- Cette page concerne la mémoire de Bayek. Vous recherchez peut-être la mémoire d'Ezio ?
Pax Romana est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Bayek de Siwa revécue en 2017 par Layla Hassan à travers l'Animus.
Description[]
Quelque chose qui ressemble à la paix est revenu dans la province romaine de Cyrénaïque. Bayek retourne voir quelques personnes qu'il a eu l'occasion d'aider.
Dialogues[]
- Dioclès : Je ne suis pas un acteur, Simonides !
- Simonides : Et je ne suis pas dramaturge, mais in vino veritas, Dioclès !
Bayek s'approcha des deux jeunes hommes.
- Dioclès : Bayek, mon ami ! Nous parlions justement de toi !
- Bayek : Je devrais m'inquiéter ?
- Dioclès : Non, non ! Simonides veut que je joue mon rôle dans une comédie qu'il a écrite sur Léandre : Le Louable triomphe des sommités de Cyrène.
- Bayek : Très joli titre.
- Dioclès : Il est lucide sur la qualité de son œuvre, mais nous pensons qu'organiser une fête fera du bien à tous. Et pour ça, j'ai un dernier service à te demander…
- Bayek : Pas de jouer dedans, j'espère ?
- Dioclès : La villa de Léandre devrait être remise à la ville, mais sans titre de propriété, c'est impossible. Or les Romains nous refusent l'accès au bureau de Léandre, à l'acropole.
- Bayek : Ils me laisseront entrer. Je te le trouverai.
Bayek partit récupérer le titre de propriété de la villa de Léandre que ce dernier avait caché sous l'acropole romaine de Cyrène.
- Bayek : Quelle meilleure cachette que ces quartiers dissimulés ?
Titre de propriété de la villa de Léandre
Les documents juridiques permettant à Dioclès de transférer la propriété de la ferme de Léandre au peuple, qu'il avait spolié. |
- Bayek : Les titres de la villa ! Dioclès sera content. Il va enfin pouvoir tourner la page.
Après avoir trouvé le titre de propriété, Bayek retourna voir Dioclès pour le lui apporter.
- Bayek : Voilà ton titre de propriété.
- Dioclès : Le peuple n'avait plus confiance en ses magistrats. Ceci aidera à la restaurer.
- Bayek : C'est par des actes que tu gagneras l'estime du peuple, Dioclès.
- Dioclès : Vitruvius est bien l'un de tes amis ? Un marchand de passage dit l'avoir vu sur la route, près de la citadelle, et il semblait avoir des ennuis.
- Bayek : Cet architecte est un homme honnête.
- Dioclès : On dit que ses grands travaux ont redonné vie au sud de la Cyrénaïque. J'aimerais beaucoup le rencontrer.
- Bayek : Peut-être à l'Oracle d'Apollon ? Je vais aller voir Vitruvius, l'un des rares Romains qui rêve encore.
Bayek alla trouver Vitruvius, victime d'une embuscade sur le chemin de la citadelle.
- Bayek : Vitruvius ! Dioclès m'a dit qu'on t'avait attaqué !
- Vitruvius : Sur le chemin de la citadelle. Une bande de maraudeurs m'a pris mon manuscrit, l’œuvre de ma vie : De Architectura.
- Bayek : Nous vivons des temps dangereux, mais des bandits qui s'intéressent aux écrits ?
- Vitruvius : Je n'ose imaginer ce qu'ils vont en faire. Ils sont incapables d'apprécier la fonction de l'approche moderne de l'architecture.
- Bayek : Je vais te le rapporter avant qu'ils s'en servent pour faire un feu. Ou pire.
Bayek monta sur son cheval, et se rendit dans le repaire du ravin désespéré où il assassinat les bandits et récupéra l’œuvre de Vitruvius.
De Architectura
Je dédie cette oeuvre à la déesse Rome. Moi, Vitruvius, j'y discute des préceptes de l'architecture. L'architecture comporte trois branches : la construction, la proportion et la mécanique. La construction se divise en deux parties. La première a trait au plan général de la ville et de ses édifices publics, la deuxième est consacrée aux bâtiments privés. Les édifices publics se rapportent à la défense, à la religion et à la sécurité du public. Les édifices défensifs protègent les habitants de la ville des attaques ennemies. |
- Bayek : L’œuvre de Vitruvius, sauvée pour la prospérité. En de mauvaises mains, le savoir tend à se perdre.
