Les enfants des rues est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Bayek de Siwa revécue en 2017 par Layla Hassan à travers l'Animus.
Description[]
Des enfants disparaissent dans les rues de Memphis, et seuls leurs amis remarquent leur absence. Bayek doit les trouver et les mettre à l'abri.
Dialogues[]
Bayek se promenait à Memphis lorsqu'un marchand cria à l'aide.
- Homme: Au voleur ! Au voleur ! Medjaÿ ! Attrape ce petit bon à rien. Vite ! Tous les miséreux d'ici pensent qu'on leur doit la charité...
Ramène-moi ce (gredin) ! Je vais lui faire goûter à mon fouet, un coup pour chaque bouchée de fruit volée.
Qu'est-ce que tu fais encore ici ? Va, va !
Bayek prit le garçon en chasse.
- Bayek: Plus tu me feras courir, plus ça se passera mal pour toi !
- Iphri: Tu n'es pas très rapide pour un medjaÿ !
- Bayek: Comment un enfant si petit peut courir aussi vite ?
L'enfant sauta dans la cour d'une maison où l'attendaient des bandits.
- Bandit 1: Qu'est-ce que tu rapportes, gamin des rues ?
- Iphri: Une pomme.
- Bandit 1: Une pomme ? Ha, retournes-y et reviens avec quelque chose de plus consistant. Tu nous coûtes plus cher qu'un poignée de pommes. Est-ce qu'il faut dire à maîtresse Gaia de s'occuper de lui ?
- Iphri: Non, non !
- Bandit 2: On décidera de ce qu'on fait de toi plus tard.
L'enfant s'en alla.
- Bandit 1: Maudits gamins. Impossible de compter sur eux.
- Bandit 2: Tu t'attendais à quoi ? Ça fait des années qu'ils traînent dans les rues.
- Bandit 1: Arrête de geindre !
Bayek sauta à son tour dans la cour et affronta les bandits.
- Iphri: Vas-y, frappe !
Casse-leur toutes les dents !
Vas-y, Medjaÿ ! Allez !
Bayek triompha des bandits.
- Iphri: Tu as réussi ! Je savais que tu y arriverais.
- Bayek: Tu m'as amené ici pour te débarrasser de ces bandits ?
- Iphri: Bien sûr ! Je suis très malin... Tout le monde te le dira.
- Bayek: Si tu es si malin, comment tu t'es retrouvé forcé à travailler pour des bandits ?
- Iphri: Je ne travaille pas pour eux ! Une vieille mégère a enfermé plusieurs d'entre nous. Elle nous oblige à voler pour elle.
- Bayek: Enfermé ?
- Iphri: Oui. Ma sœur devait nous délivrer. Elle m'avait dit de la retrouver près du chantier naval, mais elle n'est jamais venue ! Tu veux bien la chercher ? Je te volerai une pomme...
- Bayek: Tu n'as pas besoin d'acheter mon aide. Je te l'offre. Comment s'appelle ta soeur ?
- Iphri: Kawit. Et moi, c'est Iphri. Si tu trouves Kawit, dis-lui que je lui en veux !
Je n'arrive pas à croire qu'elle m'ait fait attendre toute la journée au chantier naval. C'est moche, là-bas. Et ça pue.
Est-ce que tu as trouvé ma sœur ? - Bayek: Pas encore.
Bayek gagna le chantier naval de Memphis, où se trouvait les restes d'un navire incendié.
- Bayek: Ce navire de voguera pas avant longtemps.
Bayek trouva un mât.
- Bayek: C'est le mât du navire qui a brûlé. Une voile de couleur. C'est assez rare.
Bayek trouva une poupée près d'une cage brisée.
- Bayek: Les enfants sont gardés en cage.
Bayek examina la cale du navire.
- Bayek: Mmh. Ce navire était en cale sèche quand il a brûlé. Des traces d'huile. Mmh...
Bayek rencontra un ouvrier travaillant sur le chantier.
- Bayek: Cet incendie a dû rendre Rê jaloux.
- Homme: Oui, il paraît que le navire a pris feu dans le port, hier soir.
- Bayek: Comment c'est arrivé ?
- Homme: J'en sais rien. Je me contente de le remettre en état.
Bayek vit un marchand à proximité du chantier.
- Bayek: Un marchand d'huile. Il a peut-être vu Kawit.
Bayek parla au marchand d'huile.
- Homme: Si quelqu'un touche à mes jarres, je lui casse la tête !
N'approche pas ou je te casse la tête !
Recule, je te dis ! Je n'aime ni les voleurs, ni les rôdeurs. - Bayek: Calme-toi. Tu as vu une jeune fille du côté du chantier naval, hier ?
- Homme: J'en vois plein, des filles, tous les jours... et la plupart ne valent pas le détour.
- Bayek: Elles pensent sûrement la même chose de toi.
- Homme: Si tu voulais des informations, tu viens d'en tripler le prix.
- Bayek: Je préférerais encore jeter ma bourse à l'eau.
Bayek réfléchit.
- Bayek: Il doit exister un autre moyen de le faire parler.
Certains hommes ne parlent que le langage de la violence.
Bayek menaça le marchand, si possible en brisant ses jarres d'huile.
- Homme: Je vais te parler de cette fille mais je t'en prie, ne casse plus rien !
Arrête, espèce de brute ! Je vais tout te dire !
Par les membres d'Osiris, tu sais te montrer cruel ! - Bayek: Qu'est-ce qui est arrivé à la fille ?
