La libération de l'abbé est une représentation altérée d'une mémoire génétique de Aguilar de Nerha.
Description[]
Journal d'Aguilar, 21e entrée
Les informations récupérées dans la villa du lieutenant del Salto, à Leon, indiquent que Ramírez a ordonné la capture et la torture d’un groupe de moines des montagnes des Asturies. Leur congrégation vénérerait un fragment du Bâton doré de Saint Jacques, qui pourrait être le troisième morceau du Bâton d’Éden.
Les moines sont retenus dans l’une des places fortes de l'Inquisition, dans les quartiers pauvres d’Eviedo. Nous devons nous infiltrer, libérer les moines et en apprendre le plus possible sur leur relique afin d’être certains qu’il s’agit bien du morceau du Bâton que cherche l’Inquisition.
Dialogues[]
Les Assassins espagnols se retrouvèrent sur le toit du bâtiment de l'Inquisition, et s'y introduirent. Ils atteignirent une salle dans laquelle un moine était ligoté à une chaise et le libérèrent.
- Moine : J'ai cru ma dernière heure venue. Prenez ces pièces, c'est le moins que je puisse faire pour vous remercier de m'avoir libéré. Et sauvez notre abbé !
Le moine offrit 350 pièces à ses sauveurs et prit la fuite. Les Assassins continuèrent leur progression dans le bâtiment et trouvèrent un nouveau moine captif qu'ils libérèrent à son tour.
- Moine : Merci ! Je n'ai que quelques pièces pour vous exprimer ma gratitude. De grâce, sauvez notre abbé et faites payer ces chiens !
Il offrit 350 pièces à ses libérateurs et fila à l'anglaise. Les Assassins progressèrent plus avant et liberèrent un dernier moine.
- Moine : Je vous en prie, vous devez sauver notre abbé ! Ce morceau du Bâton ne doit pas tomber dans les mains avides de l'Inquisition !
Aussi reconnaissant que ces confrères il offrit aux Assassins le même montant avant de disparaître. Dans la dernière salle les Assassins virent l'abbé ligoté à une chaise, Ramírez et son bourreau en train de le menacer.
- Ramírez : Votre serment vous contraint à obéir à vos supérieurs au sein de l'Église ! Toute désobéissance envers le Grand Inquisiteur Torquemada relève de la trahison !
- Abbé : Au contraire, ce n'est pas à l'Inquisition que j'obéis, mais à Dieu seul. Je n'ai rien à vous dire.
Ramírez se tourna vers un bourreau.
- Ramírez : Bourreau ! Que cet homme soit questionné jusqu'à ce qu'il ait avoué tout ce qu'il sait à propos de sa précieuse relique ! Et qu'il ne meure pas avant d'avoir parlé !
- Bourreau : C'est un honneur, Inquisiteur. Et puisque cet homme est un hérétique, ce sera aussi un plaisir !
Ramírez laissa son bourreau à sa tâche, les Assassins éliminèrent le tortionnaire et libérèrent l'abbé. Alvarado les rejoignit pour écouter l'abbé.
- Alvarado : Bravo pour la libération de l'abbé ! Maintenant, voyons ce qu'il a à nous dire.
- Abbé : Mes bons amis, merci de m'avoir libéré des horreurs de cette salle de torture. Mais nous serons tous en danger s'ils découvrent notre relique sacrée ! Je vais tout vous dire à son sujet, mais faites-moi la promesse de la récupérer et de la protéger de Ramírez et de ses hommes. Il y a de nombreuses anées, nous avons confié la relique à Pedro Madruga, un pieux seigneur de Galice, protecteur de notre monastère. Nous l'avons prié de la cacher. Madruga a accepté et l'a emportée dans son château de Sobroso pour la mettre à l'abri. Hélas, il est mort il y a quelques années... Le château de Sobroso est désormais désert, mais la relique doit toujours s'y trouver. Récupérez-la ! Elle ne doit pas tomber aux mains de l'Inquisition. Et que Dieu veille sur vous !
Conséquences[]
Les Assassins espagnols infiltrèrent la place forte de l'Inquisition, libérèrent les moines retenus prisonniers et leur abbé. Alvarado et les Assassins prirent connaissance du témoignage de ce dernier et apprirent l'emplacement du troisième morceau du Bâton d'Éden, au château de Sobroso.