J'accomplirai mon devoir envers Ceux qu'on ne voit pas en devenant vos yeux et vos oreilles parmi les érudits.
  • Rebekah : Fuladh, raconte à Basim l'histoire de la plume.
  • Fuladh : Notre tradition de la plume vient d'Égypte. Elles représentent les plumes de Maât. Les plumes du héron étaient trempées, plongées dans le sang des cibles. Ces plumes étaient laissées afin que puisse juger le seigneur de la Douât. Il est important de demeurer humbles et de connaître notre place. Nous sommes des messagers de la justice, mais pas les juges eux-mêmes.
  • Nur : Quelqu'un veut-il m'accompagner en patrouille, ce soir ?
  • Basim : Je vais venir avec toi, Nur. J'ai intérêt à faire de l'exercice si je ne veux pas avoir top froid.
  • Nur : Je t'en remercie. Allons-y.

Basim salue les autres.

  • Nur : Tu viens, Basim ? Tu écouteras ces récits plus tard.
  • Rebekah : Cela fait longtemps que nousn'avons pas eu de messager de Samarra.

Basim suit Nur.

  • Basim : Puis-je te parler en toute confiance ?
  • Nur : Tu sais bien que oui.
  • Basim : J'ai entendu par accident mentor Rayhan converser avec un émissaire… Mentor Rayhan a demandé si nous risquions d'être attaqués en raison de nos liens avec des ebelles de Bagdad. Sommes-nous en sécurité à Alamut ?
  • Nur : Je l'ignore… mais je plains ceux qui voudraient attaquer ce nid d'aigle !

Nur s'adresse à deux autres membres qui patrouillent.

  • Nur : Comment se passe la garde ?
  • Sentinelle : Il ne se passe rien sur Alamut et mon estomac crie famine. Nous ne sommes pas allés jusqu'à la gorge principale.
  • Nur : Parfait. Nous allons commencer par là. Merci.
  • Basim : Viens, Nur. Suis-moi !

Basim et Nur se rendent au point d'observation.

  • Nur : Alors, as-tu hâte de recevoir ton initiation ?
  • Basim : Oui. J'ai hâte, et j'ai l'impression de m'y être préparé toute ma vie.
  • Nur : Je n'ai pas fermé l'œil, la nuit qui a précédé ma cérémonie. Autant par excitation que par crainte, pour être tout à fait honnête.
  • Basim : Nous avons tous peur de l'inconnu, mais celui qui nous attend après l'initiation est impressionnant.
  • Nur : Tu veux parler de l'Ordre ?
  • Basim : Je vois ses membres comme les monstres des contes : tapis dans les coins sombres, les ruelles obscures.
  • Nur : À ceci près que l'Ordre est bien réel.
  • Basim : Que cherche-t-il ?
  • Nur : Il désire contrôler Bagdad. Il veut le pouvoir.

Ils observent la gorge en contrebas. Un aigle vient se poser près d'eux.

  • Nur : Voici Muhja.
  • Basim : Magnifique.
  • Nur : Bientôt, tu en auras un, toi aussi !
  • Basim : Fuladh m'a présenté un aigle appelé Enkidou. Il dit quenous avons beaucoup en commun. Mais ce n'était pas un compliment.

Muhja repère quelque chose et fonce vers la gorge.

  • Nur : Elle a vu quelque chose. Suis-moi !

Ils empruntent une tyrolienne pour descendre dans la gorge.

  • Nur : Chht. Pas un bruit, Basim. Trouve un endroit où te cacher.

Ils se cachent dans les broussailles et observent des hommes armés qui ont dressé un camp.

  • Mercenaire 1 : Quel est cet endroit ?
  • Mercenaire 2 : Nous approchons sûrement de leur campement. Etils ne le savent pas.
  • Mercenaire 3 : Tenez-vous prêts !
  • Mercenaire 1 : Silence, faites un peu moins de bruit !

Basim et Nur les éliminent.

  • Nur : Hâtons-nous !
  • Basim : Je suis avec toi !
  • Nur : Il faut frapper vite.
  • Basim : D'accord !

Ils se tapissent dans les hautes herbes et approchent d'autres mercenaires.

  • Nur : Il faut attendre le bon moment… Ne fais pas un bruit…

Ils sont obligés de les affronter.

  • Mercenaire 4 : Vous êtes finis ! L'enfer vous attend !
  • Nur: Oui ! Sois sans pitié ! N'abandonne pas ! Bats-toi ! N'oublie pas l'entraînement !

Ils éliminent tous les mercenaires.

