Gravé dans la pierre est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Kassandra, revécue en 2018 par Layla Hassan à travers l'Animus.
Description[]
Bien que Chrysis eut interdit aux prêtres de parler à Kassandra de sa mère, Timoxenos lui présenta ceux qui parlent sans avoir à craindre pour sa vie.
Dialogues[]
- Timoxenos : Allez, viens. Par ici. Si quelqu'un nous observe, je vais y laisser ma tête.
- Kassandra : Étrange, ce sanctuaire. Les prêtres n'y sont pas en sécurité…?
- Timoxenos : Les temps ont changé, Porteuse d'aigle.
Ils arrivèrent devant plusieurs stèles.
- Timoxenos : Ah, je me souviens de ce récit. Il date de l'époque de la grande révolte des hilotes. Tu n'étais sûrement qu'une enfant.
- Kassandra : Je me moque de l'histoire, donne-moi les détails.
- Timoxenos : On y parle d'une femme qui avait des vers dans la gorge. Asclepios lui a ôté la tête pour qu'on les lui enlève, puis l'a remise en place pendant son sommeil.
- Kassandra : Non, ce n'est pas ça que je cherche. Je me demande ce qu'Hippocrate penserait de ces… traitements.
- Timoxenos : Hippocrate est un bon guérisseur. Il était si prometteur…
- Kassandra : Était ? Il soigne des malades, en ce moment.
- Timoxenos : Il se fie beaucoup trop à ses mains et pas assez aux dieux.
- Kassandra : Quand il est question de vie ou de mort, je préfère les mains. Tous ces témoignages sont aussi… insolites ?
- Kassandra : Les auteurs d'aujourd'hui, Thucydide, Euripide, l'acerbe Aristophane… Tous cherchent le réalisme, mais ce qui inspire vraiment les gens, c'est la grandeur, la magie, les dieux !
Kassandra et Timoxenos arrivèrent devant d'autres stèles.
- Timoxenos : Ce récit parle d'un homme ayant reçu des coups d'épée. Une meute de chiens a léché ses plaies et eurêka ! Ah, le meilleur ami de l'homme…
- Kassandra : C'est sans espoir.
- Timoxenos : Mais ces récits SONT une source d'espoir, Porteuse d'aigle.
- Kassandra : Ça ne marche pas sur moi. Parle-moi de Chrysis.
- Timoxenos : C'est une femme puissante et dangereuse. Mais ça n'a pas toujours été le cas. C'est une enfant abandonnée. Les prêtres l'ont recueillie, et lui ont enseigné la voie des dieux. Elle était… déterminée. Elle a appris très vite. Et il n'a pas fallu longtemps pour que ce soit les prêtres qui l'écoutent… Tout le monde l'aimait. Mais son coeur renfermait une colère impossible à apaiser. Quand ses méthodes tournèrent à la folie, tous ceux qui s'y opposèrent furent…
- Kassandra : Furent quoi ?
- Timoxenos : J'en ai déjà trop dit.
Ils arrivèrent devant les dernières stèles.
- Kassandra : Et celle-là ? Laisse-moi deviner : il est question d'une femme aveugle dont des serpents ont léché les yeux…
- Timoxenos : Il est écrit : "De Sparte. Venue ici avec enfant. Des dieux implora la pitié."
- Kassandra : Pourquoi a-t-on presque tout effacé ?
- Timoxenos : Oh, je, euh… Je vais te le dire. Je connais cette histoire par coeur. Cette Spartiate est arrivée sale, les pieds en sang après son voyage. Nous l'avons recueillie, nourrie, baignée, et elle est repartie. J'ignore où elle est est. Quant à l'enfant… on n'a pas pu le sauver.
- Kassandra : Qui peut savoir où elle est partie ?
Timoxenos remarqua un prêtre arriver près d'eux.
- Timoxenos : On nous a vus. Retrouve-moi plus tard près de l'olivier d'Herakles, à l'entrée du sanctuaire. J'ai peut-être quelque chose pour toi.