- Homme: Je l'ai regardée deux fois. Et la deuxième fois, elle était en train de voler ma plus grosse jarre. Elle s'est évanouie comme un démon en plein jour. À mon retour, des vauriens étaient en train de détruire mon stock ! Puissent tous tes pareils pourrir au fond du Nil.
Bayek s'imagina le récit des événements.
- Bayek: Je crois que j'ai compris ce qui s'est passé ici. Kawit a volé une jarre d'huile à cet imbécile de marchand et elle l'a cachée en attendant la nuit. Profitant de l'obscurité, elle a versé l'huile dans le navire et elle y a mis le feu. L'incendie s'est étendu à tout le navire. Pendant que le navire brûlait, Kawit a libéré les enfants retenus sur les quais. Mais les bandits ont dû l'attraper. Le responsable des enlèvements est probablement le propriétaire de ce navire.
Senu localisa un autre navire à voile colorée au repaire d'Apagogeas.
- Bayek: Un enfant qui se cache. Et voilà cette voile colorée.
Bayek infiltra le campement.
- Bayek: Les bandits sont à la recherche de l'enfant.
- Bandit 1: Où sont ces petits morveux ?
- Bandit 2: Ce sont des gamins. Ils n'ont pas pu aller bien loin.
- Bandit 3: C'est la petite sorcière qui a mis le feu au navire qui les a libérés.
- Bandit 1: Si on ne trouve pas ces gamins, maîtresse Gaia va nous le faire payer !
- Bandit 2: Il faut mettre le feu aux broussailles ?
- Bandit 3: Des oiseaux cachés dans les roseaux... On va les débusquer.
Bayek se faufila auprès de la jeune fille.
- Kawit: Les bandits ne vont pas me laisser en paix ! Je ne peux plus fuir !
- Bayek: Je m'en occupe. Couvre-toi les yeux.
Bayek élimina les bandits.
- Bayek: Il faut que je parle à cet enfant.
Bayek parla à l'enfant.
- Bayek: C'est ton frère qui m'envoie. Où est Kawit ?
- Enfant: Ils l'ont emmenée, avec tous les autres, dans une maison de la ville. La maison d'une dame riche, Gaia. C'est tout près du temple d'Hathor. Tu vas sauver ma famille ?
- Bayek: Au nom de la déesse-mère, je le ferai.
Bayek infiltra la villa de Gaia à la recherche de Kawit. Il y entendit des bandits, qui semblaient être d'anciens enfants capturés par Gaia.
- Bandit 1: Alors, qu'est-ce qui te manque le plus ?
- Bandit 2: Ah, la cuisine de Mouty... C'est la reine de la perdrix à la moutarde. Je me demande pourquoi je suis parti.
- Bandit 1: Moi, je sais pourquoi je suis parti.
- Bandit 2: Je n'aimerais pas savoir ce qu'elle pense de moi.
Bayek accéda à la cave de la villa.
- Kawit: Par ici ! Ouvre la porte ! C'est l'un de ces bandits qui sent mauvais qui a la clé.
- Bayek: Je n'ai pas la clé de ta cellule.
- Kawit: Alors, dépêche-toi d'aller la prendre à un de ces crétins de bandits !
Je t'ai dit qu'un de ces mangeurs de bouse de bandits avait la clé ! Tue-les et reviens avec !
La clé ! Va chercher... la clé !
Va chercher la clé sur ces cervelles de cire !
Bayek élimina les gardes et récupéra la clé sur l'un d'eux.
- Bayek: C'est sûrement la clé de la cellule de Kawit.
S'il avait trouvé la clé avant de parler à Kawit.
- Bayek: Pourquoi ce garde avait-il une clé ? Elle doit ouvrir quelque chose d'important.
Bayek trouva une pile de lettres à l'étage de la villa.
- Bayek: Gaïa conservait un grand nombre de lettres. J'en apprendrai davantage sur elle en les lisant.
Lettres de Gaïa
G. Inutile de te montrer aussi évasif, Aemilius, ça reste entre nous. Je t'en prie, cherche-toi un autre fournisseur. Il parviendra peut-être à former tes sacs de grain en moins de temps que moi, mais j'en doute. G. Une fois encore, Aemilius, inutile de prétendre que nous sommes autre chose que des négociants discutant d'un contrat. Tu peux mentionner mon nom. G. Aemilius, il en sera fait ainsi. G. Nous nous impatientons, Gaïa. Cela ne doit pas être si difficile de trouver un autre lot de morveux. Aemilius, |
Bayek retourna auprès de Kawit.
- Bayek: J'ai la clé.
- Kawit: Alors, ouvre, par les tétons poilus d'Amon !
Bayek libéra Kawit de sa cellule.
- Kawit: Longue vie à toi ! C'est Nef qui t'envoie ?
- Bayek: Non, c'est Iphri.
- Kawit: Où il est ?
- Bayek: Comment ça ?
Iphri fit irruption dans la cave.
- Iphri: Je t'ai suivi tout le temps !
- Kawit: Ramène Matia à la maison. Vite !
Iphri et Matia s'en allèrent.
- Bayek: Eh, pourquoi tu ne vas pas avec eux ?
- Kawit: Je dois retrouver la maudite Romaine qui a fait ça à ma famille. Si tu veux m'aider à la tuer, retrouve-moi chez Nef.
Conséquences[]
Bayek libéra les enfants de leur ravisseuse, une Romaine du nom de Gaïa.