La Malédiction des pharaons est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Bayek de Siwa, revécue en 2017 par Layla Hassan à travers l'Animus.
Description[]
Bayek est averti de l'existence d'un autre artefact. À son arrivée à Thèbes, il découvre une ville ravagée par une terrible malédiction. Des pharaons morts depuis longtemps sont de retour.
Dialogues[]
À Siwa, Bayek s'approcha d'un guide.
- Guide: Nous partons bientôt pour Thèbes. Tu vas à Thèbes ? Attends-toi à manger du sable, mais ma caravane a la vélocité du Khamsin !
Bayek rejoignit Thèbes. Alors que le bateau arrivait au port, Bayek lut la lettre que lui avait envoyée Aya.
Lettre d'Aya
Bayek, ce message que je t'envoie est surtout un avertissement. Quatre années ont passé depuis l'élimination de nos cibles… mais le Crédo ne nous laisse aucun répit. J'ai capturé un courrier dont le message évoquait un autre artefact, cette fois en Haute-Égypte. Agis sans tarder. Remets ce paquet à Merti. Elle tient un commerce aux environs de Louxor. Ce n'est pas une amie, elle me doit un service. Bayek, je compte sur toi. Tu dois trouver cet artefact à tout prix. Ne laisse personne utiliser son pouvoir sur ceux que nous avons juré de protéger. |
À son arrivée à Thèbes, Bayek fut accueilli par un jeune homme.
- Soutekh: Bienvenue, bienvenue à Thèbes, mon frère. Tu as besoin d'un logis ? D'un meilleur bouclier ? D'un garde du corps ?
Un peu plus loin, de la poussière commença à s'amasser sur le sol de manière étrange.
- Bayek: Qu'est-ce que c'est ?
Le fantôme de Néfertiti apparut, s'en prenant aux gardes.
- Soutekh: C'est la malédiction !
Soutekh et les autres habitants prirent la fuite. Néfertiti tua l'un des deux gardes, et le deuxième parvint à lui porter un coup.
- Bayek: Par la puissance de Rê ! Il a réussi à la frapper !
Néfertiti parvint à tuer le deuxième garde. Elle s'en prit ensuite à Bayek.
- Bayek: Tu n'es rien d'autre qu'une illusion ! Retourne dans la Douât ! Ces gens sont innocents. Je ne suis pas une proie facile. Qui t'a invoquée ?
- Femme 1: J'honore les dieux ! Elle vient me chercher. Je n'ai rien volé. Pourquoi les pharaons nous punissent ? Qu'Amon me protège, qu'Amon nous garde tous !
- Femme 2: Que Sekhmet me protège. Je n'ai pris que quelques drachmes… Il y a bien pire que moi. L'abomination s'abattra sur nous tous. Amon nous a abandonnés !
Bayek parvint à vaincre le fantôme, qui disparut.
- Bayek: Quelqu'un s'est emparé de l'artefact. Il s'en sert pour faire revenir les morts. Je dois arrêter cette malédiction avant qu'elle fasse de Thèbes une nécropole.
Bayek se rendit à Louxor, où il aperçut Merti qui discutait avec deux habitants, dont le jeune homme qui avait accueilli Bayek un peu plus tôt.
- Soutekh: Merti, tu sais ce que cette malédiction a coûté à Thèbes, et à moi-même ! Je n'ai plus personne.
- Merti: Tu as toujours ton oncle, Soutekh. Il a peut-être du travail pour toi ?
- Soutekh: Ce scorpion ? Il est plus attaché à son singe qu'à son neveu.
Bayek s'approcha d'eux.
- Soutekh: Ah, tu as survécu à la malédiction ! Toute la ville de Thèbes va parler de toi !
- Bayek: Veille à ce que ce ne soit pas le cas.
Bayek lui jeta une pièce.
- Merti: Assez, Soutekh.
- Soutekh: Bien sûr ! Aucun phylakitai n'entendra parler de l'homme dont les yeux portent la mort !
