Prisonniers est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique d’Evie Frye, revécue par un Initié à travers Helix.
Description[]
Evie a découvert que Jack faisait acheminer ses otages vers l'aval, à destination de vieux "pontons" servant de prisons et d'un arsenal abandonné, près du port de Deptford. Il est temps de mettre fin à ses pratiques.
Dialogues[]
Evie remonta la Tamise à bord d'une péniche jusqu'à atteindre le port de Deptford.
- Evie: Ces vieux navires de la marine ont été convertis en prisons pour les condamnés attendant d'être envoyés dans les colonies... C'est ici que Jack conserve ses proies. Allons voir si Jack rend visite à ses prisonniers...
Evie débarqua et infiltra les navires prisons.
- Evie: Jacob ? C'est toi ?
- Prisonnier 1: Aidez-moi, Miss... Dites-moi ce que je fais ici. On veut rien me dire !
- Prisonnier 2: C'est Jack ! Oui, c'est Jack l'Éventreur ! C'est lui qui nous a enlevés !
- Prisonnier 3: Il nous affame. Il nous torture. Il nous oblige à écrire à nos familles pour qu'elles fassent ce qu'il demande, sinon il nous tuera !
- Evie: Il est ici ? Quand avez-vous vu l'Éventreur ?
- Prisonnier 4: Pas depuis des semaines, mais il va revenir... et amener d'autres gens... et le gardien-chef les fera danser pour lui !
Evie regagna le pont du navire.
- Evie: Jack les a mis en cage comme des animaux... Ils vont mourir du choléra... si le gardien-chef ne les pend pas avant.
Evie trouva d'autres prisonniers à bord du second navire.
- Prisonnier: De grâce, ne nous abandonnez pas... Le gardien-chef est un fou furieux, il nous torture... Personne ne m'a parlé pendant des semaines, puis l'un des gardiens est venu me demander combien je pesais...
- Evie: Il faut que j'entre dans la prison principale et que je trouve le gardien-chef avant qu'il ne pende quelqu'un d'autre...
Evie prit de la hauteur et étudia les lieux. L'un des gardes interrompit des prisonniers en plein labeur.
- Rook: Allez draguer la Tamise, tas de fainéants !... Le gardien-chef ne veut pas être dérangé.
Plus loin, des prisonniers discutaient évasion.
- Prisonnier 1: Haut les cœurs, messieurs. En unissant nos forces, nous sortirons d'ici.
- Prisonnier 2: À quoi bon ? Il nous faudrait des explosifs pour détruire ces portes.
Enfin, Evie vit le gardien-chef John Billingsworth accompagner son aide de potence.
- Billingsworth: Il faut trouver le bon pois, les lâcher doucement, qu'ils fassent tout le travail. Ça permet de leur allonger le gosier de quatre ou cinq pouces avant qu'ils ne meurent.
Evie se faufila jusqu'aux geôles des prisonniers.
- Prisonnier: S'il vous plaît, Milady... Libérez-nous. Faites sauter la porte de cette cellule et nous occuperons les quelques gardes le plus longtemps possible.
Evie plaça une caisse de dynamite près de la porte et la fit exploser, libérant les prisonniers, qui attaquèrent les gardes à proximité. Evie en profita pour voler la clé du chef des gardes et s'introduisit dans l'entrepôt.
- Billingsworth: Ouais, le cou s'allonge, mais ça ne compte pas, pas vrai ? Le type est mort. Où est le mérite là-dedans ?
On peut faire tenir un bonhomme vingt minutes comme ça, tout en lui allongeant le gosier. Monsieur Jack aime bien quand ça dure...
Non, il faut trouver le bon poids, les laisser tomber gentiment pour qu'ils fassent tout le travail.
Je suis très fier de ce travail. C'est une tâche importante. Monsieur Jack l'a compris. Et je suis doué pour ça.
Tout est dans la chute. S'il tombe trop vite, le cou se brise, le type meurt et il n'y a plus qu'à le détacher.
Je pourrais t'allonger de dix ou douze pouces, mais si tu es mort, quel intérêt, pas vrai ?
Le dernier, un gros plein de soupe pleurnichard... ça n'a pas été facile, mais je l'ai étiré d'un demi-pied. Il s'est pissé dessus, ça puait autant qu'une vieille mendiante, ha, ha... Ah, il faut bien s'amuser, hein ?
Evie sabota la poulie de la potence.
- Billingsworth: Va voir ce qui ne va pas là-haut, espèce de lèche-bottes !
- Aide de potence: Oui, Monsieur.
- Billingsworth: Alors ?
- Aide de potence: Un souci avec la nouvelle poulie, Monsieur.
- Billingsworth: Eh bien, arrange ça !
L'aide monta réparer la poulie. Lorsqu'Evie l'actionna, la corde de la potence s'enroula autour de la cheville de Billingsworth et le remonta au niveau d'Evie, qui lui planta sa lame secrète dans la gorge.
- Billingsworth: Mmh... Regarde-toi ! Une vraie petite sainte ! Tu crois que tuer un bourreau va changer quoi que ce soit à ce que nous faisons ici ?
Le gardien-chef lui cracha au visage.
- Evie: Nous ?
- Billingsworth: Qu'est-ce que tu crois ? C'est ton frère qui a mis ça sur pied... Qui en a eu l'idée !
- Evie: Je n'en crois pas un mot.
- Billingsworth: Il a appris à monsieur Jack à extirper de cette ville ses chairs pourries. Mais vous n'avez jamais eu les noix de faire ce qui s'impose.
- Evie: Où est Jack ? Où est l'Éventreur ?
- Billingsworth: Ha ha ha...
Evie essuya la gorge de sa victime, qui succomba.
- Evie: Tu vois que je sais faire ce qui s'impose... Ce bourreau travaillait pour l'Éventreur, mais il n'y a aucune trace de Jack ici... Ah, Jacob, tu n'avais pas l'intention de créer un tel monstre, mais c'est à nous de le détruire. L'avenir de notre Confrérie en dépend. Je dois annoncer à Abberline ce que j'ai découvert ici...
Evie s'échappa de l'entrepôt et gagna des bureaux à proximité. Elle décrocha un téléphone et appela l'inspecteur Abberline.
- Evie: Je dois parler à Abberline. C'est extrêmement urgent. Eh bien, où est-il ? L'Éventreur a récidivé ? Où ?... Très bien, merci beaucoup. ATTENDEZ ! Alertez la police locale. Envoyez le plus d'hommes possible aux bateaux prisons.
Evie repéra un trousseau de clés sur le bureau et s'en servit pour libérer les prisonniers de Deptford.
Conséquences[]
Evie assassina le gardien-chef Billingsworth, et libéra les prisonniers de Deptford.