Sic semper tyrannis est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Bayek de Siwa, revécue en 2017 par Layla Hassan à travers l'Animus.
Description[]
Bayek et Amunet s'apprêtent à affronter Rufio sur son octarème et à décapiter la branche romaine de l'Ordre des Anciens.
Dialogues[]
Après avoir pleuré la perte de Tahira, Bayek s'adressa à Kashta.
- Kashta: Je te rendrai honneur, grande Tahira. Tu reposeras avec tes lames sur un lit de plumes de héron.
Bayek s'adressa ensuite à Amunet.
- Amunet: La mort de Tahira ne nous laisse pas le choix, nous devons éliminer Rufio. La Confrérie du Sinaï est gravement menacée.
- Bayek: Où est-il, à la carrière ?
- Amunet: Non, à Arsinoé. Je pense qu'il est à bord de son octarème.
Une vision de Rufio apparut, dans laquelle un soldat lui tendait une lettre l'informant de la mort de ses lieutenants.
- Amunet: Il sait comment se protéger et il sait faire trembler de peur la population.
Rufio lit la lettre, puis la jeta sur la table.
- Rufio: Je ne répèterai pas les erreurs de mes commandants. Je ne débarquerai pas sur cette maudite terre de sauvages, mais tous s'inclineront devant moi.
Rufio fit signe au soldat de partir. La vision se dissipa. Bayek et Amunet montèrent à cheval et se rendirent à Arsinoé.
- Amunet: Rufio a échappé à ma vigilance, et j'ai appris ce qui était arrivé au bureau. Mais il y a aussi des gens de valeur à Rome. Et Memphis ?
- Bayek: Ceux qu'on ne voit pas se portent bien. Mais sans pharaon sur le trône, nous sommes perdus. J'ai peur que nos temples aient été vendus. Et puis, il y a Cléopâtre…
- Amunet: Elle a apporté la prospérité à Alexandrie. Nul ne peut le nier. Le vrai souci, c'est l'armée de son amant. Marc Antoine porte la même odeur de tyrannie qui émanait de César.
- Bayek: Rufio dégage la même puanteur.
- Amunet: Oui, elle envahit le Sinaï. C'est pour ça que nous devons l'accueillir…
- Bayek: … par le feu et le sang.
- Amunet: Nous n'avons pas choisi cette voie. Elle nous a choisis.
En arrivant en ville, ils découvrirent des habitants qui fuyaient.
- Femme: Bayek ! Bayek! Vite, viens nous aider, notre village est attaqué !
- Bayek: Par Amon, qui leur a dit mon nom ?
- Femme: Gamilat parle à tous du héros de Siwa, le grand guerrier à l'aigle.
Bayek et Amunet descendirent de cheval et affrontèrent les Romains, alors qu'ils faisaient brûler la ville.
- Soldat romain: Misérables Nabatéens ! Ne vous opposez pas à Rome !
- Amunet: Ah, c'est un vrai massacre.
- Bayek: Protège les Nabatéens !
- Amunet: C'est de la folie ! Pourquoi tuent-ils ces gens ?
- Bayek: Je n'aime pas ça du tout…
Bayek et Amunet éliminèrent les soldats romains.
- Bayek: Le combat est terminé. Reste à tuer l'homme qui a envoyé ces soldats : Rufio.
Bayek s'infiltra à bord de l'octarème de Rufio et trouva divers documents.
Lettre de Jibade
Salutations, général Rufio. |
Lettre de Marc Antoine
Rufio, |
- Rufio: N'oubliez pas de nourrir mon lion. S'il a faim, vous finirez sous ses crocs !
Où est mon vin ?
Comment Tacito et Ampelius ont-ils pu échouer ? Pour Ptahmose, je ne suis pas surpris. Les Égyptiens sont des chiens !
Bayek affronta Rufio.
- Bayek: Ça, c'est pour Tahira !
- Rufio: Jamais tu ne me briseras !
- Bayek: Tu vas te taire, Rufio !
- Rufio: Tu n'as rien d'un homme ! Tu n'es qu'un insecte !
Bayek assassina Rufio. Alors qu'il s'apprêtait à déposer une plume sur le corps, une hallucination de Rufio apparut derrière lui.
- Rufio: Pourquoi as-tu ruiné mes plans ?
- Bayek: Ceux qu'on ne voit pas ne laisseront jamais l'Ordre des Anciens prendre son envol.
- Rufio: Alors, c'est vrai, Ceux qu'on ne voit pas existent.
- Bayek: Et grandissent.
- Rufio: C'est étrange, vous voulez les mêmes choses que nous. La paix, l'ordre… Et pourtant, nos idées survivront. Tu peux me tuer, nous ne disparaîtrons pas.
Les fantômes des membres de l'Ordre apparurent derrière Rufio.
- Rufio: César a bâti un ordre puissant avant d'être lâchement poignardé dans le dos par la main traîtresse de ta femme.
- Bayek: Notre pouvoir grandit dans l'ombre.
- Rufio: Dans l'ombre que nous vous avons créée.
Bayek abattit sa plume, et le cadavre de Rufio disparut métaphoriquement.
- Bayek: Puissent Ceux qu'on ne voit pas t'enterrer. Anubis t'attend.
Bayek savoura sa victoire.
- Bayek: Rufio est mort. Je dois l'annoncer à Amunet, elle s'en réjouira.
Conséquences[]
Bayek assassina Rufio, réduisant ainsi l'emprise de l'Ordre des Anciens sur le Sinaï.