Soutekh s'éloigna. Bayek s'adressa à Merti.
- Bayek: On m'a dit que tu m'aiderais. Tiens, c'est pour toi.
Bayek lui remit le paquet d'Aya.
- Merti: Qu'est-ce que c'est ? Qui t'a donné ça ?
- Bayek: La femme que tu appelles Aya.
- Merti: Très bien. Qu'est-ce que tu veux ?
- Bayek: Un artefact rare. Je crois qu'il est à l'origine de cette malédiction.
- Merti: Oh, vraiment ?... Il y a des rumeurs. Une relique a été volée dans la tombe d'un pharaon inconnu. Pour certains, c'est à cause de cette profanation que nous sommes maudits.
- Bayek: Je dois la trouver.
- Merti: Il y a un marché noir ici à Thèbes, des enchères cachées, des transactions secrètes. Parle aux marchands près des quais, ils en sauront plus. Dis à Aya que nous sommes quittes. Je m'en vais au sud. Cette malédiction ne me plaît guère.
- Bayek: Et si j'ai d'autres questions ?
- Merti: Va voir Isidora, l'épouse divine d'Amon. Elle sera plus à même de comprendre cette malédiction.
Merti quitta les lieux. Après avoir enquêté plusieurs jours sur les apparitions des pharaons, Bayek accorda à Néfertiti et Akhenaton le repos éternel dans l'au-delà. Il revint voir Isidora pour l'informer de ses actions.
- Bayek: Néfertiti et Akhenaton n'existent plus. Je les ai vaincus dans la Douât.
- Isidora: Tu as vu le pays des morts et tu vis encore ?
- Bayek: Non. Ce n'était qu'une illusion. J'ai traversé les Champs de roseaux, j'ai senti le vent sur ma peau, mais je n'étais pas là-bas. Et je doute d'y aller un jour.
- Isidora: Oublie tes doutes. Peu importe ce que tu as fait, je sais qu'il existe un chemin. Je t'aiderai à le trouver.
- Bayek: L'Aton. Akhenaton l'a transmis à ses successeurs. Quelqu'un l'a sans doute volé dans l'un de leurs tombeaux.
- Isidora: On dit que les obsèques de Tychon sont pour bientôt. Son registre a-t-il révélé autre chose ? Il connaissait tout des tombeaux.
- Bayek: Non. Irsou, celui qui a pillé le tombeau de Néfertiti, a dit qu'il travaillait avec d'autres, mais... Eh bien...
- Isidora: Que s'est-il passé ? Il est mort ?
Bayek acquiesça et Isidora leva les yeux au ciel.
- Isidora: Des soldats approchent. Pars, il ne faut pas qu'ils te voient...
Bayek avait déjà disparu.
- Isidora: ... ici.
- Capitaine: Prêtresse, une question. Nous enquêtons, comment dire... sur une bande pilleurs de sépultures. Imagine ma surprise en trouvant le cadavre du principal suspect. Je sais qu'il existait entre vous... certains différends. Prêtresse, qui a tué Tychon ?
- Isidora: Tychon ? Ce n'était pas l'un des tiens ? Un comparse de ton Stratège ? Peut-être que l'un de ses alliés en a eu assez de partager les profits des tombeaux pillés. Tu as trouvé une dague plantée dans son dos ? Beaucoup de gens souhaitaient le voir mort, comment vas-tu organiser tes recherches ?
- Capitaine: Ne te rends pas aux obsèques de Tychon. Cherchez bien partout. Trouvez ce qu'elle nous cache.
Isidora s'en alla.
- Soldat 1: Tu ne penses quand même pas que l'épouse d'Amon est impliquée là-dedans ?
- Soldat 2: Il n'y a rien d'autre que des rouleaux de prières, ici.
- Capitaine: Elle y est mêlée, je le sais. Trouvez-moi les preuves.
- Soldat: Ouvre l’œil. On ne peut pas repartir les mains vides.
Bayek partit du temple où se trouvaient les soldats.
