- Cet article concerne la mémoire de Bayek dans The Curse of the Pharaohs. Peut-être recherchez-vous la mémoire du même nom dans Origins ou la mémoire de Kassandra dans Odyssey ?
Du sang dans l'eau est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Bayek de Siwa, revécue en 2017 par Layla Hassan à travers l'Animus.
Description[]
À la mort de Tychon, Bayek découvre que quelqu'un d'autre cherche la relique. Il se rend à Souenet pour rechercher le navire appartenant au mystérieux Lotus.
Dialogues[]
Après avoir parlé à Isidora et fouillé le bureau de Tychon, Bayek décida de se rendre à Souenet pour trouver un certain nommé Lotus.
- Bayek: Je dois trouver le bureau du scribe, le manifeste me dira peut-être à qui appartient le navire.
À Souenet, Bayek frappa à la porte du bureau du scribe.
- Bayek: L'endroit a l'air désert, où a-t-il bien pu passer ?
- Atout: Ohh, et tu es... ?
- Bayek: Un homme qui cherche le scribe.
- Lotus: Comme la moitié de Yebou. Mais personne ne l'a vu depuis hier.
- Bayek: Je dois lui parler.
- Bayek: Ah, n'es-tu pas fort et puissant, toi ? Comment saurais-je où il est, moi qui me contente de lui verser son salaire ?
Bayek fit la moue.
- Atout: Attends. Attends. Ton désarroi me fait trop peine à voie. Rends visite au village de chasseurs. Il aime la chair exotique, si tu vois ce que je veux dire.
- Bayek: Non, je ne vois pas.
- Atout: De l'hippo grillé ! À moins qu'il soit allé se ravitailler en papier au village des papyrus ?
- Bayek: Merci, neb.
- Atout: Non. Merci à toi, neb. Et si tu le trouves, dis-lui qu'il n'a plus d'emploi.
Bayek partit vers le sud.
- Bayek: Des traces de lutte. Ça ne présage rien de bon pour le scribe... ni pour le manifeste.
Bayek trouva le scribe mort.
- Bayek: Des bandits l'ont piégé. Il me faut ce manifeste. Ils ont dû emporter ses affaires à leur campement.
Bayek récupéra le manifeste dans le repaire de la ferme engloutie.
Manifeste du navire de Souenet
Felouque marchande - "Bonté d'Amon" apportant des peaux et du vin à Alexandrie |
- Bayek: Le navire du Lotus, il est amarré au sud de Yebou. Espérons qu'il y soit toujours.
Sur son chemin, Bayek croisa un groupe d'individus qui parlait du Lotus.
- Femme: Ce sont de véritables brutes, ils s'en prennent à d'innocents marchands !
- Homme: Je ne suis pas sûr de l'innocence du Lotus. Mais ils peuvent faire ce qu'ils veulent, personne n'ose les défier.
- Femme: Ils tiennent la contrebande de reliques à Yebou ?
- Homme: Tous des voleurs et des menteurs. Les contrebandiers, les soldats, ils se remplissent tous les poches d'argent sale.
Bayek se rendit à son navire, mais du sang dans l'eau laissait présager la suite.
- Bayek: On dirait qu'il a déjà reçu de la visite.
Bayek monta sur le bateau et examina des poteries brisées.
- Bayek: Des poteries... magnifiquement décorées.
Il remarqua la cargaison intacte.
- Bayek: Ils n'ont pas touché à la précieuse cargaison. Ils cherchaient des informations, pas du butin.
Bayek vit plus loin des fragments de reliques.
- Bayek: Des fragments de reliques brisées.
Il s'approcha de corps massacrés.
- Bayek: Les marins ont été torturés. Pour les faire parler ?
Bayek examina le sang sur le bateau.
- Bayek: Beaucoup de sang, quelqu'un a traîné un corps vers l'extrémité du pont. Mais où a-t-il fini ? Dans le fleuve ? À moins que ce ne soit une diversion...
- Bayek: On s'est battu ici. Mais quelqu'un a traîné un corps par dessus bord pour tenter de faire diversion. Il aurait rejoint le rivage ?
Bayek suivit la piste de sang jusqu'au rivage.
- Homme: Ce brigand s'est enfui avec mon cheval !
Il s'adressa à un homme en colère.
- Bayek: Quelqu'un t'a pris ta monture. Il venait du bateau ?
- Homme: Oui ! Un démon aux cheveux roux. Il est sorti du fleuve comme une loutre. Il a volé Ganymède et il est parti vers le village des contrebandiers.
- Bayek: Et tes vêtements ?
