Tête lourde est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique d'Eivor, revécue en 2020 par Layla Hassan à travers l'Animus.
Description[]
Alors que Burgred a été capturé et que Ceolwulf est assis sur le trône, le moment est venu de couronner le nouveau dirigeant de la Mercie.
Dialogues[]
Eivor marcha avec Ivar.
- Eivor: Où allons-nous ?
- Ivar: Nulle part en particulier. J'ai juste envie de faire la fête.
- Eivor: Je ne m'attendais pas à ça de toi.
- Ivar: Tu t'es fait une image de moi assez sombre, n'est-ce pas ? Je ne t'en blâme pas, d'ailleurs. J'ai moi aussi une opinion à ton sujet.
- Eivor: Tu mènes l'agneau au sacrifice ?
- Ivar: Qu'est-ce que je disais ? C'est sombre, beaucoup trop sombre.
Ivar chassa deux ivrognes de leur table.
- Ivar: Vous, là... Fichez le camp.
Eivor et Ivar prirent leurs places autour d'une chope d'hydromel.
- Ivar: Je sais que j'ai agi comme un crétin. Mais tu sais te battre, et c'est une chose que je respecte. Alors, disons qu'Ivar le Sans-os considère Eivor comme une amie.
- Eivor: Qui t'appelle le Sans-os ?
- Ivar: Je dois ce surnom à une charogne, que j'ai tuée en Hibernie. Ses boyaux ont nettoyé ma lance. Il m'appelait comme ça parce que je bouge comme un roseau dans le vent.
- Eivor: Pas parce que la boisson te ramollit les parties ?
- Ivar: Le Valhalla. C'est là que je finirai. Je flaire déjà le sang et je peux goûter l'hydromel. Je serai assis à côté du Très-Haut, la hache à la main.
- Eivor: Une fin digne d'un Ragnarsson.
- Ivar: Ha, tu l'as dit ! Halfdan et moi irons là-bas, mais Ubbe... non. Je ne crois pas que nous cherchions la même victoire. Plus maintenant, en tout cas.
- Eivor: Et qu'est-ce que désire Ubbe ?
- Ivar: Devenir vieux et gras dans une ferme, quelque part, des petits Ubbe autour de lui.
- Eivor: Il veut un héritier. C'est chose courante.
- Ivar: Pas pour des guerriers ! Pas pour des drengir comme nous ! Il n'était pas comme ça, avant. Mais cet endroit, cette Angleterre... l'a ramolli.
- Eivor: Comment était-il, avant ?
- Ivar: Comme moi. Féroce. Sauvage.
- Eivor: Ne le prends pas mal, mais je doute que quiconque soit comme toi.
- Ivar: Si c'est un compliment, alors je ne le comprends pas. Tout ce que je veux dire, c'est que tout était plus facile, avant.
- Eivor: Si cela te préoccupe autant, pourquoi ne pas suivre ta propre voie ?
- Eivor: Les gens changent, tu sais. Nous pouvons choisir de changer avec eux, ou de suivre un autre chemin. Si cela te préoccupe autant, pourquoi ne pas suivre ta propre voie ?
- Eivor: Si cela te préoccupe autant, pourquoi ne pas suivre ta propre voie ?
- Ivar: Parce que c'est mon frère. Je l'aime. Et je ferai tout ce qu'il faudra pour le ramener vers mon mode de pensée. Nous sommes des guerriers. Et cela jusqu'à la mort.
Eivor et Ivar passèrent la nuit à s'enivrer. À son réveil, Eivor était seule au pied de Tamworth.
- Eivor: La nuit a été longue. Ouh... J'ai raté le couronnement ?
Eivor examina une curieuse sculpture près du lieu de son réveil.
- Eivor: Combien avons-nous bu ? Je n'arrive pas à me souvenir...
Eivor se rendit à la maison longue de Tamworth, où se tenait justement la cérémonie.
- Ceolwulf: Où est mon fils ?
- Homme anglo-saxon: On a prévenu Repton, mais nous sommes sans nouvelles, Seigneur. Je pense qu'il vaut mieux continuer.
- Roi Burgred: Tu m'as fait mander, mon vieil ami. Et me voilà, devant le trône où je régnais il n'y a pas si longtemps.
- Homme anglo-saxon: Tu te tiens devant nous pour accepter la décision unanime de ce witan, qui te déclare inapte à régner et te dépose. Nous exigeons ton abdication immédiate et la remise de la couronne au thegn Ceolwulf.