Bayek retourna voir son ami architecte à Aquaeductus Kyrenaike.
- Vitruvius : Tu l'as trouvé ? Loué soit Jupiter.
- Bayek : Ils ont eu du mal à s'en détacher.
- Vitruvius : Je suis sûr qu'ils s'en servaient déjà pour améliorer leur misérable repaire ! Merci, mon ami, je vais t'en dédier un chapitre.
- Bayek : Très honoré. Au fait, mon ami Dioclès aimerait beaucoup le lire. Il nous attend au sanctuaire de l'Oracle.
- Vitruvius : Excellente idée !
- Bayek : Je dois aller voir quelqu'un, je t'y retrouverai plus tard.
Vitruvius s'exécuta et partit rejoindre Dioclès.
- Bayek : Je dois aller voir Praxilla. Elle serait à sa place en compagnie des grands esprits de Cyrène.
Bayek alla voir Praxilla à l'hospice de Balagrae.
- Praxilla : Bayek, je ne m'attendais pas à te revoir ! J'ai appris que Flavius avait quitté ce monde.
- Bayek : Un jour que j'ai attendu avec impatience. Comment vont les choses à Balagrae ?
- Praxilla : Les Romains sont plus coopératifs depuis la disparition de Melitta.
- Bayek : Oui. L'avenir le dira. Et ton ami, Crios ?
- Praxilla : Je lui enseigne les arts guérisseurs. Mais hier, je l'ai envoyé cueillir des herbes dans les collines, à l'est, et il n'est pas revenu. Je m'apprêtais à aller le chercher.
- Bayek : Je m'en charge si tu vas au sanctuaire de l'Oracle. Il y a quelqu'un qui aimerait te rencontrer.
- Praxilla : Est-ce que... Ah, j'ose à peine espérer...
- Bayek : Je vous rejoindrai dès j'aurai trouvé Crios.
Bayek alla trouver Crios qui s'était réfugié sur le haut d'un rocher pour échapper à des lions.
- Crios : Au secours ! Au secours ! Que quelqu'un tue ces bêtes !
Bayek élimina les lions.
- Crios : Toi ! Tu m'as déjà sauvé. J'ai cru que je faisais un rêve. Tu es un ami de Praxilla !
- Bayek : Tu as pris l'habitude de t'attirer des ennuis.
- Crios : Oui, la plante révèle ce qui était dans la graine… Je m'efforcerai d'être plus prudent. Merci, protecteur.
Après avoir sauvé l'ami de Praxilla, Bayek parti rejoindre ses amis à l'Oracle d'Apollon qui débattaient déjà entre eux.
- Vitruvius : Oui, oui, Dioclès, ton argument est certes fondé, mais la fonction ne doit jamais être la seule considération. Il y a aussi la perfection de la forme, la beauté pour la beauté. Il est évident que tu l'apprécies dans d'autres domaines, n'est-ce pas, Praxilla ?
- Praxilla : Tu le fais rougir, Vitruvius.
- Dioclès : C'est toi qui nous as réunis, Bayek.
- Vitruvius : Le triumvirat de Cyrène ! Les hérauts d'une paix nouvelle dans cet avant-poste de Rome.
- Praxilla : Chacun considère son horizon comme les confins du monde, mais grâce à toi, notre horizon s'est élargi.
- Dioclès : Et Praxilla et moi allons nous marier.
- Praxilla : Dioclès ! Je n'ai pas encore accepté.
- Vitruvius : Si tu as un jardin et une bibliothèque, tu as tout ce qu'il te faut. Alors buvons, mes amis !
- Praxilla : À Bayek et à Cyrène !
- Dioclès : À la paix et à l'ordre.
- Bayek : À l'amour et aux noces.
- Vitruvius : [Vade en pace] (Va en paix), Cyrénaïque.
Dioclès et Praxilla s'éloignèrent.
- Praxilla : Alors, tu vas m'accompagner à Balagrae ?
- Dioclès : Si c'est là que tu veux que nous nous installions.
- Praxilla : Tu pourrais accomplir beaucoup, là-bas.
- Dioclès : Tu es mon inspiration, ma douce.
Conséquences[]
Bayek aida Dioclès, Praxilla et Vitruvius dans diverses quêtes personnelles, leur permettant de se réunir à l'Oracle d'Apollon et de donner une nouvelle perspective à l'avenir de la Cyrénaïque. Il reçut en récompense l'arc de chasseur rare.