- Homme: On ne peut même plus se rafraîchir dans l'eau sans être la proie de voleurs et de vagabonds. Qu'est-ce que je vais faire, moi, maintenant ?
- Bayek: Prie Sobek pour qu'il te rende ton habit.
Bayek se rendit ensuite dans le village du sorcier lunaire pour retrouver le voleur.
- Bayek: Je vais aller au village du Maudisseur lunaire. Il y a là-bas des contrebandiers qui ont besoin d'une leçon d'histoire.
Bayek s'adressa à l'homme aux cheveux roux.
- Bayek: Soutekh ? Bien entendu, combien de rouquins voleurs y a-t-il par ici ?
- Soutekh: Voleur ? Je ne suis pas un voleur, Bayek.
- Bayek: Ah oui ? Et les enchères de ton oncle ? Le cheval de ce pêcheur ?
- Soutekh: Ben... vu sous cet angle...
- Bayek: Je sais que tu étais sur ce bateau. À qui est-il ?
- Soutekh: Les ennuis s’obstinent à me suivre. Suis-je coupable des actions de ces profanateurs ? Est-ce ma faute si l'un est de mon sang... et si l'autre me paie ?
- Bayek: Le bateau, Soutekh !
- Soutekh: Ah, oui... Quelle aventure ! Quelle aventure ! J'exécutais une mission importante quand ils sont montés à bord. Naturellement, l'équipage a pris peur. Moi, je suis resté aussi calme que l'eau d'une oasis. Ils ont crié à Merti de sortir, sauf qu'elle n'avait jamais mis les pieds à bord.
- Bayek: Attends... Merti, la marchande ?
- Soutekh: Ils ont fouillé tout le bateau et ils ont tué tous ceux qui leur résistaient. Jusqu'à ce qu'ils trouvent le capitaine. Il s'est débattu et il les a couverts d'injures. Ils ont tué ses hommes un à un devant lui jusqu'à ce qu'il leur dise où elle était. Il n'y a que moi qui ai survécu. Les crocodiles étaient dans l'eau, les soldats étaient partout. J'ai réussi à m'enfuir. En jetant un cadavre dans l'eau pour distraire ces sales bêtes.
- Bayek: Maintenant que ton héroïsme ne fait plus de doute, dis-moi où est Merti ?
- Soutekh: Dans sa villa, à l'ouest de Yebou. La maison du Lotus bleu, celle qui est près de la jolie cascade. Je peux venir avec toi ? Me battre à tes côtés ?
- Bayek: Je la trouverai tout seul. Quant à toi, évite les ennuis.
- Soutekh: Bien sûr, bien sûr. Mais je me demande... Comment fait-on pour devenir contrebandier ? Je demande ça pour un ami...
Bayek quitta Soutekh et rejoignit la villa de Merti.
- Bayek: Merti a de la visite.
Bayek tua les soldats qui la cherchaient et retrouva Merti à l'intérieur de la villa. À peine la porte entre ouverte, Merti se jeta sur Bayek dans le but de le tuer, mais celui-ci esquiva ses coups.
- Merti: Toi ? C'est toi qui amènes ces soldats à ma porte ?
- Bayek: Tu m'as menti, à Thèbes.
- Merti: Tu es bien naïf pour un medjaÿ ! Je t'ai dit ce que je pouvais. Je serais déjà morte si j'avais trahi les autres.
- Bayek: La relique, tu connaissais son pouvoir !
- Merti: Non ! Pas avant que tu débarques dans mon échoppe, avec des lames sanglantes et une dette à régler.
- Bayek: Dette toujours impayée.
- Merti: Ton Aton... nous l'avons cherché, en vain. Un mythe parlant d'ordre, de vérité et de justice, ornant les murs du tombeau d'un hérétique. Après ce qui est arrivé, j'ai cessé de chercher.
- Bayek: Que s'est-il passé ?
- Merti: Un massacre. Une pauvre âme qui voulait nous empêcher de profaner. J'ignore qui c'était, et je n'ai pas cherché à le savoir. Mais j'ai profité de sa mort, et cela m'attriste.
- Bayek: Alors rachète-toi.
- Merti: À ton arrivée à Thèbes, j'ai recommencé à chercher et j'ai appris que quelqu'un l'avait trouvée.
- Bayek: Tu as découvert qui a la relique ?
- Merti: Je n'y suis pas parvenue. Mais elle n'appartient pas aux hommes, elle détient le pouvoir des dieux...
- Bayek: Et il ne faudra pas longtemps pour que quelqu'un découvre comment maîtriser ce pouvoir.
- Merti: Alors qu'Amon veille sur nous.