- Ceolwulf: La Mercie a parlé, Seigneur. La couronne...
- Roi Burgred: C'est toi, mon vieil ami ? Ah, oui, je te reconnais, maintenant. Pardon, mais les atours de la justice te vont si mal. Si le ciel ne veut plus de moi pour roi, qu'on pardonne son aveuglement ! Amen ! Bon... où est ma couronne ?
Un homme lui apporta la couronne.
- Roi Burgred: Pardonne mon humeur. Me voilà, bien droit, car je n'ai jamais appris à mettre genou à terre. Pourtant... je vais essayer. Oh, mais c'est facile. Il est aisé de s'agenouiller sans crainte... ni sentiment.
- Ivar: Il se moque de toi ! Il mérite la mort.
- Roi Burgred: Ne t'en fais pas, Danois. Je vais remettre ma couronne, ce royaume infesté de païens et les faveurs de ces traîtres... mais je le ferai selon mes termes. Mes exigences sont simples. Tout d'abord...
Ceolwulf gifla Burgred.
- Ceolwulf: Idiot, regarde autour de toi. Tu n'as plus aucun pouvoir, ici. Implore pour qu'on épargne ta vie, car c'est bien la seule chose qu'on t'accordera peut-être...
- Roi Burgred: Oui... Oui. Pardonnez-moi. N-ne me faites pas de mal, je vous en conjure. Pitié. J'irai n'importe où. Voilà ! J'abdique ! Tiens !
Ceolwulf récupéra sa couronne.
- Ceolwulf: Qu'on les envoie, sa femme et lui, à Rome. Je le déclare banni à jamais.
Un soldat emmena Burgred, et Ceolwulf s'auto-couronna.
- Homme anglo-saxon: Le witan reconnaît Ceolwulf roi de Mercie, deuxième du nom. Un roi juste. Un roi de miséricorde. Alors, longue vie au roi !
Les habitants acclamèrent leur roi.
- Sigurd: J'espère qu'il sera à la hauteur.
Soudain, une femme fit irruption dans la maison longue.
- Femme du Nord: Des soldats de Mercie ! Ils marchent sur Repton.
- Ubbe: Leofrith...
- Ivar: Fidèle jusqu'à la mort, ce chien.
- Eivor: Rassemblez vos hommes et répartissez-les entre les portes nord et sud. Cela divisera les forces ennemies.
- Ceolwulf: Ceolbert est là-bas. Eivor, tu dois aller sauver mon fils.
- Eivor: Il s'en sortira. Je te le promets.
- Sigurd: Je vais rester ici avec Ceolwulf. Va.
Eivor chevaucha pour Repton.
- Eivor: Ils ont franchi les murs. Il faut que je trouve Ceolbert.
Au beau milieu des combats, Eivor retrouva Ubbe.
- Eivor: Est-ce que tu as vu Ceolbert ?
- Ubbe: Non, mais on a vu Leofrith filant sur l'autre rive. Il poursuivait quelqu'un.
- Eivor: Ce doit être Ceolbert. Rien d'autre n'a de valeur dans ce trou à rats.
Sur l'île de Waifs, Eivor trouva Ceolbert en compagnie de Leofrith.
- Eivor: Ceolbert ! Il a des ennuis.
- Ceolbert: Je ne reculerai pas, Leofrith. Pas question !
- Leofrith: Ne rends pas les choses plus difficiles, mon garçon.
- Ceolbert: Je t'en prie... Rien ne t'y oblige.
Eivor fit irruption.
- Eivor: Leofrith ! Laisse-le partir. Écoute-moi...
- Leofrith: Je ne rends des comptes qu'à mon roi. Les Danois... je les fais taire avec ça.
Il montra son épée. Eivor fit signe à Ceolbert de s'écarter.
- Eivor: Pose ça, Leofrith. Tu n'as plus de raison de te combattre. Nous tenons Repton. Ce n'est plus qu'une question de temps.
- Leofrith: Jamais je ne ferai cela.
- Eivor: Alors, tu vas mourir.
- Leofrith: Quelqu'un mourra, oui.
Eivor et Leofrith s'affrontèrent.
- Eivor: Tu ne peux pas gagner, Leofrith. Même si tu me bats, les Ragnarsson auront la victoire.
- Leofrith: J'ai déjà affronté beaucoup de Danois. Et je suis toujours là.
Eivor blessa Leofrith.
- Eivor: Tu faiblis.
- Leofrith: Pah !
