L'homme de Londres est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Jacob Frye, revécue à travers Helix.
Description[]
Arrivés à Londres, Jacob et Evie Frye recherchèrent l'Assassin Henry Green afin de connaître l'étendue de l'emprise de Crawford Starrick et des Templiers sur la ville.
Dialogue[]
Jacob et Evie arrivèrent en gare de Whitechapel.
- Jacob: Je n'ai jamais vu autant de gens à la fois.
- Evie: L'océan grouillant de Londres. Comme père nous l'avait décrit. Nous devons trouver Henry Green et préparer notre attaque contre les Templiers.
- Jacob: Qui est Mr Green déjà ?
- Evie: Tu n'as pas écouté, les trois premières fois ? C'est l'Assassin qui veille sur Londres.
- Jacob: Et alors ? Quoi ?
Un garçon bouscula Jacob.
- Jacob: Eh ! Fais attention !
- Garçon: Mande pardon, m'sieur !
Le garçon prit la fuite, et Jacob comprit qu'il venait d'être dérobé de sa bourse.
- Jacob: Eh ! Reviens ici, sale petit voleur !
- Evie: Jacob ! Arrête !
Jacob poursuivit le voleur et arriva dans une impasse.
- Jacob: Très bien, petit chapardeur ! Garde-le...
Deux bandits s'approchèrent de Jacob.
- Bandit 1: Voyons, voyons... qu'est-ce qu'on a là ?
- Bandit 2: Vous êtes sur notre territoire.
Jacob se débarrassa des bandits.
- Jacob: Ha ! Excellent. Je me demande ce que Londres a d'autre à offrir.
Evie rattrapa Jacob.
- Evie: Ce n'est pas le moment de visiter, Jacob. Ce qu'il faut, c'est trouver Green. J'ai toujours été la meilleure à l'escalade, tu te souviens ?
- Jacob: Oui, quand on avait deux ans.
- Evie: On fait la course jusqu'au plus haut sommet ?
Jacob et Evie firent la course jusqu'aux toits d'une usine.
- Evie: Tu sais que tu vas encore perdre ?
- Jacob: Ça m'étonnerait !
Les Frye arrivèrent sur les toits de l'usine.
- Evie: Où se trouve la boutique de Mr Green ? Elle était marquée sur la carte de père.
Un Assassin se joignit aux jumeaux.
- Henry: Deux Assassins. De la même taille. Un homme. Une femme. Âgés de vingt ans à peine, et ces sourires malicieux. Vous devez être les jumeaux Frye.
- Evie: Et vous êtes... ?
- Henry: Henry Green, pour vous servir. J'ai été navré d'apprendre le décès de votre père.
Evie tomba sous le charme d'Henry.
- Evie: Merci.
- Jacob: Que peux-tu nous dire au sujet de Crawford Starrick ?
- Henry: Cette demande émane sans doute du Conseil ?
- Evie: Il faut libérer Londres. Ses habitants méritent un meilleur avenir.
- Henry: Le ciel soit loué, le Conseil a entendu raison et vous envoie nous aider.
- Jacob: Oui, le ciel soit loué...
- Henry: Malheureusement, j'ai de bien mauvaises nouvelles. Starrick est aux commandes de l'organisation la plus sophistiquée que les Templiers aient créée dans tout l'Occident. Chaque classe, chaque quartier, chaque bande, chaque usine... Toute la ville de Londres est sous son emprise.
- Jacob: J'ai toujours voulu être un chef de bande. Dur, mais juste. Nous aurons un uniforme. Je réunirai autour de moi tous les laissés-pour-compte sous un même nom. Je le sais, Evie. Nous allons les rallier à notre cause.
- Evie: Oh ? Comme la fois où tu as rallié tous les joueurs de la taverne dans le fleuve ?
- Jacob: C'était différent, ils m'avaient battu au whist. Tout est clair, maintenant ! Nous nous appellerons les Rooks.
- Evie: Tu te vois à la tête d'une bande ?
- Jacob: Tu as une meilleure idée ?
- Evie: Trouver le Fragment d'Eden.
- Jacob: Ah...
- Henry: Eh bien... Permettez-moi de vous guider. Quand vous voudrez. Voici le plus haut point de Whitechapel.
Les Assassins escaladèrent la cheminée et observèrent le quartier de Whitechapel.
- Henry: Regardez ce que Starrick a fait de cette ville. Whitechapel est rongé par le crime... Les enfants travaillent, malgré les lois... Une bande appelée les Blighters fait régner la terreur... Et les Templiers tirent les ficelles dans l'ombre. Comme dans chaque quartier. Nous devons rendre cette ville aux gens qui l'ont bâtie de leurs mains.
- Evie: Nous libérerons Londres de Starrick, je vous donne ma parole.
- Jacob: Et moi, mes Rooks !
- Henry: Miss Frye, votre passion me réchauffe le cœur. Venez. Retournons à mon échoppe, j'ai beaucoup de choses à vous dire.
Les Assassins effectuèrent un Saut de la foi et poursuivirent leur conversation à pied.
- Henry: Restez discrets, Kaylock est à ma recherche.
- Evie: Qui est ce Kaylock ?
- Henry: L'un des chefs de bande de Starrick.
- Jacob: Et qu'est-ce qu'il te veut ?
- Henry: Il est bien décidé à s'emparer de mes travaux sur l'un des artefacts des Précurseurs...
- Evie: ... le Fragment d'Eden.
- Jacob: Parle-moi un peu de ces "Blighters".
- Henry: Starrick a unifié les pires habitants des bas-fonds pour se forger une armée. Toutes les bandes qui ont tenté de s'y opposer se sont fait massacrer. Il ne reste plus que les Clinkers de Whitechapel. Mais ils ne font pas le poids face aux Blighters.
