Justice équitable est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique d'Arno Dorian, revécue par un Initié à travers Helix.
Indices[]
Cour[]
- Corps de femme - La victime venait de s'engager dans les armées révolutionnaires. Elle a été battue à mort à l'aide d'un objet contondant. Son visage est méconnaissable.
- Déclaration du soldat triste - Le soldat triste : un ami proche de la victime qui s'était engagé en même temps qu'elle. Il a vu s'enfuir un homme portant une tunique de soldat.
- Livret d'engagement - Livret d'engagement dans les armées révolutionnaires, signé de l'officier local : monsieur François Guelhaut.
- Paroles de chanson - Libres et égales, sans tête, sans tête, libres et égales, sans tête et sans armée !
Taverne[]
- Déclaration du vieil officier - Le vieil officier : il n'a pas assisté au meurtre car il écoutait de la musique à la taverne.
- Paroles de chanson - Les paroles d'une autre chanson, écrites sur un petit morceau de papier. Les mots sont raturés au point d'être illisibles.
Marché[]
- Déclaration du jeune musicien - Le jeune musicien : il n'a pas assisté au meurtre car il a passé toute la nuit à la taverne. Il déclare vouloir s'engager dans l'armée.
- Déclaration des droits de la femme - Cette page a été annotée à la hâte : "PUTAIN. Faut trouver cette de Gouges."
- "Femme, réveille-toi ; le tocsin de la raison se fait entendre dans tout l'univers ; reconnais tes droits. Le puissant empire de la nature n'est plus environné de préjugés, de fanatisme, de superstition et de mensonges. Le flambeau de la vérité a dissipé tous les nuages de la sottise et de l'usurpation. L'homme esclave a multiplié ses forces, a eu besoin de recourir aux tiennes pour briser ses fers. Devenu libre, il est devenu injuste envers sa compagne. Ô femmes ! femmes, quand cesserez-vous d'être aveugles ? Quels sont les avantages que vous avez recueillis dans la révolution ?"
- Livret sur les femmes - Cette page a été rédigée en écriture cursive par un débutant. Elle est presque illisible. On y fustige les "prétendus droits" des femmes et on les accuse de toutes les défaites des armées révolutionnaires.
Maison en ruines[]
- Arme du crime - Le bâton d'un tambour-major, un musicien des armées révolutionnaires. Les coups assénés à la victime l'ont brisée en deux.
- Corps de la deuxième victime - La deuxième victime est aussi une femme soldat. Elle a été frappée à l'aide d'une arme lourde. L'attaque semble avoir été encore plus violente que celle visant la première victime.
Dialogue[]
Cour[]
- Arno: Tu connaissais la victime ?
- Le soldat triste (Un jeune homme en uniforme des armées de la Révolution. C'est lui qui a trouvé la victime): C'était une amie, nous allions rejoindre l'armée révolutionnaire, mais je l'ai trouvée...
- Arno: Il y avait quelqu'un d'autre ?
- Le soldat triste: Quelqu'un s'est enfui à mon arrivée. Il portait un uniforme de soldat, j'en suis certain.
Taverne[]
- Arno: Vous étiez en ville, hier soir ?
- Le vieil officier (Un officier de l'armée française, très strict. Il apprécie l'ambiance chaleureuse de la taverne.): Certainement pas. J'ai écouté un musicien de talent toute la nuit.
Marché[]
- Arno: Tu étais en ville, hier soir ?
- Le jeune musicien (Un très jeune musicien qui gagne sa vie en jouant dans les rues.): Pourquoi ?
- Arno: On y a trouvé le cadavre d'un soldat. Tu ressembles au tueur.
- Le jeune musicien: C'est pas moi, je n'ai pas quitté la taverne ! Et pourquoi j'irais tuer un soldat ? Je veux m'engager dans l'armée.
Arno retourna accuser le jeune musicien.
- Le jeune musicien: C'est un monde d'hommes. Ces libertines révolutionnaires n'y ont pas leur place. Je pensais que vous verriez les choses comme moi. Mais vous êtes pire qu'une femme.
Le jeune musicien attaqua Arno, mais ce dernier triompha du combat.
Galerie[]
Conclusion[]
Identité du coupable
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Le meurtrier était le jeune musicien, qui était contre la présence de femmes dans les armées révolutionnaires. |