- Eivor: Tu es déterminé. Burgred avait beaucoup de chance.
- Leofrith: Il est de mon devoir de vous éloigner de la Mercie. Et je mourrai avant de me rendre.
Eivor mit Leofrith à terre.
- Leofrith: Très bien. Finissons-en.
- Eivor: Tu n'invoques pas ton dieu ? Ni ton roi ?
- Leofrith: J'ai fait serment de défendre Burgred jusqu'à la mort. J'ai combattu... et j'ai perdu. Nous connaissons la suite.
Odin se joignit à la conversation.
- Odin: Un thegn honorable menant une guerre déshonorante.
- Eivor: Burgred l'a abandonné, a trahi sa confiance. Si j'étais Leofrith, j'aimerais savoir.
- Odin: Pourquoi le priver de sa dernière gloire ? Il est prêt à rencontrer son dieu et à baigner dans sa lumière. Vivre ne lui apporterait que la honte.
- Eivor: Il renoncerait à son serment s'il connaissait la vérité.
- Odin: Alors, choisis : la vérité... ou la gloire.
- Eivor: Debout, Leofrith. Vis pour te battre un autre jour.
- Leofrith: Comment ?
- Eivor: Ta loyauté envers Burgred est totalement injustifiée. Il a abdiqué et a fui pour Rome. Il n'est plus là.
- Leofrith: Tu mens...
- Eivor: Mentir à un homme sur le point de mourir ? Quel serait mon intérêt ? Il a pensé à sa propre peau et t'a laissé mourir. Tous ces combats n'ont servi à rien ni à personne. Trahir quelqu'un de si proche et de si dévoué... c'est un déshonneur qui mérite mille morts.
Leofrith se releva.
- Leofrith: Eivor... Tu as fait preuve d'une grande bonté. C'est... ce n'est que justice que j'en fasse autant. À Venonis, il y a une statue avec un rouleau dans un récipient. Tu dois le brûler.
- Eivor: Un rouleau ?
- Leofrith: Ton nom est inscrit dessus. Je l'ai laissé là-bas à la demande de Burgred. Lorsqu'ils le trouveront, les zélotes se lanceront sur tes traces.
- Eivor: Qui sont-ils ?
- Leofrith: Pour l'instant, peu importe. Le temps t'est compté. Brûle ce rouleau ou ils ne te laisseront jamais en paix.
- Eivor: Où vas-tu aller ?
- Leofrith: À Rome.
- Eivor: Tu t'es bien battu, Leofrith. Avec honneur. Tu vas rejoindre ton dieu.
- Leofrith: Je suis prêt.
- Eivor: Dans le Nord, nous avons un mot pour décrire les hommes aussi courageux que toi : drengr. Je t'en déclare digne.
Eivor exécuta Leofrith.
- Ceolbert: Il ne le méritait pas.
- Eivor: Mais il l'a choisi.
- Eivor: Viens. Il est temps de rentrer. Doucement, tu es blessé.
- Ceolbert: Je vais bien. Crois-moi. Simplement, quelques bleus et les entailles du combat, voilà tout.
- Eivor: Ces blessures guériront vite. Tu as eu de la chance.
- Ceolbert: Je me suis jeté sur lui, Eivor. Il s'est contenté de jouer avec moi. Il savait que je ne pouvais rien lui faire.
- Eivor: Tu aurais dû rester caché, Ceolbert. Ce combat n'était pas le tien.
- Ceolbert: Si. C'était notre combat. Le tien, le mien, celui de mon père. Je devais y prendre part.
- Eivor: Et tu l'as fait. En faisant preuve de bravoure. De vaillance. Tu n'es plus un enfant désormais.
- Ceolbert: Là-bas, avec Leofrith... Je ne pensais pas que tu l'épargnerais.
- Eivor: Il n'y a aucun honneur à tuer un homme égaré. Il croyait que son roi mourrait pour défendre la Mercie.
- Ceolbert: Il sait la vérité, maintenant.
- Eivor: Et cela lui permettra de trouver une autre voie. Tu avais raison à son sujet, Ceolbert. Et raison de penser que la ligne qui nous sépare est plus fine qu'il n'y paraît.
- Ceolbert: Là-bas, avec Leofrith... Qu'est-ce qui t'a fait penser qu'il fallait le tuer ?
- Eivor: Leofrith était un guerrier qui connaissait le prix du combat. Il est mort en défendant son idéal. Un idéal juste ou non. Et cela est digne de respect.
