La trahison d'un frère est une représentation altérée d'une mémoire génétique de Aguilar de Nerha.
Description[]
Journal d'Aguilar, 23e entrée
Apprendre qu’un de nos frères nous avait trahis nous a dévastés. Alvarado, notre contact dans le nord de l’Espagne, était en réalité un agent double qui espionnait au profit de Ramírez depuis notre arrivée. Dès que nous avons découvert où se trouvait le troisième morceau du Bâton d’Éden, il a mené l’Inquisition sur place et s’est emparé de l’objet avant nous.
Nous avons suivi sa piste, qui nous a menés à la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle. Nous pensons que Ramirez, accompagné d’une forte escorte, attend là-bas qu’Alvarado vienne lui remettre la relique. Nous devons nous glisser dans la cathédrale, localiser Ramírez, récupérer le morceau du Bâton et, enfin, éliminer définitivement Ramirez.
Dialogues[]
Les Assassins espagnols se regroupèrent dans les souterrains de la cathédrale.
- Assassin espagnol 1 : Maudit Alvarado ! Nous lui avons fait confiance, et il nous a trahis... Il a trahi le Crédo ! Mais il en répondra.
- Assassin espagnol 2 : Notre priorité est de trouver Ramírez, de le tuer et de nous emparer du dernier morceau du Bâton d'Eden !
- Assassin espagnol 1 : Tu as raison. La mission avant tout... Mais si je vois Alvarado, il va le payer.
Ils atteignirent une salle dans laquelle Ramírez, accompagné de deux lieutenants, s'entretenait avec Alvarado.
- Ramírez : Bien joué, Alvarado. Ce stratagème était parfait. Les Assassins n'ont eu aucun soupçon. Ah, cette duperie a un goût délicieux...
Ramírez s'aperçut de la présence des Assassins, son escorte et lui se tournèrent vers eux. Alvarado se rapprocha de Ramírez.
- Ramírez : Ah, nos adversaires meurtris sont arrivés. Alors, et cette blessure, Assassins ? La trahison vous fait souffrir ? Vous n'aurez pas à l'endurer longtemps. Fidèles lieutenants, débarrassez-nous de ces importuns !
À peine sa phrase terminée, Alvarado poignarda Ramírez dans le dos.
- Ramírez : Quoi ? A-Alvarado, sale traître ! La fin... si près de mon triomphe ?
- Alvarado : Je vous maudits tous, les Assassins comme Ramírez ! Je suis mon propre maître, dorénavant ! J'apporterai moi-même cet objet à Torquemada et garderai la récompense pour moi seul ! Brûlez tous en enfer ! Je vous regarderai vous entre-déchirer et je vous survivrai tous !
Diego prit la fuite poursuivi par un lieutenant de feu Ramírez. Les Assassins affrontèrent le lieutenant restant et, une fois éliminé, se lancèrent à la poursuite de Alvarado. Une fois dehors ils s'arrêtèrent à côté du corps sans vie du deuxième lieutenant.
- Assassin espagnol 1 : Ramírez est mort ! Cela change beaucoup de choses ! Torquemada aura beaucoup plus de difficultés à faire exécuter ses ordres !
- Assassin espagnol 2 : Mais Alvarado s'est enfui. Là, c'est le corps du lieutenant de Ramírez, non ?
- Assassin espagnol 1 : Alvarado... Comment a-t-il pu trahir la Confrérie ? Méprisait-il à ce point le Crédo ? Et comment avons-nous pu nous montrer aussi aveugles ?
- Assassin espagnol 2 : C'est une honte. Il a foulé aux pieds nos idéaux au profit de son intérêt personnel. Nous devons le retrouver et récupérer ce morceau du Bâton d'Eden. Ensuite, Alvarado paiera sa traîtrise de sa vie.
- Assassin espagnol 1 : Allez, ses traces sont encore fraîches. Prenons-le en chasse, pour l'honneur de la Confrérie !
Conséquences[]
Alvarado trahit Ramírez et le tua, avant de prendre la fuite avec les morceaux du Bâton dans l'espoir de toucher une récompense auprès de Torquemada. Les Assassins espagnols assistèrent impuissants à la scène et continuèrent leur traque.