Dariâ était une membre de la Confrérie italienne des Assassins de Venise durant la Renaissance. Elle est une descendante de l'explorateur vénitien Marco Polo, qui lui-même était membre de la Confrérie italienne.
Femme curieuse et brillante, Dariâ fut bercée par les récits de philosophes et grands explorateurs dès son plus jeune âge. Au fil de ses voyages à travers le globe, elle développa progressivement sa propre vision du monde et se promit de défendre le libre arbitre contre l'ordre établi.
Biographie[]
Jeunesse[]
Née à Shiraz en Perse sous l'Empire timouride, Dariâ était la fille unique d'une calligraphe et n'a jamais connu son père. Son enfance fut baignée dans la littérature et elle apprit dès son plus jeune âge à lire et à écrire, apprenant par cœur de nombreux ouvrages de poètes, philosophes et savants de toutes époques et régions. Passionnée par les récits des explorateurs, elle reçut en cadeau de son arrière-grand-père, une édition du Livre des Merveilles de Marco Polo. À la lecture de cet ouvrage, sa mère lui dévoila que le célèbre explorateur était son aïeul, ce qui la motiva à devenir elle aussi une exploratrice.[1]
Bien que sa mère fut effrayée à l'idée de voir sa fille risquer sa vie aux quatre coins du monde, elle soutint tout de même ses ambitions. Ses voyages lui firent découvrir toutes les splendeurs mais aussi les abus dont l'humanité était capable, renforçant son idéal de défendre à tout prix le libre arbitre.[1]
Entrée dans la Confrérie[]
À l'âge de 16 ans, c'est ses rencontres en tout genre qui attirèrent l'attention de la Confrérie. Elle fut alors recrutée par les Assassins perses et adhéra immédiatement au crédo et à leur philosophie. Après un entraînement intensif, Dariâ commença à enquêter sur son ancêtre Marco Polo, estimant qu'elle avait le droit de revendiquer son héritage bien que peu de traces en restait après la mort du dernier membre connu de la famille de Polo, en 1425. Dariâ souhaitait être reconnue comme l'héritière de Marco afin de surmonter les préjugés auxquels elle avait été confrontée lorsqu'elle était devenue exploratrice.[1]
Les Assassins perses soutinrent Dariâ et facilitèrent son transfert à Venise, où elle s'installa et participa à la reconstruction de la Confrérie. Avant son départ de Perse, son mentor lui offrit un diadème portant le symbole de la Confrérie persane.[1]
Grâce à ses recherches, elle découvrit que le testament de Marco Polo n’avait pas été dévoilé dans son intégralité. Après avoir graissé la patte d’un prêtre, elle localisa son testament au Vatican, détenu par un membre influent de la garde romaine, un certain Nattaniele Drachetti. Avec d'autres Assassins, Dariâ se mit en route vers dans l’espoir que le testament fasse mention d’une aïeule de Dariâ. Arrivés sur les lieux, les Assassins trouvèrent qu'une partie du testament de Marco Polo, les pages concernant sa descendance ayant été retirées. Toutefois, près du manuscrit, Dariâ trouva une trappe secrète dans laquelle un mot écrit en Perse lui était destiné.[1]
Équipement[]
Dariâ s'est spécialisée dans les armes à distance, utilisant notamment une arbalète miniature unique montée au poignet sous son avant-bras droit. Elle portait également une large tunique à manches bouffantes et un plastron en cuir fabriqué par son grand-père, ancien armurier et tanneur de cuir. Elle portait également divers accessoires à la ceinture et aux bretelles, ainsi que des bombes fumigènes, des couteaux de lancer et des outils de serrurier.
Note[]
- Dariâ possède comme équipement une lame fantôme, aperçue pour la première fois dans le jeu Assassin's Creed: Unity et portée par Arno Dorian.
Galerie[]
|