- Prêtre : Tiens, tiens, qu'avons-nous là ?… Un prêtre et une mercenaire qui se promènent ensemble ?
- Timoxenos : Que les dieux t'accompagnent, Pleistos ! Je me rendais aux archives quand cette misthios est tombée sur moi.
- Prêtre : Vraiment ? Et de quoi pouviez-vous parler avec tant de ferveur, mmh ?
- Kassandra : Je cherche ma mère. Une Spartiate qui est venue ici. Ce prêtre m'a gentiment conduite ici à cette pierre… C'est peut-être la sienne.
- Timoxenos : Euh, je dois… J'ai quelque chose à… Je dois y aller.
Timoxenos partit.
- Prêtre : Nous soignons les malades, Porteuse d'aigle, et nous respectons la vie privée de nos patients. Maintenant, pars. Ta présence ici n'apporte rien de bon.
Kassandra se dirigea vers l'olivier d'Herakles, comme indiqué par Timoxenos.
- Kassandra : L'arbre d'Herakles… Je me demande si on l'aime pour la légende ou pour ses olives. Bon, il est où ce prêtre ?…
Kassandra découvrit le corps sans vie de Timoxenos, puis le prêtre précédemment rencontré fit son apparition, accompagné d'un homme de main.
- Prêtre : Il connaissait le châtiment s'il parlait… d'elle à la Porteuse d'aigle. Chrysis a été claire.
- Kassandra : Vous n'aviez pas besoin de le tuer.
- Prêtre : Mais on l'a fait… Et maintenant, à ton tour.
- Kassandra : Ce prêtre m'enseignait gentiment comment soigner les coups d'épée.
- Timoxenos : Euh, oui… Les coups d'épée…
- Prêtre : Oh, vraiment ? Et quel est le bon traitement pour les coups d'épée, selon Timoxenos ?
- Kassandra : Euh… les serpents. On enroule des serpents autour de la blessure pour arrêter le sang.
- Prêtre : Ohh ! Un traitement très ingénieux, ne trouves-tu pas, Timoxenos ?
- Timoxenos : Euh, je dois… J'ai quelque chose à… Je dois y aller.
Timoxenos partit.
- Prêtre : Nous soignons les malades, Porteuse d'aigle, et nous respectons la vie privée de nos patients. Maintenant, pars. Ta présence ici n'apporte rien de bon.
Kassandra se dirigea vers l'olivier d'Herakles, comme indiqué par Timoxenos.
- Kassandra : L'arbre d'Herakles… Je me demande si on l'aime pour la légende ou pour ses olives. Bon, il est où ce prêtre ?…
Kassandra découvrit le corps sans vie de Timoxenos, puis le prêtre précédemment rencontré fit son apparition, accompagné d'un homme de main.
- Prêtre : Il connaissait le châtiment s'il parlait… d'elle à la Porteuse d'aigle. Chrysis a été claire.
- Kassandra : Vous n'aviez pas besoin de le tuer.
- Prêtre : Mais on l'a fait… Et maintenant, à ton tour.
- Kassandra : Euh… des olives. On farcit les blessures avec des olives, ça empêche de saigner.
- Prêtre : Des olives. C'est nouveau, ça. Très impressionnant, Timoxenos.
- Timoxenos : Euh, je dois… J'ai quelque chose à… Je dois y aller.
Timoxenos partit.
- Prêtre : Nous soignons les malades, Porteuse d'aigle, et nous respectons la vie privée de nos patients. Maintenant, pars. Ta présence ici n'apporte rien de bon.
Kassandra se dirigea vers l'olivier d'Herakles, comme indiqué par Timoxenos.
- Kassandra : L'arbre d'Herakles… Je me demande si on l'aime pour la légende ou pour ses olives. Bon, il est où ce prêtre ?…
Kassandra découvrit le corps sans vie de Timoxenos, puis le prêtre précédemment rencontré fit son apparition, accompagné d'un homme de main.
