Wiki Assassin's Creed
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Numa Al'Khamsin, plus connu sous le pseudonyme d'El Cakr par ses confrères, était un Assassin égyptien ayant vécu au XIVe siècle. C'était aussi un ancêtre de l'Assassin Jonathan Hawk.


Biographie

Agissant dans l'Égypte dominée par la dynastie bahrite, El Cakr naquit de père Assassin.


La quête du Sceptre

En 1340, El Cakr, accompagné de son jeune ami et apprenti Ali Al-Ghrabe, se rendit sur un petit îlot au centre du Nil pour rencontrer un vieil homme de la Confrérie, dans l'antique temple dédié à la déesse Aset. Le vieil homme chargea l'Assassin de retrouver le Sceptre d'Isis, volé au sultan Nâsir Muhammed Ben Qalâ'Un. Pour cela, il lui remit un éclat d'ivoire qui faisait partie du manche de la dague d'un des voleurs et qu'il avait retrouvé au sol.


Vers Le Caire

El Cakr partit sur le champ pour Le Caire en voyageant sur son bateau, toujours en compagnie du jeune Ali. L'Assassin réfléchissait à découvrir le symbole qui apparaissait en partie sur l'éclat d'ivoire, quand Ali, dessinateur de talent, lui révéla un croquis où il avait reproduit le symbole en entier en extrapolant la forme. El Cakr reconnut aussitôt la croix des Templiers et pu ainsi mettre un nom sur l'identité des voleurs du sceptre.


Récolte d'informations

Arrivés dans la capitale du royaume, les deux amis se séparèrent, El Cakr assurant une leçon à son jeune ami: "les murs ont des oreilles", ce qui signifiait qu'il était aisé de récolter des informations en écoutant les derniers potins çà et là. Pour ce faire, l'Assassin se rendit dans un bain public pour hommes et prêcha le faux pour savoir le vrai: aux autres hommes présents, il raconta qu'il était un soldat supplémentaire dans la garde personnelle du sultan, suite au vol de son sceptre, symbole d'autorité. Mais il raconta aussi que le monarque ne craignait rien car les voleurs n'avaient dérobé qu'une copie et que le vrai sceptre était encore en possession royale. Alors que la majorité des hommes écoutaient le beau parleur avec curiosité, l'un d'entre eux, à l'écart, prétexta qu'il devait rentrer chez lui, étant attendu par sa femme et tout à coup malade. L'Assassin quitta le bain peu après, il avait une cible à prendre en filature.


Chez Bachir Al-Djallil

« Tu m'avais promis!
– Le faucon ne doit rien au corbeau, Ali!
 »
– Ali et El Cakr[src]

Alors que la nuit était tombée, El Cakr n'eut aucun mal à poursuivre l'individu. Mais l'Assassin fut surpris par un bruit et se retourna, lame secrète dégainée. Ce n'était qu'Ali qui l'avait suivit. Essuyant les reproches de l'Assassin qui avait faillit l'occire, le jeune homme surmonta effrontément le sermon et assura qu'il savait qui habitait la maison où la cible était entré, mais qu'il lui dirait que si l'Assassin le laissait le suivre. El Cakr accepta et Ali lui parla de Bachir Al-Djallil, un riche marchand qui avait la mauvaise réputation de faire enle ver des jeunes femmes pour les violer et les tuer ensuite, mais restait impuni car il effaçait toujours les preuves de ses méfaits. L'Assassin le remercia mais laissa le garçon sur la touche, se déplaçant de toit en toit avec agilité alors que son jeune ami peinait à se déplacer aussi rapidement. Mais El Cakr s'infiltra dans la demeure du marchand, tapit dans l'ombre et tua le garde qui surveillait le couloir de l'étage et cacha le corps. Puis il entra dans la chambre intérieure de Bachir et le menaça. Mais comme ce dernier ne voulait rien dire, l'Assassin le ligota et lui promit d'atroces souffrances en le torturant, s'il ne lui révélait pas ce que son mystérieux visiteur lui avait communiqué. Finalement, le marchand avoua que la cible de l'Assassin se rendait à Karnak avec les Templiers, mais il ignorait dans quel but. Après cela, El Cakr lui reprocha ses méfaits avant de lui enfoncer sa lame secrète dans le cœur.

El Cakr savait maintenant où aller pour poursuivre son enquête.


Caractère

El Cakr est sûr de lui, fin tacticien il sait soutirer des informations habilement en menant la conversation ou bien plus brutalement s'il le faut. Il est aussi un peu espiègle et n'hésite pas à pousser le pauvre Ali par dessus bord pour le faire plonger dans le Nil, rigolant franchement de ses farces.


Source

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