- Bayek: Un voleur comme Tychon doit vivre dans les quartiers riches de Thèbes. Il est temps d'aller rendre hommage aux morts.
Bayek atteignit la villa de Tychon.
- Bayek: Pendant qu'ils se lamentent, j'ai le temps de fouiller la villa.
Il examina son bureau.
- Bayek: Les hommes du Stratège sont déjà venus ici. Mais qu'est-ce qu'ils ont pu rater ?
Bayek tenta d'ouvrir l'une des portes.
- Bayek: Verrouillée. Je dois trouver un autre accès.
Bayek trouva des parchemins.
Espèce de bouse de vache puante !
Paie-moi ce que tu me dois sinon, qu'Osiris m'en soit témoin, je te trancherai la gorge. J'ai risqué la colère d'Athames pour te faire parvenir la dernière cargaison. Une cargaison de grande valeur : or, céruléum, même une épée en éclats d'étoile. Tu ferais bien de me payer, les pharaons s'en prennent aux menteurs et aux escrocs. |
- Bayek: Tychon et Irsou étaient de mèche.
Tychon, mon vieil ami
Nous sommes toujours amis, n'est-ce pas ? Alors, crois-moi lorsque je te dis que ceci n'a rien de personnel. Nous avons conclu un accord afin de nous répartir les tombeaux, alors que font tes hommes sur mon territoire ? Peut-être les soldats qui accompagnent ce courrier aideront-ils à éclaircir ce malentendu... |
- Bayek: Le Stratège a ordonné à ses hommes d'arrêter Tychon.
Bayek descendit au rez-de-chaussée et trouva une table de nourriture.
- Bayek: Il a assouvi son goût pour le luxe par la profanation et le vol.
Il observa un grigri avec l’œil oudjat suspendu.
- Bayek: Aucune amulette n'aura réussi à le sauver.
Bayek remarqua des coussins par terre sous lesquels se cachaient des bourses d'argent.
- Bayek: Tychon s'est enrichi en vendant notre histoire à Rome.
Bayek parvint finalement à entrer dans le bureau secret de Tychon.
- Bayek: Personne n'a touché à ces documents.
Des idoles étaient rangées dans une boîte.
- Bayek: Les trésors des pharaons, un beau butin.
Bayek remarqua un coffre.
- Bayek: Qu'est-ce que c'est ?
Il l'ouvrit et en sortit une lettre.
- Bayek: Quelqu'un d'autre cherche la relique. Alors, qui es-tu, Lotus ? Le navire a accosté à Souenet. Bien, c'est là que je dois me rendre.
Bayek se rendit à Souenet et découvrit que le Lotus était Merti. Elle le dirigea vers l'antiquaire de la nécropole des Nobles, où il y trouva Tahemet en train de se disputer avec Isidora. Cette dernière partit, et Bayek comprit que l'antiquaire qu'il recherchait était Tahemet, qui lui proposa d'enquêter sur le tombeau pour trouver les réponses qu'il cherchait. À l'intérieur, Bayek découvrit que la relique avait été confiée aux prêtres d'Amon, signifiant qu'Isidora la possédait depuis le début et était donc la seule responsable de la malédiction. Bayek retourna à Karnak.
- Bayek: Isidora. C'est elle qui a provoqué la malédiction du pharaon. Elle a même essayé de se justifier.
Bayek s'infiltra dans le temple de Karnak, bien gardé.
- Bayek: La grande prêtresse a invoqué l'armée d'Anubis pour qu'elle la protège !
Bayek pensa assassiner Isidora, mais ce n'était qu'un garde.
- Bayek: La relique, elle déforme tout ce que je vois. Il faut que je la trouve.
Bayek examina le temple et tenta d'ouvrir une porte qui menait à ses appartements.
- Bayek: Verrouillée. Quelles que soient ses motivations, je les comprendrai en ouvrant cette porte.
Bayek passa par une ouverture en hauteur.
- Bayek: Elle est l'épouse du Caché, elle doit bien savoir garder ses secrets.