- Jacob: Eh bien, dans ce cas, allons fédérer ces Clinkers ! C'est justement le genre de recrues qu'il nous faut !
- Evie: Dis-moi que tu plaisantes.
- Jacob: Evie, ils sont prêts à se battre contre les Blighters. C'est l'occasion idéale ! Attention, Londres, les Rooks débarquent !
En arrivant au coin de la rue, Jacob bouscula un homme en pleine lecture, qui fit tomber ses brouillons.
- Dickens: Au diable cette ville ! Personne ne regarde où il met les pieds.
- Jacob: Oui. J'avais remarqué.
Evie aida l'inconnu à ramasser ses documents.
- Dickens: Malédiction ! À ce compte, je n'aurai jamais fini !
L'homme regarda ses écrits emportés par le vent.
- Dickens: Seule la Providence sait où iront s'échouer ces mots. Eh bien, je vais m'activer à les remplacer. Si vous avez un jour envie d'entendre une histoire, vous me trouverez là où la bière est chaude et les caractères bouillants ! Adieu !
L'homme entra dans un pub.
- Jacob: Très étrange, cet homme.
- Henry: Cet homme, Mr Frye, est Charles Dickens. Cette ville ne recèle aucun secret pour lui. À votre place, je resterais en bons termes avec un tel personnage.
Des Blighters remarquèrent la présence d'Henry et l'un d'entre eux alla avertir ses complices.
- Henry: Les hommes de Kaylock sont ici. Il ne faut pas qu'ils me suivent.
- Evie: On va s'en occuper.
Henry donna un revolver à chaque Frye.
- Henry: Tenez. Vous saurez sans doute vous en servir.
- Jacob: Oh ça, c'est certain.
- Henry: Ma voiture est tout près. Servez-vous-en pour les éloigner. Je vous retrouverai au magasin.
Henry quitta les Frye, qui prirent le contrôle d'une calèche.
- Jacob: Il faut qu'on les éloigne de Green.
Jacob tira des coups de feu en l'air pour attirer l'attention des Blighters.
- Jacob: Voilà les ennuis !
- Evie: Leurs voitures ne sont pas très coriaces ! Kaylock va regretter ce jour...
- Blighters: Ouais. C'est lui !
Chopez-le !
Jacob et Evie détruisirent les calèches des Blighters en leur rentrant dedans.
- Jacob: Ils sont partis.
- Evie: Retournons voir Mr Green.
- Jacob: Bien, mon capitaine !
- Evie: Tu es incorrigible !
- Jacob: Et c'est grâce à cette qualité que je deviendrai chef une fois notre mission accomplie.
- Evie: Tu n'as rien en commun avec George. Avec toi aux commandes, la Confrérie s'effondrerait en quelques jours.
- Jacob: Dures paroles, ma chère sœur.
- Evie: J'espère que Mr Green sera sain et sauf.
- Jacob: Ne me dis pas que tu t'es déjà entichée de lui.
- Evie: Jacob, que feras-tu si notre principale source d'informations passe l'arme à gauche ?
- Jacob: Starrick ne sera pas si dur à débusquer. Je propose qu'on fasse demi-tour et qu'on aille le traquer !
- Evie: Voilà pourquoi tu ne seras jamais chef.
Les Frye arrivèrent à l'échoppe d'Henry.
- Henry: Vous les avez semés ?
- Jacob: On a même fait un peu de zèle.
Evie remarqua des croquis sur le comptoir d'Henry.
- Evie: Qui sont tous ces gens ?
- Henry: Au fil des ans, j'ai noué quelques relations aux quatre coins de la ville.
- Evie: Magnifique ! Il nous faudra toute l'aide...
- Jacob: Il nous faudra de l'aide ? Pah ! On va rallier les bandes de Starrick. On va saper son emprise.
- Evie: Tu ne vois pas assez loin. Starrick a des appuis dans toutes les sphères de la société. On doit le contrer.
- Jacob: Je vois ce que tu veux dire, Evie. On a besoin des Rooks.
- Evie: Tu ne vas pas créer une bande appelée les "Rooks".
- Henry: Je crois que j'ai peut-être une idée. Faites en sorte que la police ferme les yeux sur vos activités. J'ai un allié, le sergent Abberline. On m'a dit que c'était un maître du déguisement. Ensuite, il y a les orphelins.
- Jacob: Les orphelins ?
- Henry: Les orphelins. Les enfants font d'excellents espions.
- Evie: Clara O'Dea...
- Henry: Futée, cette petite. Et puis, gardez toujours à l'esprit que Starrick n'agit jamais seul. Il a des chefs de bandes dans chaque quartier. Vous ne tarderez pas à les voir, c'est certain. Rexford Kaylock, renommé pour sa capacité à s'évanouir sous vos yeux.
- Jacob: Faut-il le faire s'évanouir pour de bon ?
- Evie: Je suppose.
- Henry: Un instant...
Henry remit le dessin d'un Templier à Evie.
- Henry: Euh... Un Templier qui mérite votre intérêt. Prenez garde. Les rues sont dangereuses.
- Jacob: Ne t'en fais pas pour moi, Greenie. Je saurai me défendre.
Quel est ton plan, ô esprit calculateur ? - Evie: C'est toi, mon cher frère, le grand calculateur : les bandes, les combats, jusqu'aux tenues que vous porterez ! C'est peut-être à toi de mener la danse.
- Jacob: Si tu insistes !
Conséquences[]
Jacob et Evie firent la rencontre d'Henry Green avec lequel ils mirent au point un plan visant à affaiblir l'emprise de Starrick sur Londres.