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« On m'a affublé de tous les noms : Meurtrier. Égorgeur. Voleur. Mais toi, tu peux m'appeler La Volpe. »
– La Volpe se présentant à Ezio, 1478[src]

La Volpe, (fr:Le Renard) de son vrai nom Gilberto, fut le dirigeant des guilde des voleurs florentine puis romaine, ainsi qu'un membre de la Confrérie des Assassins.

En 1478, La Volpe aida Ezio Auditore à localiser une très importante réunion des Templiers dans les catacombes de Santa Maria Novella, durant laquelle il découvrit l'existence de la Conjuration des Pazzi et permit son semi-échec. Dix ans plus tard, avec les autres Assassins, La Volpe était à Venise, où les Assassins récupérèrent la Pomme d'Éden des mains du Grand Maître Templier Rodrigo Borgia[1].

Après la chute de Monteriggioni, La Volpe rejoignit Rome, où il combattit l'influence des Borgia. Cependant, il refusa de collaborer avec les Assassins pendant un certain temps à cause de ses soupçons vis-à-vis de Niccolò Machiavelli. Ezio l'aida ensuite en sauvant plusieurs de ses voleurs et en prouvant que Niccolò n'était pas le vrai traître. De fait, il collabora de nouveau avec les Assassins[2].

Biographie[]

Jeunesse[]

Les livres d'histoire n'ont conservé pratiquement aucune trace de La Volpe . Ce nom était bien évidemment un pseudonyme, mais on ignore à peu près tout sur celui qui le portait. Les quelques données disponibles en font un personnage quasi mystique[1].

La Volpe aurait dérobé des objets dans le coche du pape, sans que ce dernier - pourtant assis à l'intérieur - et ses gardes ne remarquent rien. Une nuit, en 1467, on l'aurait aperçu sur les toits du Palais de la Seigneurie, du palais Médicis et de Santa Croce, tout cela au même moment. Certains prétendirent qu'il était immortel, d'autres que ses yeux violets lui permettaient de voir à travers les murs et ainsi de repérer son futur butin. À un moment de sa vie, il intégra la Confrérie des Assassins[1].

Rencontre avec Ezio[]

« Suis-moi. Il ne faut surtout pas traîner ! Tu seras à la hauteur ? »
– La Volpe à Ezio alors qu'ils approchaient de Santa Croce, 1478[src]

En avril 1478, La Volpe apprit qu'Ezio Auditore da Firenze, le fils de feu Giovanni Auditore da Firenze, était de retour à Florence afin de traquer et tuer le Templier Francesco de' Pazzi. Ezio fut informé par son ami Leonardo da Vinci que La Volpe serait capable de l'aider, et qu'il devait orienter ses recherches au Mercato Vecchio[1].

ACII Chasse au renard 8

Ezio demandant l'aide de La Volpe

Alors qu'il était à la recherche du légendaire voyou, un voleur délesta Ezio de sa bourse, ce qui donna lieu à une course poursuite entre Ezio et l'auteur du larcin. Ezio parvint à attraper le détrousseur sans difficulté, et lorsqu'il lui demanda de lui rendre son argent, La Volpe fit irruption. Après une brève discussion, La Volpe se présenta, rendit l'argent au jeune homme puis lui offrit son aide ; si toutefois Ezio était capable de suivre le voleur en course libre. La Volpe conduisit Ezio à Santa Maria Novella, sous laquelle les conjurés Pazzi se réuniraient quelques heures plus tard[1].

La Volpe attendit près des égouts que le jeune homme sorte après avoir espionné la réunion. Ezio informa le voleur que les Pazzi prévoyaient d'éliminer les Medici lors de la grand-messe, dans le but de prendre le pouvoir dans la ville et placer leurs alliés aux postes stratégiques. La Volpe réagit en avertissant le jeune homme que la mort de Lorenzo de' Medici serait une catastrophe pour Florence, car c'était un allié précieux pour les Assassins. Ezio le rassura en lui promettant que cela n'arriverait pas[1].

ACII Plus on est de fous 4

La Volpe se joignant à Ezio

En 1488, comme les autres Assassins, il se rendit à Venise pour récupérer la Pomme d'Éden des mains du Grand Maître Templier Rodrigo Borgia. Lorsqu'ils arrivèrent au lieu de rendez-vous de Borgia, La Volpe le découvrit en plein combat avec Ezio, et il s'engagea promptement dans le combat[1].

Après avoir mis Rodrigo en déroute, ils répondirent aux nombreuses questions d'Ezio, puis intronisèrent officiellement le jeune homme dans la Confrérie. Après cela, ils effectuèrent tous, La Volpe compris, un saut de la foi[1].