Bayek trouva un parchemin.
Rétablissement de Maât
Les reliefs de la nécropole sont très abîmés, mais selon les notes de ma mère, le rite nécessite le sang d'Ouser-Maât-Rê, les fils et la fille aux cheveux de feu du roi des rois. Quant à Toutankhamon... ayant rétabli le dieu, peut-il rétablir l'équilibre ? La relique était soulevée par les prêtres, mais ce n'était qu'un geste cérémoniel. Elle n'avait pas le pouvoir qu'elle renferme aujourd'hui. Désormais, ils trembleront devant la colère d'Amon. |
- Bayek: Elle essaie de terminer ce que sa mère a commencé. Il y a un message : "Comme il a rétabli le dieu, il peut rétablir l'équilibre."
Bayek dégagea une pierre qui cachait une lettre.
Lettres d'Isidora
L'homme de Siwa... lorsqu'il m'a dit que ce pilleur de tombeaux était mort, j'ai cru que l'on m'avait arraché le cœur de la poitrine. Il accomplit la volonté d'Amon, ma volonté. Est-il vraiment possible que la relique qui sommeille entre ses mains soit son instrument ? Elle a exaucé ma plus sombre prière, elle punit les voleurs et les profanateurs. Et qu'en est-il du rite ? Grâce au véritable pouvoir de la relique, l'équilibre, l'harmonie, Maât... Tout pourrait enfin être rétabli. |
- Bayek: Sa quête insensée "d'équilibre" et de "vérité" pourrait faire d'innombrables victimes. C'est contraire à la volonté de sa mère.
Bayek examina une stèle.
- Bayek: Après le règne d'Akhenaton, son fils Toutankhamon a restauré les temples d'Amon. Il a remis l'orbe aux prêtres !
Bayek observa une colonne.
- Bayek: Elle a toujours détenu la relique.
Bayek trouva une autre lettre.
Nitokris, à propos du rite de Maât
L'orbe était élevé, présenté aux fidèles en l'honneur de l'image vivant d'Amon, Toutankhamon le restaurateur de la foi. Cette cérémonie suffirait-elle à dissuader les voleurs de profaner les tombes ? |
- Bayek: Des textes sur le rite de Maât écrits par Nitokris, l'épouse divine d'Amon. Elle serait la mère d'Isidora ?
Bayek lut un parchemin exposé.
Restaurateur de la foi
Nous l'avons enterré dans la vallée des Grands, lui qui a ramené l'Égypte vers la vraie foi. Le fils de l'Aton est devenu l'image vivante d'Amon. Nous n'avons pas eu le temps de bâtir un grand tombeau, mais son repos sera serein. Il demeurera intact dans sa maison d'éternité taillé dans le sol de la vallée. |
- Bayek: Un tombeau caché dans la vallée des rois. Les voleurs ne l'ont jamais trouvé.
- Bayek: Elle essaie d'achever ce que sa mère a commencé. Un rite destiné à rétablir Maât dans le tombeau caché de ce pharaon tombé dans l'oubli.
Bayek quitta les lieux et se rendit à la vallée des rois, dans le tombeau de Toutânkhamon. Il y trouva Isidora retenant quelques descendants de Ramsès, dont Soutekh, utilisant le pouvoir de la relique sur eux.
- Isidora: (Ceci est fait pour celui qui a donné la vie).
(Ceci est fait pour celui qui a donné la vie).
Elle remarqua Bayek.
- Isidora: Tu me suis désormais comme l'une de tes proies ? Bayek.
- Bayek: Donne-moi l'orbe. Je n'ai aucune envie de te tuer.
- Isidora: Ma mère m'a dit que c'était notre rôle : rétablir Maât et remettre Amon sur son trône. Telle est ma vocation. C'est pour ça que j'ai dû me cacher alors qu'ils lui tranchaient la gorge. Pour que j'ai la force d'accomplir la volonté d'Amon.
- Bayek: Ce n'est pas de la force. C'est de la sauvagerie.
