Tomás de Torquemada (1420 – 1498) était un moine dominicain espagnol, premier inquisiteur général d'Espagne et confesseur de la reine Isabelle de Castille.
Biographie
Sous les ordres de Borgia
En 1491, Tomás travailla pour le Grand Maître des Templiers, Rodrigo Borgia, qu'il admirait beaucoup. Il reçut une liste de noms, des personnes devant être exécutées. Les croyants hérétiques, Tomás envoya ses hommes capturer les personnes figurant sur la liste et de les préparer pour l’exécution. Torquemada n'était pas au courant que Rodrigo l'utilisait comme outils pour décimer les Assassins espagnols.[1]
Cependant, Ezio Auditore da Firenze et Raphael Sánchez empêchèrent les exécutions en tuant Gaspar Martìnez, qui était le superviseur des exécutions à Barcelone.[1]
Quelques temps plus tard, Tomás se rendit à Saragosse, chez Pedro Llorente, le Calficador de l'Inquisition. Ezio espionna leur conversation et apprit que d'autres exécutions se préparaient à avoir lieu. Quand Tomás quitta Pedro, Ezio en profita pour assassiner ce dernier.[1]
Recherche d'une Pomme et d'un Bâton d'Éden
Fin de vie
Torquemada partit ensuite pour la ville assiégée de Grenade, toujours avec Ezio à ses trousses. Il rencontra Juan de Marillo et lui ordonna de rassembler tous les hérétiques de la ville, ce qui n'arriva jamais car Ezio assassina Juan. Torquemada se rendit ensuite dans un château où il fut confronté à l'Assassin qui voulait savoir si Tomás était réellement un Templier. Il nia faire partie de leurs rangs et Ezio l'épargna pour n'être qu'un homme aveuglé par sa foi.[1] Toutefois, en 1498, les Assassins espagnols parvinrent à retrouver le Grand Inquisiteur dans le monastère de Saint Thomas, qui était parvenu à maîtriser les pouvoirs du Bâton et avait créé des soldats fantomatiques grâce à une forge de la Première Civilisation sous le monastère. Après un âpre combat, les Assassins éliminèrent le grand inquisiteur d'Espagne et firent s'écrouler la forge Isu, le Bâton et le corps de Torquemada avec.[2]
Note
- Son portrait est encadré dans le bureau privé de Crawford Starrick, à Londres, au XIXe siècle[3].
Galerie
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