Nourrir le Fayoum est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Bayek de Siwa revécue en 2017 par Layla Hassan à travers l'Animus.
Description[]
Un tailleur de pierre et sa femme sont terrifiés après avoir entendu des cris horribles provenant de sous le temple. Elle demande à Bayek d'enquêter.
Dialogues[]
Une habitante de Karanis appela Bayek.
- Femme: (Homme) ! Il faut que je te parle.
Non ! Par pitié ! Je dois te parler !
(Homme) ! J'ai besoin d'aide. Tu es le seul qui puisse m'aider.
Tu es un medjaÿ ? Je ne peux me fier à personne ici. Je t'en prie, aide-moi !
(Homme) ! Je dois te parler !
Bayek approcha de la femme.
- Femme: Je t'ai vu avec le phylakitai de Karanis. Tu es un protecteur ?
- Bayek: Oui. Qu'est-ce qui ne va pas ?
- Femme: Je t'en prie, tu dois nous aider. Hier, mon mari a vu quelque chose de terrifiant. Des soldats ont traîné un homme sous le temple. Ensuite, il y a eu des cris ! Nous souffrons déjà de la faim et le grain manque. Maintenant, j'ai peur que les soldats emmènent mon mari. Nous ne pouvons nous fier à personne, même pas aux phylakitai.
- Bayek: Je vais aller parler à ton mari. Dis-moi où il se trouve.
- Femme: Il est tailleur de pierre et travaille près du temple. Mais fais attention : il ne faut pas que les soldats te voient lui parler !
Bayek alla parler au tailleur de pierre.
- Bayek: Tailleur de pierre, ta femme est venue me voir.
- Homme: Chhhut ! Comment as-tu grimpé ici ? Par Amon, cette femme exagère. Je lui ai dit : "Que peut-on y faire ?" Fais comme si de rien n'était. C'est ça. Semblant de rien.
- Bayek: Calme-toi ! Elle a dit que tu avais vu des soldats emmener quelqu'un sous le temple.
- Homme: Oui. Non !... Oui. D'accord, c'est vrai. Ce n'était pas la première fois, mais hier, ah... J'ai entendu des cris qui auraient réveillé les dieux ! Des cris atroces ! Maintenant, laisse-moi avant que quelqu'un ne te remarque. Fais semblant de rien.
Quoi ? Encore toi ? Non ! Va-t'en ! Quelqu'un va te voir.
Le tailleur de pierre fit mine de siffloter en reprenant son travail. Bayek se mit en route vers le sous-sol du temple de Karanis.
- Bayek: Quand on ne sait pas siffler, on se tait.
Bayek s'infiltra dans les réserves souterraines de Karanis.
- Bayek: Ça ressemble à l'endroit dont a parlé le tailleur de pierre.
Bayek trouva une salle en désordre.
- Bayek: Par Amon ! Qu'est-ce qui s'est passé ici ?
Du grain était entreposé sur des étagères.
- Bayek: Il y a ici tellement de grain alors que beaucoup de gens en manquent. Et on dirait qu'ils ont l'intention de le déplacer. C'est de la contrebande ?
Bayek trouva des traces de sang.
- Bayek: Du sang, en quantité. Ça explique les hurlements.
Bayek trouva une lettre.
Message du Boucher
Ton paiement se trouve à l'endroit habituel, sous le Sobek qui baigne. |
- Bayek: Un homme appelé le Boucher martyrise des paysans. Je dois le trouver. En suivant la piste du butin. Un Sobek qui baigne. Qui baigne... qui baigne dans l'eau. Un Sobek dans l'eau... Mmh...
Bayek arriva à proximité du temple englouti de Pnepheros.
- Bayek: Il y a une ruine de Sobek pas loin d'ici. Le butin du Boucher pourrait y être.
Il y a des gardes. C'est sans doute le bon endroit. Le "Sobek qui baigne" doit être tout près.
Bayek se faufila entre les gardes.
- Soldat 1: Il l'avait cherché. On ne peut pas laisser ces rats des sables d'Égyptiens s'enhardir. Allez, vite ! Cette cargaison doit passer par le dromos demain.
- Soldat 2: Je n'avais encore jamais coupé le bras d'un homme. Tu as vu la qualité de la découpe ? Autour de l'os, là. Du grand art.
- Soldat 1: Ha ha ! Ce qu'il a pu hurler. Aucun paysan n'osera plus résister, maintenant.
- Soldat 2: S'ils connaissaient le Boucher, ils n'y penseraient même pas. Il a eu de la chance de garder sa tête. Quand on aime la vie, on ne met pas cet homme en colère.
