Jean-Paul Marat (24 mai 1753 – 13 juillet 1793) était un médecin, physicien, journaliste radical et homme politique français.
Marat signa une missive autorisant une bande de brutes à piller les tombes de l'île de la Cité. Toutefois, l'Assassin Arno Dorian déroba la lettre, mettant ainsi fin aux activités des bandits.
Son journal L'Ami du peuple lui apporta une grande notoriété sous la Révolution, en tant que partisan influent des sans-culottes et du club des Jacobins. Le rôle qu'il tint dans la chute des Girondins amena certains à penser qu'il risquait de faire sombrer la France dans la guerre civile.
Sa notoriété fut aussi la cause de son meurtre le 13 juillet 1793, commis par Charlotte Corday. Il fut immortalisé par le tableau de Jacques-Louis David montrant Marat poignardé dans son bain. Atteint d'une sérieuse infection cutanée, il prenait souvent des bains tout en continuant à travailler.[1]
En 2012, Clay Kaczmarek intégra Marat à l'un de ses Glyphes cachés dans l'Animus.[2]
Galerie[]
- ↑ Assassin's Creed: Unity
- ↑ Assassin's Creed II – Glyphe n°7 : "Cherchez et vous trouverez"