L'érudit enlevé est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Basim Ibn Ishaq.
Description[]
Un contrat demandé par Abu Jafar fut reçu dans un bureau de Ceux qu'on ne voit pas.
Dialogues[]
L'érudit enlevé
- À tous mes frères qu'on ne voit pas,
L'un des érudits les plus respectés de Bagdad, expert en histoire de la région, a été enlevé par de cupides bandits. Il serait retenu au campement des sables de Baduraya.
Il est impératif de libérer ce savant avant qu'il ne connaisse une fin regrettable. Néanmoins, comme la plupart des intellectuels, ses collègues abhorrent la violence (penchant noble mais d'une telle naïveté…). Par conséquent, ils ont demandé qu'il ne soit fait aucun mal aux brigands… dans la mesure du possible.
- Abu Jafar
Après avoir lu le contrat, Basim se rendit dans les étendues sauvages au campement des sables de Baduraya.
- Basim : Ça y est, j'y suis. Ils ne sont pas sur leurs gardes. Je devrais pouvoir me faufiler sans faire couler le sang.
Il trouva une note dans le campement.
Note à propos du trésor
- Zahir,
Où est le grand trésor dont tu nous parles ? On creuse depuis des semaines et on ne trouve que de la terre, de l'eau et des cailloux !
Je commence à penser qu'on nous a menti, raconté des contes pour enfants parlant de choses qui n'existent pas.
Il faut que tu trouves un savant avec une tête bien remplie pour nous guider. Ensuite, on lui coupera sa tête et on gardera tout le trésor pour nous.
- Zaki
Basim se rapprocha de la cible.
- Basim : Je suis venu pour te libérer.
- Érudit : Alhamdulillah (Dieu soit loué) ! Mais il y a un léger problème. Je suis blessé et je crains de ne pas pouvoir marcher.
- Basim : Pourquoi ces bandits t'ont-ils enlevé ?
- Érudit : Ils ont eu vent d'une vieille légende parlant d'un vaste trésor dans cette région. Ma renommée d'historien leur a fait penser que je pourrais les aider à identifier où se trouve justement ce trésor.
Basim le transporta et l'amena hors de danger.
- Basim : Te voilà en sûreté. Mais, à propos de ce trésor…
- Érudit : Le trésor ? Ha ! Il n'existe pas. Du moins, si c'est de l'or qu'on cherche. Naturellement, je ne pouvais pas l'avouer aux bandits. Sinon, ils m'auraient égorgé avant de passer à autre chose.
- Basim : Mais alors, si il ne s'agit pas d'or…
- Érudit : C'est l'eau, l'eau qui coule sous nos pieds. Dans une région désolée, l'eau est aussi précieuse que des brassées d'or.
- Basim : Je vois… Alhamdulillah (Dieu soit loué) !
Conséquences[]
Basim sauva l'érudit.