Merti lui tendit un parchemin.
- Merti: Voici où m'a menée la piste. Je l'ai acheté à un antiquaire de la nécropole des nobles.
- Bayek: La relique a été utilisée pour un rite de Maât, un rite depuis longtemps oublié.
- Merti: Prends-le, je suis prête à quitter ces terres maudites.
Merti et Bayek sortirent de la villa, mais furent confrontés à une ombre d'Anubis.
- Merti: Celui qui réclame les cœurs est venu me tuer !
Merti s'enfuit et Bayek combattit l'ombre. Il se dirigea ensuite vers la nécropole des nobles pour trouver l'antiquaire. Il entendit Isidora et Tahemet discuter.
- Isidora: Tu as trahi notre peuple !
- Tahemet: Tu crois que ça me plaît de faire le sale travail du Stratège ? Je ne suis pas là de mon plein gré, prêtresse.
- Isidora: Tu n'as donc aucun respect pour nos ancêtres ? Tu violes leurs tombeaux, notre histoire !
- Tahemet: Athames les pillerait si je n'étais pas là. En fait, je les protège à ma manière.
- Isidora: Tu les protèges ? Pour toi, ce n'est rien d'autre que de l'argent, des poignées de drachmes à jouer aux dés !
Bayek tenta de s'approcher, mais deux gardes firent opposition.
- Tahemet: Prêtresse, je t'en supplie, sois prudente. Très prudent. Justice sera faite, crois-moi.
- Isidora: Ce ne sont pas des pharaons, ce sont nos pères, nos frères... nos mères. Et par la volonté d'Amon, nos mères seront vengées.
Isidora quitta les lieux avec ses deux gardes.
- Tahemet: On dirait que tu en as fait une habitude, Bayek... d'arriver au moment opportun.
- Bayek: Depuis quand travailles-tu pour les pilleurs de tombes, Tahemet ?
- Tahemet: Notre petite altercation au repaire des joueurs n'est pas passée inaperçue. J'ai eu le choix entre aller en prison ou aider à répertorier les tombeaux.
- Bayek: Alors, c'est toi, l'antiquaire dont a parlé Merti ? Tu as étudié le rite dédié à Maât, hein ?
- Tahemet: Par Rê ! Parle moins fort, si les hommes d'Athames apprennent que je leur ai caché quelque chose... Accompagne-moi, et surtout tâche de ne pas attirer l'attention sur toi. Les sculptures de Maât sont ici, dans la nécropole dédiée aux nobles.
Bayek suivit Tahemet.
- Tahemet: Je n'ai pas eu l'occasion de toutes les examiner, mais il y a des adorateurs roux... un orbe... Attends, seraient-ils des descendants de Ramsès ? Ah, à propos du grand pharaon, j'ai un papyrus fascinant qui...
- Bayek: Je pourrais peut-être assister au rite.
- Tahemet: Sois prudent. Les tombeaux grouillent de sbires d'Athames. Si tu trouves l'orbe, j'adorerais le voir. Une relique transmise par les dieux... on ne voit ça qu'une fois dans sa vie !
- Bayek: Une fois ? Si seulement c'était vrai...
- Tahemet: Puisse ta lame te protéger de tes ennemis, Bayek.
Tahemet s'en alla et Bayek pénétra dans la nécropole. Il remarqua la momie d'un enfant.
- Bayek: Un enfant ! Ces profanations vont trop loin. Le Stratège de Yebou en répondra devant Osiris.
Il analysa un relief mural.
- Bayek: Les descendants dont a parlé Tahemet.
Un deuxième.
- Bayek: Quelqu'un se sert de l'orbe. Un pharaon ?
Un troisième.
- Bayek: Amon ? Ça a un rapport avec le rite ?
Un dernier.
- Bayek: Des gens... qui vénèrent la relique ? Des prêtres d'Akhenaton ? Non, il manque les rayons.
- Bayek: Une femme tient la relique en l'air. L'épouse de l'Aton ? Néfertiti ? Recelait-elle un vrai pouvoir... ou n'était-ce qu'un symbole ? Ils font venir les descendants de Ramsès. Mais le rite ? Il n'est pas dédié à la déesse de la vérité, mais à un autre dieu. Les deux plumes d'Amon ? Le rite rétablit Maât sur tout ce qui se trouve sous le ciel. En l'honneur du... seigneur de Thèbes... Et l'épouse royale à ses côtés. Ce sont les prêtres qui ont la relique... Elle m'a menti depuis le premier jour.
Conséquences[]
Bayek découvrit que les prêtres d'Amon possédaient la relique qu'il recherchait depuis le début.