Matsudaira Katamori

Matsudaira Katamori
Infos biographiques
Naissance	NC
Décès	1869
Période	Époque Edo, Ère Meiji
Infos monde réel
Apparaît dans	Assassin's Creed Fragments: La lame d'Aizu

Matsudaira Katamori (NC - 1869) était un samouraï et le neuvième daimyo du domaine d’Aizu.

Biographie

Peu avant la guerre de Boshin, Matsudaira Katamori invita le clan Shiba vassal du clan Matsudaira dont il était le chef.Il fit de Shiba Ibuka l’un de ses hatamoto (garde personnel officiel). Lors de la déclaration de la guerre de Boshin, Katamori, par sens de l’honneur, leva l’armée du domaine d’Aizu pour rejoindre les forces shogunales Tokugawa. Lors de l’attaque du camp par William Lloyd et les neuf samouraï, Katamori arriva une fois le combat et tomba sur Ibuka tenant le katana du daimyo Saigo Kayano qu’il avait chargé de protéger. Malgré l’échec d’Ibuka à la suite de la mort de Kayano, Katamori fit de lui un héros persuadé qu’il était responsable de la mort des samouraïs qui gisaient sur le sol, ainsi que d’avoir évité que le katana soit volé par l’ennemi. Il récupéra le katana pour lui-même.

Durant le siège d’Aizu Katamori dirigeait les forces défensives d’Aizu. Katamori se vit remettre les plans ennemis par Nakano Takeko qui avaient été récupérés par une adolescente qui lui fut présenté par Takeko. Grâce à ces plans, il décida qu’il chargerait les canons ennemis avec les samouraïs pour les détruire et qu’une fois fait, ils retourneraient dans le château. Pour lui avoir fournit les plans, il offrit à Takeko la possibilité de former une unité composée uniquement de femmes. Il refusa que cette unité participe à la charge, malgré l’insistance de Takeko. Katamori périt lors de la charge, tué par le Templier Lloyd, le katana de Kayano fut quant à lui récupéré par Ibuka.

Note

• Historiquement, Matsudaira Katamori mourut le 5 décembre 1893. À la suite de la guerre de Boshin, il fut assigné à résidence à Tokyo puis libéré, et deviendra par la suite prêtre en chef du sanctuaire Tōshō-gū Nikkō. Il essaya même durant la guerre, de se rendre, mais on lui refusa.

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