Isidora poursuivit son rite.
- Isidora: (Ceci est fait pour celui qui a donné la vie).
Bayek tenta d'assassiner Isidora, mais il fut transporté dans la Douât, où l'esprit de Toutânkhamon résidait.
- Bayek: Tout ça doit cesser, Isidora ! Tu as trahi Amon, ton peuple et ton devoir. Je ne trahirai pas le mien.
Toutânkhamon, assis sur son trône, se leva et fit face à Bayek. Celui-ci entama un duel avec lui dans lequel il triompha.
- Bayek: Son père, Akhenaton, lui a transmis l'orbe. Dans sa volonté de rétablir l'équilibre, Toutankhamon l'a remis aux prêtres d'Amon. Mais par soif de vengeance, Isidora a perverti le rite. Elle a trahi ses propres dieux.
Bayek suivit le ren pour quitter la Douât. Il croisa une femme.
- Femme: Merci à toi, homme vivant, tu as évité une grave injustice. Le moment venu, Anubis t'accueillera. Puisses-tu vivre à jamais sous les étoiles éternelles.
Bayek atteignit la sortie, puis se retrouva aux côtés d'Isidora, en qui il planta sa lame secrète.
- Isidora: Amon t'a choisi. Cela n'a aucun sens. Ce droit me revenait, c'était ma vengeance. Pourquoi m'a-t-il entendue ? Pourquoi m'a-t-il donné le pouvoir d'achever ce qu'elle avait entamé si c'était pour me faire échouer ?
- Bayek: Amon ne t'a donné aucun pouvoir. Il t'a offert un choix.
Une plume se posa sur le sol.
- Isidora: La plume de Maât. Non... mon cœur est trop lourd. Tu crois qu'Amon me protégera ?
- Bayek: S'il nous est facile de faire le mal, il est facile à Amon d'accorder sa clémence.
- Isidora: Sa colère ne dure qu'un instant. Son souffle apporte la miséricorde...
- Bayek: Puisse le Caché marcher à tes côtés. Le seigneur de la Douât attend.
Bayek mouilla la plume du sang d'Isidora et ramassa l'orbe. À l'extérieur du tombeau, Bayek aida Soutekh, blessé, à marcher.
- Soutekh: Dépose-moi. Dépose-moi. Je crois que je peux me débrouiller seul.
- Bayek: Tu crois ?
- Soutekh: J'ai cru que je n'avais plus personne en ce monde. Mais je suis un descendant de l'illustre Ramsès et ma famille est plus grande que je ne pouvais l'imaginer. Un prix bien modeste. Merci, neb.
Bayek sortit l'orbe et Soutekh s'écarta d'inquiétude.
- Soutekh: Qu'est-ce que tu vas faire de... cette horreur ? Par la lumière de Rê, je n'en veux pas.
- Bayek: Raison de plus pour te la donner. Tu sais mieux que quiconque de quoi elle est capable. Enterre-la, et que le monde l'oublie.
- Soutekh:' D'accord, mais pas ici. Cette vallée n'a plus aucun secret pour personne.
- Bayek: Elle devra pourtant en garder un dernier.
- Soutekh: Tu rétablis Maât et tu t'en vas. Si c'est ce que tu souhaites, je ne parlerai de toi à personne. Hé, Bayek.
Alors que Bayek s'éloignait, Soutekh lui jeta une pièce.
- Soutekh: Nous nous reverrons dans les Champs de roseaux. Compte sur moi !
Bayek s'en alla et Soutekh se retrouva seul.
- Soutekh: Tout va bien. Je n'ai pas besoin d'aide. Il est temps d'en finir. Quand je serai prêt.
Conséquences[]
Bayek s'empara de la relique des mains d'Isidora, qui avait perpétré la malédiction des pharaons. Une fois assassinée, Bayek confia l'orbe à Soutekh, afin qu'il l'enterre où personne ne pourrait jamais la retrouver.
Bayek obtint en récompense la lance La fin d'Aton.