Le Bûcher des Vanités[]

« La Pomme n'est sûrement pas loin. Trouve-la ! »
– La Volpe lorsque les Assassins perdirent la trace de la Pomme, 1498[src]

En 1494, le moine fou Girolamo Savonarola prit le contrôle de Florence à l'aide de la Pomme, qu'il avait auparavant dérobé à Ezio, après la bataille de Forlì. Suis le joug tyrannique de Savonarola, La Volpe, comme sa confrère Assassin Paola, fut contraint de se réfugier sous terre[3].

En 1497, Savonarola initia le bûcher des vanités. Il força les florentins à brûler toutes les formes des progrès instillés par la Renaissance. Niccolò Machiavelli rencontra La Volpe et l'informa qu'Ezio se chargerait d'éliminer les neuf lieutenants du moine. Il lui demanda ensuite de rallier les citoyens à leur cause au fil des assassinats[1].

Une fois les neufs supprimés, La Volpe, Ezio, Paola et Machiavelli furent les témoins d'un mouvement de foule devant le Palais Pitti, au cours duquel Savonarola fut capturé et et laissa échapper la Pomme, qui fut récupérée par Ezio. Quelques temps plus tard, il assista à l'exécution du moine, qui fut abrégée par Ezio. Ce dernier fit ensuite un discours, puis regagna ses amis Assassins[1].

Le Sanctuaire[]

En 1499, il voyagea jusqu'à la Villa Auditore, à Monteriggioni, pour aider à formuler un plan dans le but d'assassiner Rodrigo Borgia. La Volpe, aidé par d'autres, créeraient une distraction pour les gardes tandis qu'Ezio infiltrait la Chapelle Sixtine[1].

À Rome[]

« Le quartier général de la guilde. Tu peux me rendre visite à tout moment. Il est même possible que je te confie des missions qui aideront à faire avancer notre cause. »
– La Volpe parlant du Renard Assoupi, 1500[src]
ACB Agent double 5

Ezio et La Volpe espionnant Machiavelli.

La Volpe partit pour Rome en 1500, après le Siège de Monteriggioni et mit rapidement sur pied un nouveau réseau de voleurs, d’espions et d’informateurs pour lutter contre les Borgia, qui contrôlaient alors la ville d’une main de fer. Sachant que les Assassins allaient devoir survivre dans une ville aux mains des Templiers, La Volpe se fit le protecteur des membres dispersés de la Confrérie, dont la base de Monteriggioni avait été détruite. Mais plusieurs faits troublants l’amenèrent à soupçonner le chef des Assassins, Niccolò Machiavelli, d’être un agent double[2].

La Confrérie commençait à regarnir ses rangs à Rome et La Volpe fit de même. Il installa son quartier général dans l’auberge du Renard Assoupi, qui servit de couverture à sa guilde et offrit un lieu de rencontre idéal à la Confrérie[2].

L’année 1500 fut très agitée pour La Volpe et ses associés. Son réseau fut menacé plus d’une fois, de l’extérieur comme de l’intérieur. Sa Guilde se trouva mêlée à un conflit ouvert avec une faction rivale appelée les Cento Occhi, une nouvelle Guilde romaine au service de la famille Borgia. La situation empira lorsque l’un des informateurs de La Volpe, l’Assassin Paganino, trahit la Confrérie au profit des Templiers. Les informations qu’il fournit aux Borgia sur les activités et l’emplacement des voleurs de La Volpe mirent toute la Guilde en danger[2].

Ce n’est qu’après l’élimination de Paganino que La Volpe comprit qu’il s’était trompé au sujet de Machiavelli et lui accorda son entière confiance. Mais une fois sa Guilde solidement établie à Rome, il cessa de jouer les premiers rôles dans la Confrérie, partagea sa richesse et ses innombrables ressources, et mit ses voleurs au services de tous[2].

La Volpe fut présent lors de l'intronisation de Claudia Auditore dans la Confrérie, ainsi que lors de la bataille que les Assassins livrèrent contre Cesare peu après[2].

Personnalité et caractéristiques[]

« Ezio: Comment connais-tu mon nom ?
La Volpe: Rien de ce qui se passe dans cette ville ne m'échappe.
 »
– La Volpe à Ezio, 1478[src]
ACII Chasse au renard 5

La Volpe se présentant à Ezio

La Volpe forgeait sa réputation avec soin. Il n’avait aucun pouvoir surnaturel, mais disposait d’un réseau de renseignements des plus sophistiqués. Son goût pour la furtivité et les actes détournés laisse penser que La Volpe préférait l’anonymat, mais les légendes autour de son personnage persistèrent, même à Rome. On raconte ainsi qu’un homme aux yeux violets se glissa dans l’une des infâmes orgies du Vatican et délesta les cardinaux de tous leurs biens, à l’exception de leurs bibles.

On devine le modus operandi de La Volpe en observant ses actions. Il privilégieait la discrétion à la force, et s’en remettait aux ordres et aux conseils pour mener à bien ses missions.

Galerie[]


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