- « Le général Wolfe infligera une sévère correction à ce lâche de Montcalm. »
- – Christopher Gist, 1758[src]
James Wolfe (2 janvier 1727 – 13 septembre 1759) était un officier dans l'Armée britannique, essentiellement connu pour sa victoire lors de la bataille des Plaines d'Abraham en 1759, en pleine Guerre de Sept Ans.
Biographie[]
En 1758, les Britanniques avaient pour objectif la capture de Louisbourg, en particulier le fort situé là-bas. Cela aurais permis à la Royal Navy de naviguer sur le fleuve Saint-Laurent, une habile manœuvre ayant pour but de capturer Québec et Montréal. Lors du Siège de Louisbourg, James Wolfe, Charles Lawrence et Edward Whitmore furent désignés pour commander trois divisions de la Royal Navy, en soutien du major général Jeffery Amherst[1].
Dans le même temps, les Assassin coloniaux et Adewalé, également Assassin, préparèrent une contre-offensive, supportée par l'Armée française pour endiguer l'assaut britannique. Sachant cela, les Templiers coloniaux Haytham Kenway, Shay Cormac, Christopher Gist et leur allié James Cook aidèrent la Royal Navy en attaquant les navires français et en détruisant les brûlots envoyés par Adewalé. Grâce aux efforts des Templiers, les britanniques prirent Louisbourg[1].
En 1759, l'armée britannique assiégea la ville de Québec. Plutôt que d'attendre des renforts, le général français Louis-Joseph de Montcalm choisit d'attaquer l'armée britannique dans ce que l'on appela la bataille des plaines d'Abraham. La bataille fut une victoire décisive des britanniques, durant laquelle à la fois Montcalm et Wolfe trouvèrent la mort. Avec la prise de Montréal, la guerre dura encore quatre années, et la France dut céder la majorité de ses colonies en Amérique au Royaume-Uni[2].
Note[]
- La Mort du général Wolfe, peinte par Benjamin West peut être aperçue au Domaine Davenport. William Johnson figure d'ailleurs sur la peinture, même s'il n'était pas là au moment de la mort de James Wolfe.