Traque bovine est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique d'Eivor, revécue en 2020 par Layla Hassan à travers l'Animus.
Description[]
Les vaches qui devaient être abattues pour le festin se sont échappées.
Dialogues[]
Eivor trouva Winfrith et son fils Bertram à Ravensthorpe.
- Winfrith: Je t'avais dit de faire attention ! Je ne te l'avais pas dit, peut-être ?
- Eivor: Winfrith, Bertram. Vous ne semblez guère d'humeur à faire la fête.
- Winfrith: Tu peux le dire, je suis furieuse ! Mon crétin de fils a libéré le bétail destiné à la fête. Il l'a laissé partir !
- Eivor: Tu l'as laissé filer ? Pourquoi ?
- Bertram: Si je te disais que c'est parce que je suis un rebelle qui se moque des règles, tu me croirais ? Et si je te disais qu'alors que je menais ces bêtes paître une dernière fois, une des vaches m'a lancé un regard bizarre qui m'a fait peur ?
- Eivor: Ça, je peux le croire. Vous voulez que je ramène ces bêtes ?
- Winfrith: Emmène Bertram avec toi. Tu pourras le protéger de ce terrifiant bétail. En route. Va avec Eivor.
- Bertram: Bon, d'accord.
Eivor et Bertram se mirent en route.
- Eivor: Où étais-tu quand cette vache t'a fait peur ?
- Bertram: Sur l'autre rive. Par là. La plupart du temps, je n'ai pas peur des bêtes. Mais celle-là m'a lancé un de ces regards ! J'ai cru qu'elle allait m'attaquer... Ces vaches font leur taille.
- Eivor: Eh bien, peut-être est-ce l'occasion de surmonter cette peur dont tu te dis dépourvu.
Ils gagnèrent l'autre rive.
- Bertram: C'est là que ça s'est passé. Les bêtes ne devraient pas être loin.
- Eivor: Très bien, alors tâchons de les trouver.
Ils trouvèrent une première vache.
- Eivor: En voilà une. Et si on transformait ça en partie de chasse ? Si on la tue maintenant, ça fera de la viande fraîche pour la fête.
- Bertram: D'accord. Mais je n'approcherai pas trop.
Eivor tua la vache.
- Bertram: Quand on te voit, ça a l'air facile !
- Eivor: C'est parce que ça l'est. Maintenant, rapportons la viande. On dirait que tu n'as jamais chassé de ta vie. C'est étrange, pour un fils de paysans.
- Bertram: Mayda m'a dit la même chose. Elle aime chasser le lapin et le faisan. Je... je lui ai proposé de l'aider.
- Eivor: Et qu'est-ce qu'elle t'a répondu ?
- Bertram: Elle a ri. Quand je lui ai dit que j'étais sérieux, elle a répondu qu'elle serait ravie de ma compagnie. Mais j'ai refusé. Je me suis senti honteux.
Eivor récupéra la viande.
- Bertram: Très bien. Une de moins. Ce qui veut dire... qu'il en reste trois. Est-ce que tu trouves étrange que je ne sache pas chasser ?
- Eivor: Je trouve cela inhabituel. Je serais ravie de t'apprendre, Bertram. Même si j'imagine que tu préférerais que ce soit Mayda qui le fasse.
- Bertram: Ha ! Non, je crois que je préférerais apprendre auprès de toi.
- Eivor: Alors, suis-moi. Et ouvre l'œil, nous devons retrouver tes bêtes.
Ils trouvèrent une deuxième vache.
- Eivor: Regarde, Bertram : voilà une autre vache et ta première leçon.
- Bertram: Très bien. Montre-moi.
Eivor tua la vache.
- Eivor: Je comprends que ça t'intimide. Même domestiqués, les animaux ne manquent pas de force. C'est pour cela que même si on les tue pour les manger, il faut faire preuve de respect. Je ne te reproche pas ta peur.
- Bertram: Merci. Mais j'aimerais m'en débarrasser. Je me sens idiot.
Eivor récupéra la viande.
- Eivor: Bertram... dis-m'en plus sur Mayda. Tu as l'air très épris.
- Bertram: Oh, oui. Elle est extraordinaire. Elle me fait toujours rire. Et elle chasse très bien. Elle est douée, forte et... tu sais... jolie, aussi.
- Eivor: Tu l'aimes beaucoup.
- Bertram: Imagine ce qu'elle doit ressentir, hein... courtisée par un nigaud qui a peur des vaches.