- Soldat 1: On ne devrait même pas en parler. S'il l'apprend, gare à nous. Profil bas, c'est tout.
Bayek vit une statue engloutie.
- Bayek: Une statue dans le lac. Ce doit être le "Sobek qui baigne" de la lettre du Boucher.
Bayek plongea sous la statue et trouva
- Bayek: Il y a une gravure qui représente Soknopaiou. Un village à l'ouest d'ici. Les pièces se trouvent dans des sacs utilisés pour le grain. Est-ce que ça vient d'un grenier ?
Bayek trouva l'entrepôt à Soknopaiou Nesos.
- Bayek: Beaucoup de gardes pour un simple grenier. C'est sûrement l'endroit. Si je veux des réponses, je vais devoir entrer.
Bayek se faufila dans l'entrepôt, sous bonne garde.
- Bayek: Le Boucher ne doit pas être loin. Qu'est-ce qu'ils cachent, ceux-là ?
Bayek croisa d'autres soldats.
- Soldat 1: Il paraît qu'on lui a coupé le bras sur ordre du Boucher. J'imagine que ça fait de nous des bandits, pas des soldats.
- Soldat 2: Chhut, parle moins fort !
- Soldat 1: (Merde !) Ce n'est sûrement pas pour ça que je me suis engagé.
- Soldat 2: Mais c'est ce qui te nourrit. Autant t'y faire. Quand le Boucher demande quelque chose, on le fait. C'est comme ça.
Bayek se débarrassa des soldats et fouilla l'entrepôt.
- Bayek: C'est ici qu'ils cachent tout le grain. Le grain qu'ils ont volé aux familles du Fayoum. Que ces (pourritures) soient maudits. Je dois inspecter les lieux.
Bayek trouva du grain.
- Bayek: Encore du grain. Les riches remplissent leurs greniers alors que les pauvres ont faim. Ça doit cesser. Je dois continuer à chercher.
Bayek trouva des documents sur une table.
- Bayek: Des registres d'achat de grain. Ce que paie le Boucher ne permet pas aux paysans de vivre. Je dois découvrir où ce vautour se cache.
Bayek trouva un message du Boucher à ses hommes.
Message urgent du Boucher
Entrepose le grain comme d'habitude. La cargaison partira dans quelques jours, alors veille à ce que tout soit prêt. Apporte le décompte final à mon bureau, en haut de la villa, où je dois corriger tes erreurs. À la prochaine, tu y laisseras ta tête. |
- Bayek: Ah, voilà. Le Boucher est dans la villa voisine. Il est temps que je parle à ce Boucher.
Une échelle mena Bayek à la chambre des splendeurs.
- Bayek: Digne d'un palais. Cette villa a été bâtie sur la peine des paysans du Fayoum.
Bayek gagna la villa du Boucher, lequel était dans son bureau.
- Le Boucher: Dès que la cargaison arrive, vous partez sur-le-champ. Nous pouvons remercier les adorateurs fanatiques de Ouadjet, à Karanis, d'avoir détourné l'attention de nous.
- Soldat: Tout ce grain. On ne devrait pas en laisser un peu aux paysans ?
- Le Boucher: Tais-toi et fais ce qu'on te dit. C'est ce grain qui paie la bière et les filles. Tu croyais peut-être que tu leur plaisais parce que tu es soldat ?
Bayek fit irruption dans le bureau du Boucher.
- Le Boucher: Ah, voilà le (crétin) qui s'est mêlé de mes affaires. Nous parlions justement de toi.
- Bayek: Tu as volé le grain du Fayoum... affamé les gens pour de l'argent.
- Le Boucher: Tu n'es pas du Fayoum, toi ? À ta façon de parler, tu viens d'un trou perdu.
- Bayek: Ce grain doit nourrir les Égyptiens.
- Le Boucher: Pauvre (chien) de la cambrousse. Mes ordres viennent d'en haut. Si c'est pas moi, quelqu'un d'autre le ferait. C'est les affaires. Les gens paient ce qu'ils doivent ou je leur prends. Ça n'a rien de personnel. Maintenant, je te laisse le choix : tu me laisses tranquille et tu vis, ou tu meurs.
- Bayek: D'autres pensaient comme toi. Ils ont tué mon fils. Alors tout est personnel, sale (pourriture).
Le Boucher fit signe à ses hommes d'attaquer Bayek et prit part au combat.
- Bayek: Je vais te tuer !
- Le Boucher: Gardes ! Occupez-vous de ça !
Bayek assassina le Boucher.
Conséquences[]
Bayek assassina le Boucher.