Rendre compte au rafik est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Basim Ibn Ishaq.
Description[]
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Dialogues[]
Basim retourna au bureau.
- Tabid : Basim ! Rejoins-moi sur le toit.
Il monta à la rencontre de Tabid al-Nubi.
- Tabid : Basim ! Je savais que c'était toi. Tu n'es pas le seul à avoir le regard perçant.
- Basim : Alors, Tabid ? Tu as empli les rues de regards et d'espions ?
- Tabid : Telle est la vie d'un rafik. Sans le fruit de mes connaissances, que ferions-nous ?
- Basim : Le savoir est un outil, une arme. Il peut servir le bien comme le mal… et l'Ordre l'utilise à des fins néfastes.
- Tabid : Qu'est-ce que tu as découvert ?
- Basim : La turpitude règne à la maison de la Sagesse. On se sert d'un livre très ancien dans le but de fabriquer un appareil maléfique.
- Tabid : J'ai entendu des rumeurs à propos de ce mécanisme impie. On l'appellerait le "Grand Œuvre".
- Basim : L'Ordre mène des expériences sur des gens. Qui en meurent. J'ai mis fin à ces méfaits pour l'instant, mais quelqu'un du nom d'Al-Rabisu tire les ficelles à la maison de la Sagesse.
- Tabid : As-tu une idée de qui pourrait être cet Al-Rabisu ?
- Basim : Mes soupçons se portent sur le grand érudit, Fazil Fahim.
- Tabid : Ce vieillard souffreteux ?
- Basim : Les indices que j'ai réunis le désignent.
- Tabid : Mmh, c'est possible. Un grand symposium doit bientôt avoir lieu à la maison de la Sagesse. Une rencontre entre érudits. Une conférence, des rafraîchissements, des débats. Même la grande Arib y sera ! Va, et observe discrètement ce Fazil. Mais ne fais pas usage de ta lame au symposium. Nous tenons à continuer à cacher notre jeu.
Basim acquiesça.
- Tabid : En revanche, si Fazil est coupable et isolé, joue les vipères et… frappe ! Mais tu dois en être CERTAIN.
Tabid lui remit la plume.
- Basim : Avant d'agir, je serai certain.
Conséquences[]
Basim fit son rapport à Tabid et obtint la plume nécessaire à l'élimination d'un membre de l'Ordre des Anciens.