Ingérence française est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Connor Kenway, revécue en 2012 par Desmond Miles à travers l'Animus.
Description
Connor et Robert Faulkner prirent la barre de l'Aquila pour venir en aide au Belladonna.
Dialogue
- Faulkner: Notre brebis, capitaine. Le Belladonna de Roderigue Hortalez et compagnie. Il navigue sous pavillon espagnol, mais en réalité, c'est bien un navire français.
- David: Les Français envoient une cargaison d'armes et de poudre aux vieux George et à ses Patriotes. Des navires coloniaux devaient l'escorter le long de la côte, mais ils l'ont abandonné. Depuis, il attend.
- Connor: Nous devons nous assurer que Washington reçoive son colis.
- Français: Où est le capitaine ?
- Connor: C'est moi le capitaine.
- Français: Vous êtes en retard.
- Connor: Nous sommes venus aussi vite que possible.
- Français: C'est trop lent.
- Connor: Et qu'est devenue votre escorte ?
- Français: Le Randolph nous accompagnait mais il a disparu sans prévenir. Classique. C'est pour cela que mon second a voulu que je vienne à votre bord. Partons.
- Faulkner: Nous partirons quand nous serons prêts, pas avant.
- Français: Quoi ?
- Faulkner: L'Atlantique est un endroit dangereux pour un navire isolé, surtout s'il transporte une cargaison convoitée. Vous devez être content de nous voir.
- Français: Mmpf. Il fait chaud, ici. Mon second n'est pas pressé de rejoindre les brumes du nord.
- Faulkner: Cet homme est-il sérieux ?
- Connor: Ouvrez bien l'œil, monsieur Faulkner. Dans ce brouillard, ceux qui traquent le Belladonna pourraient fondre sur nous en un instant.
- Faulkner: Aye, capitaine. Moi aussi, je crains le pire.
- Équipage: Des Anglais fondent sur nous, capitaine !
Une flotte de navire britanniques s'en prit aux deux vaisseaux, et le Belladonna fit parler ses canons.
- Français: La marine française n'a pas son égal.
- Faulkner: Ils auraient dû choisir une autre cible. Comment se fait-il qu'il y a autant d'Anglais dans les parages ?
- Connor: Je n'en sais rien, mais il faut tirer le Belladonna de ce brouillard.
D'autres navires firent surface, et furent aussitôt coulés par l'Aquila et le Belladonna.
- Équipage: Frégates anglaises !
- Français: Pourquoi sont-ils si nombreux ?
- Connor: Peu importe ! Nous ne reculerons pas !
- Faulkner: Oui. Nous faisons sans doute de belles cibles dans cette soupe, et ces navires ne seront pas les seuls.
- Français: Mais que peut-on faire ?
- Faulkner: Prier pour qu'ils ne nous retrouvent pas.
- Équipage: MAN'O'WAR !
- Français: Grand Dieu ! Ils ont abattu le grand-mât du Belladonna ! Nous devons rester près de lui !
- Faulkner: Par tous les diables ! Tirez sur ce monstre !
- Connor: Non ! Nous allons l'aborder. Je veux découvrir ce que les Anglais savent sur le Belladonna. On va s'en emparer, matelots !
- Français: L'aborder ? Mais cet homme est fou ?
Après avoir abattu le mât de l'ennemi, Connor s'en approcha afin de l'aborder.
- Faulkner: Rapprochez-le ! Aux armes ! Aux armes !
- David: Aux pièces sur pivot ! Couvrez depuis la dunette !
- Faulkner: Assurez les aussières arrière ! Fixez à la proue !
Connor aborda le Man O'War, et assassina son commandant.
- Connor: Que sait l'amirauté anglaise au sujet du Belladonna ?
- Commandant: L'amirauté anglaise ne sait rien de tout ça.
- Connor: Alors, que faites-vous là ?
- Commandant: Un Patriote nous a conduits ici. Nicholas Biddle.
- Connor: Et pour qui Biddle travaille-t-il ?
- Commandant: Tu le sais déjà, Assassin.
Connor remonta à bord de l'Aquila.
- Faulkner: Que vous a dit le commandant ?
- Connor: Nicholas Biddle les a menés ici. Il a...
Connor remarqua le Randolph non loin d'eux.
- Connor: Le Randolph.
- Faulkner: Le Randolph ?! Tous à vos postes !
- Connor: Annulez cet ordre ! Il s'éloigne de nous. On ne peut pas laisser le Belladonna sans protection.
- Faulkner: Mais enfin !
- Connor: Il est endommagé et vulnérable. Que le Randolph s'en aille. Nous le reverrons bien assez tôt.
Conséquences
Le Belladonna fut sauvé, et Connor comprit que Biddle était bel et bien un Templier.