La tête du serpent est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Basim Ibn Ishaq.
Description[]
TBA
Dialogues[]
Basim se rendit au bureau de Harbiyah.
- Roshan : Tu as pris ton temps.
- Basim : As-tu attendu, maître ?
- Roshan : Je n'attends personne. Tu as l'air fatigué.
- Basim : Une petite aventure me remettra d'aplomb. Quelles sont les nouvelles ?
- Roshan : Ali pense que le moment est venu d'attaquer le palais. Les ouyoun (espions) sont distraits et la population, partagée.
- Basim : Comment ça, partagée ?
- Roshan : Certains affirment que le nouveau calife a volé le trône à Abu 'Abdallah, fils d'Al-Mutawakkil. Que sais-tu de lui ?
- Basim : Peu de chose. Il était au palais la nuit où son père…
Basim réfléchit un instant.
- Basim : La nuit où j'ai plongé la main dans ce coffre. Maître, en savons-nous plus sur l'objet qu'il contenait ?
- Roshan : Pourquoi demandes-tu ?
- Basim : Je trouve dommage que l'on en sache aussi peu sur une chose que l'Ordre convoitait autant. Ne devrions-nous pas chercher à mieux connaître nos ennemis pour mieux les vaincre ?
Fuladh les interrompit.
- Fuladh : Marhaban (Bienvenue), Basim ! Je vous ai interrompus ?
- Roshan : Loin de là. Nous allions aborder notre prochaine tâche.
- Fuladh : Bien sûr, Abu 'Abdallah. Rebekah m'a dit que tu avais rencontré sa mère, Qabiha…
- Basim : En effet. Je pense qu'elle pourrait être à la tête de nos ennemis. Elle, ou Arib la poétesse, ou Mohammed le gouverneur. Tous les trois avaient des liens avec nos adversaires.
- Fuladh : Mohammed Ibn Tahir… Ses cousins dirigent la contrée où se trouve Alamut.
- Roshan : Leur protection est notre seul bouclier contre nos ennemis.
- Basim : J'ai coupé les jambes de l'ennemi, maître. Laisse-moi frapper tant que saignent ses moignons, je le démasquerai et découvrirai ses intentions.
- Fuladh : Basim a raison. Nous devons agir vite.
Roshan acquiesça.
- Roshan : Va dans la ville ronde, Basim. Enquête sur les trois, mais sans agir. Ensuite, viens me rendre compte au sommet de la maison du Sceau privé.
- Basim : Une poétesse, un dirigeant et une concubine. Je saurai bientôt qui porte le masque.
Basim s'adressa à Fuladh.
- Basim : Fuladh, mon chasseur d'informations et maître des questions…
- Fuladh : Que puis-je pour toi, Basim ?
- Basim : Parle-moi d'Arib. Ses mots semblaient relever du dogme pour les membres de l'Ordre.
- Fuladh : C'est à son talent qu'Arib, artiste poétesse renommée, doit sa liberté. Selon Tabid, elle habite une luxueuse maison de la ville ronde. Une autre question ?
- Basim : Que sais-tu sur Qabiha ? Elle avait des liens avec le Trésorier.
- Fuladh : Née esclave, Qabiha est devenue la concubine préférée d'Al-Mutawakkil au harem. Mais son fils n'étant pas devenu calife, son avenir est incertain. Une autre question ?
- Basim : Parle-moi du gouverneur. Je l'ai vu donner des ordres à Wasif Al Turki.
- Fuladh : Mohammed fait partie des Tahirides, de très puissants vice-rois du calife en Perse. Il dirige tout Bagdad depuis son siège aux tribunaux.
- Basim : Choukrane (Merci), Fuladh.
Conséquences[]
Roshan ordonna à Basim d'enquêter sur les trois suspects qu'il pensait être à la tête de l'ordre.