Jeux de pouvoir est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Jacob Frye, revécue par un Initié à travers Helix.
Description[]
Tandis qu'Evie cherchait toujours le Suaire, Jacob apprit que les Templiers avaient pris le Premier ministre Benjamin Disraeli, et enquêta sur l'identité d'un certain "B".
Dialogue[]
- Jacob: "Cher Mr Starrick. Hommes engagés. Attaque demain. La mort de Disraeli repoussera sine die la loi sur la Collusion. Gladstone sera nettement plus docile. Puisse le Père, etc. etc. Signé : B." Ainsi, Starrick se mêle aussi de politique ? Je dois m'infiltrer au Sinopean Club afin de découvrir qui est ce "B".
- Evie: Sois discret aux abords du parlement.
- Jacob: Ne suis-je pas toujours discret ?
- Evie: Ton grand numéro à la Banque d'Angleterre a failli faire s'effondrer la livre sterling.
- Jacob: Je ne l'aurais jamais permis, ma chère sœur. Mais en parlant d'effondrement, qu'en est-il de cette clé qui n'ouvre rien ?
- Evie: Henry est en train de l'étudier. Je suis sûre que nous trouverons la crypte.
- Jacob: Ta confiance t'honore, Evie. Vraiment.
Jacob infiltra le Sinopean Club.
- Jacob: À nous deux, "B". Qui es-tu et à quoi joues-tu ?
Jacob espionna Disraeli.
- Jacob: Tiens tiens, voilà mon vieil ami Disraeli. Alors, Premier ministre, lequel de tes amis s'apprête à te poignarder dans le dos ?
- Disraeli: La loi sur la Collusion est une étape cruciale de la réforme de l'État. Si le parti majoritaire peut imposer les résultats d'élections contestées, comment pourrions-nous nous prétendre libres ?
- Gladstone: Si nous cédions un par un nos droits au judiciaire, nous ne pouvons plus guère nous prétendre libres.
- Disraeli: Cela vous ressemble bien, Gladstone ! Vous préféreriez vous jeter dans les rouages du progrès plutôt que renoncer à un iota de pouvoir !
- Gladstone: Disraeli, vous déraisonnez ! Et c'est un euphémisme ! Je ne vous laisserai pas traîner les privilèges parlementaires dans la boue sans rien faire !
- Disraeli: Non, certainement pas ! Préféreriez-vous retrouver le joug de la tyrannie ? Tant que nous y sommes, monsieur Gladstone, nous pourrions brûler la Grande Charte et rendre la couronne aux Stuart !
- Gladstone: Comment osez-vous ? Ce n'est pas parce que je souhaite que le gouvernement reste à l'écart des juges que vous pouvez vous permettre de m'insulter ! Je ne le tolérerai pas !
- Disraeli: Dans ce cas, je rendrai votre requête caduque. Monsieur, je ne vous salue pas.
Un espion suivit Disraeli à peine eut-il quitté le club.
- Jacob: "B", je présume ?
Jacob courut après l'espion et le plaqua au sol.
- Jacob: Ravi de te rencontrer, "B".
- Herbert: B ? Je... je m'appelle Herbert !
- Jacob: Alors, pourquoi suis-tu le Premier ministre ?
- Herbert: Pour l'argent, Monsieur. Quelqu'un m'a payé pour...
L'espion fut abattu en pleine tête, et Jacob vit la tireuse sur les toits.
- Jacob: Petite vipère.
Jacob se lança à la poursuite de la tireuse, évitant ses tirs.
- Tireuse: Rentre chez toi !
Fiche le camp, toi !
Jacob piégea la tireuse sur les toits.
- Tireuse: Argh !
Jacob prit la tireuse par le col et la tint au-dessus du vide.
- Tireuse: Nom de Dieu ! D'où est-ce que tu sors, toi ?
- Jacob: Eh bien, je suis né à Crawley, mais peu importe. Pour qui tu travailles ?
- Tireuse: J-j'ai jamais su son nom. Un vieux. À grosse moustache. Avec une sorte d'uniforme. De hussard, peut-être.
- Jacob: Que veut-il ?
- Tireuse: Pitié... Il va me tuer...
- Jacob: Et une chute de trois étages va te briser les jambes et t'envoyer à l'hospice. Tu ne préfères pas lui échapper ?
- Tireuse: C'est pour demain ! Mes gars doivent attaquer la voiture du Premier ministre sur le chemin du parlement.
Jacob relâcha la tireuse.
- Jacob: Parfait.
Conséquences[]
Jacob découvrit que des hommes avaient été engagés pour attaquer la voiture du Premier ministre sur le chemin du parlement.