Derniers rites est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique d'Arno Dorian, revécue par un Initié à travers le Navigateur Helix.
Description[]
Arno et un groupe d'Assassins furent chargés de protéger la recette de l'impôt révolutionnaire des Pilleurs.
Dialogue[]
Trois Pilleurs dressèrent une barricade dans Franciade à l'aide de tonneaux et de caisses.
- Pilleur 1: La procession funéraire doit passer au centre de la ville, aujourd'hui.
Le convoi s'approcha des portes de la ville.
- Pilleur 2: Ce sera facile. On attaque, ils meurent et on devient riche.
- Pilleur 3: Je ne sais pas. J'ai comme une sensation étrange.
- Pilleur 1: Et ben ça, ça doit être la putain d'hier soir...Ha ha ha ha.
Les Pilleurs achevèrent leur ouvrage sous les yeux des Assassins.
- Arno: Il devrait apprendre à suivre son instinct.
De nouveaux Pilleurs débarquèrent et prirent position pour attaquer le convoi. Alors que celui-ci passait en ville, les Assassins tuèrent les huit chefs des Pilleurs afin d'effrayer leurs sous-fifres avant qu'ils ne tuent les trois gardes protégeant le convoi, dernière protection pour les officiels. Après que les Assassins ont tué les chefs, les Pilleurs restants utilisèrent des bombes fumigènes sur le convoi, et les Assassins se dirigèrent jusqu'aux trois lieux de stockage des bombes pour les saboter.
- Officiel: Arrêtons-nous ici un moment.
- Pilleur 4: Toi ! Lance ta bombe ! Allez, lance-la !
- Garde: Attention ! Elles vont exploser !
- Arno: Mais où est-ce qu'il a trouvé des bombes ? Ce n'est pas une attaque ordinaire.
Les Assassins sabotèrent les bombes et tuèrent les chefs. Le convoi fut de nouveau attaqué, mais les Assassins tuèrent les Pilleurs, permettant au convoi de passer.
- Officiel: Nous pouvons enfin quitter cette maudite ville. Qu'est-ce qui a pris Rousseau d'aller habiter dans ce trou à rats ?
Conséquences[]
Grâce aux Assassins, le cortège put se diriger vers Paris.
Anecdote sur la mission[]
Vous avez peut-être remarqué durant la mission que les pilleurs parlent de convoi funéraire et de Rousseau, ceci n'est pas anodin. Le 16 avril 1794 (27 germinal an II), Mme Thérèse Levasseur, veuve Rousseau, se présente à la Convention accompagnée d'une délégation de la Société Républicaine de la commune de Franciade (anciennement Saint-Denis) où elle réside. Ne pouvant joindre les deux bouts avec son amant, elle demande à faire en sorte que sa solde soit augmentée. Ce jour là est voté, appuyé par une pétition de la commune de Franciade, le déplacement des cendres de Jean Jacques Rousseau, héros de la nation, vers le Panthéon français. Le 8 octobre 1794 (17 vendémiaire an III), la commune de Montmorency, accompagné d'une délégation de la Convention, procède à l'excavation des cendres. Le cortège se mettra en route le 9 octobre, s'arrêtera sur la place du village pour des célébrations qui dureront toute la journée avant de reprendre sa route le lendemain midi en direction de Paris, la route vers Paris passant bien sûr par Franciade (on raconte que des événements s'y sont déroulés ce jour-là mais aucun détail n'est transmis). Le convoi funéraire sera accompagné par la population locale au fil de son avancée dans un pèlerinage où règne à la fois le désordre, la dignité et la gaieté. Le 10 octobre au soir, le cortège fera halte dans les jardins du château des Tuileries pour la nuit afin de permettre aux parisiens de venir se recueillir. Le 11 octobre au matin il fallut attendre l'arrivée de la Convention au grand complet pour que son président Cambacérès puisse faire un discours. C'est en musique que le cortège se mit une nouvelle fois en route direction le Panthéon. Le soir même, Rousseau reposait aux côtés de son ennemi de toujours ; Voltaire.