- Ceolbert: Je... je crois comprendre.
- Ivar: Ceolbert ! Regarde-toi, couvert de sang et de gloire ! Continue à te montrer aussi brave et tu finiras chef de clan !
- Ubbe: Rien de moins que le roi de Mercie, mon frère. Un de ces jours...
- Ceolbert: Et que pense mon père de son nouveau rôle ?
- Ubbe: Vois par toi-même.
Ceolwulf arriva, coiffé de sa couronne et vêtu de sa tenue royale.
- Eivor: Tu es un odlingr, désormais. Ou ætheling, comme tu le dirais. L'héritier du trône. C'est un titre très honorable. Qui exige de bien raisonner. De savoir à qui accorder sa confiance.
- Ceolwulf: Mon fils, tout va bien ?
- Ceolbert: Oui, Père. Je vais bien.
- Eivor: Il t'a fait honneur, aujourd'hui. Il a affronté avec courage de redoutables adversaires.
- Ceolwulf: Vous avez tous ma gratitude. Et ma bénédiction.
<tabber> Inutile de nous remercier.=
- Eivor: Nous savions ce que cette alliance pouvait nous coûter. Mais cela est réglé, et chacun y a gagné quelque chose : de l'argent, un honneur, des alliés.
- Ceolwulf: Il est vrai. Nous abordons un nouvel avenir. Toute l'Angleterre doit savoir... que le royaume de Mercie a un nouveau roi.
|-| Fais ce que tu dois.=
- Eivor: Ubbe et Ivar ont perdu beaucoup d'homme dans cette guerre. Tu veux leur prouver ta gratitude ? Respecte ta part du marché.
- Ceolwulf: Bien sûr. Toute l'Angleterre saura bientôt que le royaume de Mercie a un nouveau roi. Puissant, qui plus est.
|-| Et maintenant ?=
- Eivor: Bien. Et maintenant ?
- Ceolwulf: La nouvelle de la déposition de Burgred va se répandre. Les autres royaumes d'Angleterre apprendront bientôt que la Mercie a un nouveau roi.
}}
- Eivor: Les autres royaumes d'Angleterre ne vont pas aimer ton mode d'accession au trône.
- Ceolwulf: Comme beaucoup de mes sujets. Les soldat de Burgred vont nous tenir tête et fomenter quelques troubles, çà et là, en Mercie.
- Sigurd: Nous y remédierons rapidement. Je pars sans détour pour l'Oxenefordscire, afin d'y jouer des alliances avec plusieurs thegns.
- Eivor: Veux-tu que je vienne ?
- Sigurd: Pas avant que j'en sache plus. Reste ici quelque temps, si tu le peux. Renforce nos amitiés. Je ne tarderai pas à te faire appeler.
- Ceolwulf: Sigurd, je me sentirais mieux si Ceolbert s'éloignait, le temps que la Mercie retrouve le calme. Acceptes-tu de l'accueillir dans ton clan ?
- Sigurd: Mmh... Est-ce que tu as un cheval, jeune ætheling ?
- Ceolbert: Oui. Une solide monture appelée Theobald.
- Sigurd: Bien. Je peux t'accompagner jusqu'au fleuve Nene. Ensuite, tu pourras trouver ton chemin.
- Ceolwulf: Merci, Sigurd. Je t'avoue que cela me rassure.
- Sigurd: Sois prête à répondre à mon appel, Eivor. Il viendra !
- Ubbe: Vous vous entendez, Sigurd et toi. L'avenir de l'Angleterre sera païen, de la racine à la feuille.
Ubbe offrit un collier à Eivor.
- Ubbe: Prends ceci, Amie-des-loups. En gage d'amitié. Si tu le désires, les frères Ragnarsson répondront à ton appel.
- Eivor: Tu me fais honneur, Ubbe.
- Ivar: Tu as vu ? Ce renard cherche à gagner ton cœur. Mais on peut être deux à jouer à ce jeu-là.
Ivar lui offrit une hache.
- Eivor: Comme c'est gentil à toi, Ivar.
- Ivar: Je t'en prie. De ce chaos, notre amitié est le plus beau résultat. Peut-être Ceolbert, aussi. Cette petite brindille...
- Eivor: Ravie de l'entendre.
Conséquences[]
Ceolwulf fut couronné roi de Mercie et Eivor se débarrassa de la menace que représentait Leofrith.
Galerie[]
Quêtes d'Assassin's Creed: Valhalla (incomplet)
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