- Prêtre : Il connaissait le châtiment s'il parlait… d'elle à la Porteuse d'aigle. Chrysis a été claire.
- Kassandra : Vous n'aviez pas besoin de le tuer.
- Prêtre : Mais on l'a fait… Et maintenant, à ton tour.
- Kassandra : Des chiens.
- Prêtre : Pourquoi des chiens ?
- Kassandra : On leur fait nettoyer les blessures à coups de langue.
- Prêtre : Excellent ! Ne dévoile pas tous nos secrets, Timoxenos. Qui viendra faire des offrandes aux dieux si les patients apprennent à se soigner ?
Timoxenos eut un rire nerveux.
- Timoxenos : Non, non, bien entendu. Maintenant, si vous voulez bien m'excuser, on m'attend ailleurs.
- Prêtre : Tu as ton traitement, misthios. Maintenant, quitte ce sanctuaire.
Kassandra se dirigea vers l'olivier d'Herakles, comme indiqué par Timoxenos.
- Kassandra : L'arbre d'Herakles… Je me demande si on l'aime pour la légende ou pour ses olives. Bon, il est où ce prêtre ?…
Kassandra s'adressa au prêtre.
- Timoxenos : Je te remercie pour ta discrétion, Porteuse d'aigle. Chrysis possède des yeux et des oreilles dans tout le sanctuaire.
- Kassandra : Que peux-tu me dire d'autre sur la Spartiate et son enfant ?
- Timoxenos : Cette femme a laissé ici la couverture de son enfant. Nous avons voulu la lui rendre, mais c'était un souvenir trop pénible pour elle.
- Kassandra : Où est-elle allée ? Qu'est devenu l'enfant ?
Les prêtre précédemment rencontré fit son apparition, accompagné d'un homme de main appartenant au Culte.
- Prêtre : Ah, Chrysis avait raison. Tu connais les règles, Timoxenos. Tu vas subir sa colère.
- Timoxenos : Pleistos, je t'en supplie !
- Kassandra : Viens derrière moi, prêtre. Je vais m'occuper d'eux.
- Kassandra : Je suis toute crasseuse, j'ai besoin d'un bon bain. Ce prêtre m'a gentiment indiqué où trouver les thermes.
- Timoxenos : Euh, oui… C'est ça. Les thermes sont dans cette direction. Maintenant, si vous voulez bien m'excuser…
Timoxenos partit.
- Prêtre : Les thermes ont pour but de soigner les malades, pas de laver le sang qu'on a sur les mains. Pars, maintenant.
Kassandra se dirigea vers l'olivier d'Herakles, comme indiqué par Timoxenos.
- Kassandra : L'arbre d'Herakles… Je me demande si on l'aime pour la légende ou pour ses olives. Bon, il est où ce prêtre ?…
Kassandra s'adressa au prêtre.
- Timoxenos : Je te remercie pour ta discrétion, Porteuse d'aigle. Chrysis possède des yeux et des oreilles dans tout le sanctuaire.
- Kassandra : Que peux-tu me dire d'autre sur la Spartiate et son enfant ?
- Timoxenos : Cette femme a laissé ici la couverture de son enfant. Nous avons voulu la lui rendre, mais c'était un souvenir trop pénible pour elle.
- Kassandra : Où est-elle allée ? Qu'est devenu l'enfant ?
Les prêtre précédemment rencontré fit son apparition, accompagné d'un homme de main appartenant au Culte.
- Prêtre : Ah, Chrysis avait raison. Tu connais les règles, Timoxenos. Tu vas subir sa colère.
- Timoxenos : Pleistos, je t'en supplie !
- Kassandra : Viens derrière moi, prêtre. Je vais m'occuper d'eux.
Conséquences[]
Kassandra apprit de Timoxenos qu'une spartiate avait été accueillie au sanctuaire après un long voyage, accompagnée d'un enfant, puis était repartie après un court séjour.
Note[]
- L'accomplissement de cette quête n'est pas obligatoire pour venir à bout de Chrysis.
Quêtes d'Assassin's Creed: Odyssey
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