Phylakitai en pagaille est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Bayek de Siwa revécue en 2017 par Layla Hassan à travers l'Animus.
Description[]
Bayek cherche à mettre fin une fois pour toutes à l'affrontement entre Phanos et les phylakitai de Gennadios.
Dialogues[]
- Phanos le Jeune: Bayek ! Je te cherchais, Medjaÿ. Nous avons trouvé comment nous débarrasser des phylakitai de Gennadios.
- Bayek: Tu as trouvé ces (pourritures) ?
- Phanos le Jeune: Oui ! Un groupe surveille les eaux. Un autre est installé dans un arsenal et capture les malheureux de passage. Et puis il y a cet homme qui lit une proclamation contre nous, dans un char, sur la voie canopique. Une fois débarrassés d'eux...
- Bayek: Tes poètes pourront répandre leur bonne parole dans toute la ville. Je vais m'occuper de ces phylakitai.
- Phanos le Jeune: Va, frère, et débarrasse-nous de ces (ordures). Quand ce sera fait, nous pourrons envoyer nos poètes répandre notre vérité.
Bayek localisa l'homme sur le char.
- Bayek: Il y a un phylakitai dans ce char. Sans ces épouvantails, Alexandrie se portera mieux.
- Soldat grec: Mort à tous les traîtres. Ils seront châtiés sur-le-champ ! À la première offense, on leur tranchera les mains pour qu'ils cessent de voler les esprits ! Notre archiphylakitai bannit sans pitié tous les récidivistes. Tel est l'édit de l'archiphylakitai Gennadios !
Bayek tua l'homme sur le char et infiltra l'arsenal.
- Bayek: Les phylakitai de Gennadios. Il doit s'agir de l'arsenal dont a parlé Phanos.
- Soldat grec 1: Il nous manque un homme. Nous avons ordre de recruter de force si nécessaire.
- Soldat grec 2: Ça tombe bien, j'en ai vu un, sur les quais. Personne ne ferait attention à sa disparition. Il déclamait de la poésie contre le régime. J'ai horreur des poètes.
- Soldat grec 1: Bien. Il se rendra enfin utile.
Bayek tua les phylakitai de l'arsenal et s'aventura dans le canal située sous le palais royal.
- Bayek: Ah, ça doit être la patrouille dont parlait Phanos. Je dois m'occuper d'eux. Je pourrai peut-être mettre le feu à la felouque.
Bayek se débarrassa des derniers soldats et retourna voir Phanos.
- Phanos le Jeune: Bayek ! Tu es de retour. C'est fait ? Les rues sont libres ? Les poètes alexandrins peuvent enfin porter la révolution ?
- Bayek: Je me suis occupé de tous les phylakitai de Gennadios.
- Phanos le Jeune: Bayek, tu es un poète du meurtre.
- Bayek: Répands ton œuvre dans la ville.
- Phanos le Jeune: Je t'aime, Bayek de Siwa. Plus qu'aucun autre medjaÿ, tu resteras dans l'histoire.
Conséquences[]
Bayek nettoya Alexandrie des derniers phylakitai de Gennadios, et obtint le dromadaire nommé Basus en guise de récompense.