Le dernier des medjaÿ est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Bayek de Siwa, revécue en 2017 par Layla Hassan à travers l'Animus.
Description[]
Bayek revient au repaire et y retrouve Aya, accompagnée de ses nouveaux amis romains.
Dialogues[]
Bayek retourna au repaire sous la Grande bibliothèque. Il y trouva Aya et ses alliés.
- Aya: Bayek, ça fait si longtemps.
Aya prit Bayek dans ses bras.
- Bayek: Flavius est mort. J'ai affronté l'horreur pour arracher notre fils à la Douât. Khemou est en paix.
- Aya: Puisse-t-il arpenter les Champs de roseaux. Je vais à Rome pour…
- Bayek: Rome ? Aya, tu ne vois donc pas la folie de tes ambitions ?
- Aya: J'ai fait des erreurs, tu en as fait aussi…
Un homme appela Aya.
- Brutus: Aya !
- Bayek: Tu gaspilles ton énergie !
L'homme s'approcha du couple.
Aya mena présenta ses nouveaux alliés.
- Aya: J'ai formé un groupe. Voici Brutus et Cassius. Ce sont nos frères romains.
- Phoxidas: Nous allons abattre ces chiens à l'autre bout de la mer. Septimius et César.
- Aya: L'Ordre n'est plus seulement le souci de l'Égypte.
- Bayek: Cléopâtre règne toujours ?
- Aya: Personne ne règne sur l'Égypte. Elle est soumise aux caprices de plusieurs tyrans.
- Phanos le Jeune: Notre reine nous a abandonnés pour Rome. Rien n'a changé ici. Memphis est sous l'emprise de l'Ordre. Aya, tu dois agir.
Bayek se retrouva seul dans le repaire, et plaça la Pomme dans un coffre.
- Bayek: Ça ne peut pas finir comme ça. Aya… Cette maudite sphère doit rester cachée à jamais. Elle a causé trop de malheur.
Bayek retrouva Aya sur la plage, regardant sa trirème à l'horizon.
- Bayek: Nos victoires s'accumulent, mais notre lien se délite.
- Aya: Nous sommes destinés à nous quitter. Tout nous dit que notre amour est impossible.
- Bayek: Tu avais raison : nous luttons pour quelque chose de plus grand. Mais notre amour vit dans la Douât.
- Aya: Sauf qu'il nous faut l'abandonner.
- Bayek: Laisse les dieux en décider.
- Aya: Les dieux sont morts.
- Bayek: Nous devons oublier nos vies pour le bien commun. Toute cette souffrance avait un sens.
- Aya: J'ai eu tort, nous n'aurions pas dû tuer en public. Nous devons oeuvre dans l'ombre.
- Bayek: L'Égypte est à terre. La Grèce aussi. Rome tombera à son tour. Tous tomberont devant le crédo. Mais personne ne le saura.
- Aya: Quand nous assassinerons, nous ne frapperons que ceux qui le méritent. Les quelques esprits malades qui veulent nous contrôler… mais ils ne sauront jamais qui nous sommes. Froids, calculateurs, des poètes de la mort.
- Bayek: Je suis d'accord, Aya. Je ne suis plus un père. Je ne suis plus un mari. Ni même un medjaÿ. Je suis Celui qu'on ne voit pas.
Bayek arracha son pendentif de crâne d'aigle, un souvenir de Khemou, et le jeta dans le sable.
- Aya: Oui… Nous sommes Ceux qu'on ne voit pas.
- Bayek: Nous aiguisons nos lames… pour attiser l'espoir de ce monde en ruine.
Aya prit le bras de Bayek.
- Aya: Bayek, Bayek de Siwa. En quoi crois-tu ?
- Bayek: Au nouveau crédo. Le nôtre n'est plus.
Bayek s'en alla, laissant Aya seule sur la plage. Elle ramassa le crâne d'aigle, et l'empreinte particulière qu'il laissa dans le sable deviendra l'emblème de leur Confrérie.
Conséquences[]
Bayek et Aya se séparèrent. Aya partit pour Rome avec comme projet d'y assassiner César et Septimius, et leur Confrérie prit le nom de "Ceux qu'on ne voit pas" en référence au dieu Amon.