  • Nur : Ça change des cibles en bois, n'est-ce pas ?
  • Basim : Non, ce n'est pas ça. Cette épée…

Basim s'approche de l'épée en question.

  • Nur : Quoi ? Qu'est-elle donc ?
  • Basim : Les mercenaires de Bagdad emploient ces armes.
  • Nur : Il faut avertir les autres.

Nur fait son rapport.

  • Nur : Des mercenaires de Bagdad.
  • Roshan : Comment le sais-tu ?
  • Nur : Basim a reconnu le type d'épée qu'ils emploient et j'ai confiance en lui.
  • Rayhan : Fais-le venir.

Nur fait signe à Basim, qui les rejoint.

  • Rayhan : Comment sais-tu que ces hommes venaient de Bagdad ?
  • Basim : Ayant grandi dans les rues, j'ai souvent aperçu leurs armes… et surtout de près.
  • Roshan : Derrière chaque mercenaire se tient quelqu'un qui lui donne des ordres.
  • Rayhan : Oui, et pour savoir qui, nous allons devoir agir. Nous allons regagner Bagdad et demander l'aide d'Ali ibn Mohammed.
  • Roshan : Ah, bien sûr, Sahib az-Zanj (Le chef des Zanj) ? Cet homme est un fou, et un fou dangereux.
  • Rayhan : Peut-être, oui… mais c'est l'un de nos seuls alliés à Bagdad. Nous avons besoin de lui et de ses hommes.
  • Nur : Je retournerai à Bagdad.
  • Rayhan : Va voir Ali. Découvre si c'est l'Ordre qui a dépêché ces hommes.
  • Nur : Entendu.
  • Rayhan : Waffaqaka Allah (Puisse Dieu t'accorder de réussir).

Basim adresse une tape amicale à Nur.

  • Basim : Waffaqaka Allah.
  • Nur : Wada'an. Araka Lahikan (À bientôt) !

Conséquences[]

Basim suit l'entraînement de Ceux qu'on ne voit pas et apprend à connaître ses partenaires, parmi lesquels Nur. Avec ce dernier, ils déjouent une attaque du campement par des mercenaires venus de Bagdad. Nur est par la suite envoyé à Bagdad pour enquêter tandis que la formation de Basim se poursuit.

Quêtes d'Assassin's Creed: Mirage
Quêtes principales
Introduction
Le roi des voleurs d'Anbar - Un nouveau départ - Prendre son envol - Destination Bagdad - Suivre la piste de Nur - Contacter les rebelles - Concentration - Évasion - Une alliance délicate - Premier ordre - Anciennes blessures - Extension d'activités
Missions du bureau d'Abbasiyah
Feu et sagesse - Maison de la Sagesse - Trouver le frère disparu - Suivre la piste ardente - Rendre compte au rafik - Le grand symposium - Du bon travail
Missions du bureau de Karkh
Pièces et dagues - Argent, corruption et thé - Labeur et impôt - Le coût de la cupidité - Une plume sans visage - Papillons dorés - Une fin grandiose
Missions du bureau de Sharkiyah
Sang et ombres - Le chasseur - Tel père, tel fils - Le rapace et le démon - La traque - Piège à oiseaux - Attraper un démon - La chasse - L'antre de la bête - Le retour
Dénouement
La tête du serpent - La servante et l'impostrice - Le renard et le chasseur - Juge et bourreau - Un dernier conseil - Le nid du serpent - Le dernier voyage - En quête de vérité - Ce qui repose en dessous
Quêtes secondaires
Secondaires
L'appel - Livres perdus d'al-Jahiz - Objets pour Dervis
Récits de Bagdad
Chasse au trésor - La malédiction de la Sila - Mission sacrée - Saut du Fidèle - Une lame dans la foule, un outil dans la remise - Une vie de labeur
Contrats
L'érudit enlevé - La danseuse - Le botaniste - Le poète satirique - Le vol de bateau - Le vol de la pièce carolingienne - Le vol du miroir en bronze
-
La concubine - Le représentant de l'État
-
L'informateur - Le piégeur d'esclaves
-
Le marchand d'armes - Le marchand d'esclaves
-
Les pièces marquées - Le négociant en parfums - Le traître - Le représentant des marchands - Le faux message - Ceinture d'Orion
Énigmes
Abandon - Délice près du dôme - Joie sous les palmes pleureuses - Justes récompenses - Le cadeau - Moisson des ruines - Reddition - Règle vite ce souci pour moi - Trouve ce que j'ai volé ! - Un cadeau pour toi - Un défi - Un trésor sacré
DLC
Les quarante voleurs - (Danse avec les voleurs - Des secrets dits et tus - Rencontrer le roi)
Advertisement