Rhode Island, officiellement l'État de Rhode Island et des Plantations de Providence, est un état du nord-est des États-Unis, entouré par le Connecticut et le Massachusetts. Ce fut l'une des treize colonies à réclamer leur indépendance de la Grande-Bretagne durant la Guerre d'Indépendance.
Histoire[]
Rhode Island abritait Fort Wolcott, que la plupart de ses occupants considéraient comme étant un avant-poste inutile. En 1773, l'Assassin Connor Kenway infiltra les lieux dans l'espoir d'y découvrir un morceau de la carte menant au trésor de William Kidd, et donna l'ordre à l'Aquila de le bombarder afin de le couvrir lors de sa fuite.
Avant que n'éclate la Révolution, les Assassins coloniaux vinrent en aide à James Mitchell Varnum, lui apprenant à rassembler, former et diriger des hommes. Les Assassins continuèrent d'apporter leur soutien au régiment de Varnum au déclenchement de la guerre.
En 1778, l'armée continentale essuya l'échec lors de la bataille de Rhode Island, après que la marine française fut contrainte de battre en retraite. Le général John Sullivan envoya alors une lettre de reproches à Boston pour se plaindre de l'absence de l'engagement français. Les Assassins rattrapèrent alors l'amiral Charles Hector, comte d'Estaing, pour la convaincre de se reprendre et ainsi éviter l'imposion de l'alliance franco-américaine.
Malgré l'occupation de Newport par les Britanniques, les habitants de Rhode Island étaient unis dans leur désir de se séparer de la Couronne. Les Assassins y accueillirent une cargaison secrète de poudre et l'escortèrent jusqu'à l'arsenal. Ils infiltrèrent également un repaire de Templiers découvert sur la côte près de Providence.[1]
En 1784, l'Assassin Aveline de Grandpré se rendit à Rhode Island à la demande de Connor, dans l'intention de retrouver la trace de Patience Gibbs, une esclave en cavale, et la recruta dans la Confrérie des Assassins.[2]
Galerie[]
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