- Eivor: Je ne suis pas une experte de la traque, mais observer Synin m'apprend beaucoup. Grâce à sa façon de suivre des pistes.
- Bertram: Des pistes ? Ah, une fois, j'ai marché dans le fumier et j'ai laissé des traces dans toute la maison. Mon père était furieux. Et il m'a retrouvé sans peine.
- Eivor: Tu vois ? Tu as la traque dans le sang.
Ils trouvèrent une autre vache.
- Eivor: Maintenant, apprends à tendre l'arc. La flèche sur la corde, tu la tires, tu inspires... tu vises... et tu lâches.
- Bertram: À t'entendre, il n'y a rien de plus facile.
Eivor tua la vache.
- Bertram: J'espère que ça ne t'ennuie pas trop de devoir t'occuper de moi aujourd'hui. Et rattraper mes bêtises.
- Eivor: Oh, cela faisait longtemps que je n'avais pas eu une journée aussi reposante.
Eivor récupéra la viande. Enfin, Bertram repéra la dernière vache.
- Bertram: Oh ! Oh ! Là ! Je vois la dernière !
- Eivor: Bien joué. Te voilà devenu traqueur. C'est peut-être ça, ton vrai rôle : traquer pour Mayda.
Bertram décocha une flèche et tua la vache.
- Eivor: Bertram !
- Bertram: Oh, bon sang... Tu as vu ça, Eivor ?
- Eivor: Il m'a fallu un moment pour le croire ! Beau travail, Peureux-des-bœufs. Tu as triomphé de ton ennemi.
- Bertram: Je t'en prie, ne m'afflige pas de ce surnom.
- Eivor: Mmh, je vais y réfléchir. Récupère la viande et nous retournerons à la ferme.
Bertram dépeça sa victime.
- Bertram: Merci, Eivor. C'est plus difficile que je ne l'imaginais ! Mayda n'en reviendra pas. Et ma mère non plus.
Les deux prirent le chemin du retour.
- Eivor: Bertram, tu as vraiment été effrayé par une vache ? Je trouve ça étonnant pour un fils d'éleveurs.
- Bertram: Ah... si je te dis ce qui s'est vraiment passé, tu ne le répéteras pas ?
- Eivor: Promis.
- Bertram: C'est... c'est... à cause de Mayda. Elle dit toujours que je suis doux et gentil, agréable et aimable.
- Eivor: Oh, c'est bien, tout ça.
- Bertram: Mais non. Qui aime la gentillesse ? Je veux être courageux et viril. Je me suis dit qu'en laissant partir les bêtes, je pourrais les chasser et lui montrer que je suis un homme, un vrai. Alors, j'ai pris mon arc, mais cette vache m'a regardé et là, j'ai pris peur. Ça, au moins, c'était vrai.
- Eivor: Il n'y a aucun mal à avoir bon cœur. Je suis sûre que si Mayda t'apprécie, c'est parce que tu es gentil, et pas en dépit de ta bonté.
- Bertram: Merci, Eivor. J'espère que tu as raison... mais j'aimerais bien pouvoir me vanter, rien qu'un peu. Je n'ai pas osé le demander à Mayda, mais... est-ce qu'il t'arrive d'être triste pour le gibier ? De le faire tant souffrir ?
- Eivor: Je cherche au contraire à éviter sa souffrance. Je vise le cœur pour que sa mort soit rapide.
- Bertram: Je crains de n'avoir jamais vu autant de talent. Mayda est comme toi : à chaque tir, elle tue. Sur le coup.
Eivor ramena Betram à sa mère Winfrith.
- Winfrith: Bertram. Tu as réussi à ne pas te faire mal ?
- Eivor: Winfrith. Ton fils a un nouveau surnom : Terreur-des-bêtes.
- Winfrith: Terreur-des-bêtes !
- Bertram: Oh, si tu m'avais vu là-bas, Mère ! La peur incarnée, flèche à la main ! Mais il faut que je file !
- Winfrith: Filer ! Mais où ?
- Bertram: Je veux que Mayda me voie tant que le sang est encore frais ! Je te retrouverai au festin !
- Winfrith: Eh bien, merci beaucoup, Eivor. Quoi que tu aies pu faire, j'en suis heureuse.
Conséquences[]
Eivor aida Bertram à abattre les bœufs pour le festin de Yule.
Quêtes d'Assassin's Creed: Valhalla (incomplet)
| ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
|