Wiki Assassin's Creed

Assassin's Creed Red devient Assassin's Creed Shadows ! Découvrez le premier trailer et toutes les infos sur notre page dédiée.

EN SAVOIR PLUS

Wiki Assassin's Creed
Advertisement
Wiki Assassin's Creed
UWbookicon
« Je sais que t'as un cœur énorme et qu'il y a pas de place dans ce monde pour un cœur comme le tien. Le monde les dévore. Il les dévore et les recrache. Est-ce que je m'inquiète pour toi ? Oui j'm'inquiète. »
– Maggie faisant part de son inquiètude au Fantôme, 1862[src]

Maggie (1802 – 14 septembre 1862) était une femme britannique vivant à Londres à l'Époque victorienne. Pauvre et miséreuse, elle vivait dans un petit Tunnel, sous la Tamise, où s'était regroupé une petite communauté de pauvres hères et où elle était considérée comme une mère.

Biographie[]

Rencontre du Fantôme[]

Comme la plupart des autres âmes qui vivaient dans le tunnel, Maggie était pauvre, et il lui arrivait de mendier. Peu de choses sont connues de son passé, comme pour la majorité de ses pairs partageant son cadre de vie. Un jour, en 1862, Maggie fut passée à tabac dans le cimetière de l'église de St. Marylebone par cinq cogneurs ivres qui, pour passer le temps, avaient décidé de passer leurs nerfs sur cette pauvre femme sans défense. L'un d'entre eux était un aristocrate qui avait engagé des gardes du corps pour empêcher tout individu d'interférer à sa triste besogne.

Néanmoins, l'Assassin Jayadeep Mir, qui travaillait sous la fausse identité de Bharat Singh et était venu au cimetière pour guetter un signal de son maître, aperçut les cinq malfrats rouer de coups la pauvre Maggie. Il exigea alors qu'ils la laissent tranquille et, devant leur refus, les attaqua. Il les maîtrisa facilement, en rendant un handicapé pour le restant de ses jours et en saisissant un. Mais au moment de porter le coup fatal, sa main trembla et son assaillant prit le dessus et s'apprêta à le tuer, mais Maggie le fit tomber, sauvant la vie de Jayadeep qui n'hésita pas deux fois. Néanmoins, l'aristocrate était parvenu à s'enfuir, et Jayadeep n'avait plus le cœur à la suivre.

Maggie le remercia et se présenta. Touché par la vieille dame, il décida de l'accueillir au sein de son alcôve de la Tamise, où Maggie devint aussitôt une figure maternelle pour les pauvres âmes qui y habitaient. Maggie distribuait de la nourriture à tous les habitants, et elle était aimée de tous, particulièrement de Charlie et Jake. Jayadeep et elle entretenaient un rapport particulier. Ils dormaient dos à dos, pour se tenir chaud, et l'Assassin lui donnait parfois de l'argent et lui apprenait à lire, le soir, à la lueur d'une chandelle.

Quand Jayadeep se rapprocha de plus en plus du contremaître du chantier du Métropolitain, un certain Cavanagh, ce dernier fit venir plusieurs de ses hommes jusqu'au tunnel pour interroger ses habitants sur l'Indien. Maggie leur apprit qu'il lui avait sauvé la vie, et qu'elle le considérait comme un fils. Quand il fut de retour, Maggie lui apprit la nouvelle, et dès lors, Jayadeep fut de plus en plus inquiet pour les résidents du tunnel, qui étaient devenus sa nouvelle famille.

Mort[]

Le 14 septembre 1862, jour de la tant attendue inauguration du Métropolitain, la mission de Jayadeep échoua. Cavanagh avait certes été tué, mais son acolyte et meurtrier Marchant décida de se venger de l'Indien et d'envoyer le dernier de ses cogneurs encore en vie, l'Autre Hardy, au tunnel, pour s'occuper de Maggie et des habitants.

La vieille dame se battit comme un lion et les injuria de tous les noms, jusqu'à ce que Jayadeep ne leur vienne en aide. Il mit ainsi fin à la vie de l'Autre Hardy et repoussa les assaillants. Maggie avait déjà été mise "en sécurité" par un homme, Leonard Hazlewood, qui n'était autre qu'un détective privé engagé par l'aristocrate du cimetière, entre temps mort, pour exiger réparation. Jayadeep découvrit son corps, poignardé à plusieurs reprises, avec simplement un papier accroché à ses vêtements, expliquant que la dette était réglée. Le Fantôme resta de nombreuses heures sur son cadavre, pleurant celle qu'il avait considéré comme une mère.



Advertisement