Coup double est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Jacob Frye, revécue par un Initié à travers Helix.
Description[]
Jacob s'en alla se procurer deux invitations au bal organisé la reine Victoria à Buckingham Palace, où la souveraine risquait d'être la cible de Crawford Starrick.
Dialogue[]
Jacob et Evie se retrouvèrent au repaire ferroviaire.
- Evie: Tu es en retard. Starrick va passer à l'action. Le Fragment d'Eden est quelque part à Buckingham Palace.
- Jacob: Qu'il le prenne.
- Evie: Je t'ai vu à l'œuvre dans toute la ville. Tu devrais peut-être te fier à mon jugement.
- Jacob: J'ai tué les lieutenants de Starrick, et toi, tu as fait quoi ? Demandons à Henry, tu veux bien ?
- Evie: Je n'ai fait que réparer tes erreurs. "À trop se hâter, on arrive plus tard."
- Jacob: Arrête de citer notre père.
- Evie: C'est de Platon ! Et désolée si pour une fois il n'est pas question de destruction. Père avait raison, il n'a jamais approuvé tes méthodes.
- Jacob: Ça suffit, il est mort !
Henry s'interposa.
- Henry: Assez ! Je viens d'avoir des nouvelles de mes espions. Starrick compte voler le Fragment d'Eden ce soir, au bal du palais, avant d'éliminer les chefs de l'Église et de l'État.
- Jacob: On y retourne, au nom du bon vieux temps ?
- Evie: Ce sera la dernière fois.
- Jacob: D'accord. Alors, comment on s'y prend ?
Quelque temps plus tard, les Frye invitèrent Benjamin et Mary Anne Disraeli à bord de leur train.
- Mary Anne: C'est une merveilleuse surprise de vous voir tous les deux. Quelles sont les "nouvelles de la rue" ?
- Evie: Mrs Disraeli, nous avons découvert qu'il y avait à Buckingham Palace quelque chose capable de menacer...
- Jacob: Ce que ma sœur essaie de dire, c'est que nous avons besoin d'assister au bal de ce soir.
- Mary Anne: Impossible ! Même s'il restait des cartons d'invitation, ce qui n'est pas le cas, quelqu'un de votre rang social...
- Benjamin: Si cette baudruche de Gladstone est là ce soir, je veux bien leur donner mon carton.
- Jacob: Parfait. Alors, j'irai seul.
- Evie: Madame Disraeli ! Si vous aviez la bonté d'indiquer à mon cher frère où se trouve le domicile des Gladstone, peut-être pourrait-il déployer ses talents et s'emparer de leurs invitations ?
- Mary Anne: Splendide ! Avez-vous entendu, Dizzy ? Nous allons "faucher" les invitations de Gladstone.
- Jacob: Merci de m'avoir porté volontaire, ma chère sœur.
- Evie: Mais c'est un plaisir, mon très cher frère. Oh, madame Disraeli, si vous voulez bien m'excuser, je dois aller voir le maharadjah. Il a peut-être à sa disposition un autre jeu de plans de la crypte.
Jacob se mit en route pour le domicile des Gladstone.
- Jacob: Evie a un de ces toupets. Elle me traite comme un enfant.
Jacob arriva sur place.
- Jacob: Où peuvent-ils bien être ? Le bal a lieu ce soir. Ils ont dû prendre leurs invitations avec eux.
Jacob interrogea une fillette dans la rue.
- Jacob: Hé petite ? Tu n'aurais pas vu deux voitures passer par ici ?
- Fillette: Si, m'sieur. Une avec un homme dedans, l'autre avec une dame. Elles se sont séparées.
- Jacob: Où est parti l'homme ?
- Fillette: Par là.
- Jacob: Merci.
Jacob se mit en route.
- Jacob: Je suis sur la bonne piste.
Jacob localisa Gladstone, qui adressait un discours à ses partisans.
- Jacob: Un meeting politique privé. Je ne vais pas me gêner.
- Gladstone: ... nourrira vos votre épouse, s'occupera de votre foyer ?
Non, ce sera vous et vous seul. Alors, je vous le dis, l'argent que vous gagnez doit rester dans vos poches.
Lorsque je serai votre Premier ministre, je lutterai pour vos libertés ! Vous serez libérés des vices de l'alcool et des bagarres de pubs !
J'ai œuvré pour faire la paix avec nos ennemis, et j'ai œuvré pour que le commerce britannique prospère dans le monde. Si les Libéraux remportent les élections, en tant que Premier ministre, je vous promets : chaque citoyen anglais pourra faire fortune à la sueur de son front !
Merci, amis Libéraux ! Je vous propose de limiter les dépenses de l'État ! C'est le peuple d'Angleterre qui fait la richesse de ce pays, pas les membres du Parlement ! - Invité: Futur Premier ministre !
- Gladstone: Comment allez-vous ?
- Invitée: Un honneur, Monsieur !
- Invité: Monsieur, je vous salue.
Quand Mr Disraeli abandonnera-t-il ? Il n'est pas à la hauteur. - Invitée: Nous devons moraliser la politique moderne.
- Invité: C'est une certitude !
- Gladstone: Oh, vous êtes d'une élégance, Madame.
- Invitée: Merci !
- Invité: Il y a tant de monde !
En effet ! C'est splendide !
Disraeli n'arrive pas à la cheville de Gladstone. - Invitée: En tant que femme et chrétienne, sa politique me plaît.
C'est un chef autoritaire, qui méprise l'oisiveté ! Quel dommage que le Parlement ne suive pas son exemple !
Mr Gladstone s'y entend en matière de discours. - Invité: Cet homme est un génie !
- Gladstone: Merci pour votre soutien sans faille.
William Gladstone, à votre service.
Merci de votre soutien au parti et à moi !
J'ai hâte de vous servir au poste de Premier ministre !
C'est un honneur de vous représenter au Parlement. - Gladstone: Ha ! Ms Thistlewaite (?) ! Quelle journée trépidante !
- Ms Thistlewaite: Ils sont ravis de vous voir, monsieur Gladstone.
- Gladstone: Pas aussi ravi que je le suis de vous voir. Quand nous verrons-nous ? En privé ?
- Ms Thistlewaite: Je serai très prise jusqu'à jeudi, mon tourtereau.
- Gladstone: Notre endroit préféré de Portland Place ?
- Gardes: Soyez à l'affût du moindre geste suspect.
Il faut à tout prix veiller sur Mr Gladstone.
Protégez Mr Gladstone.
Jacob vola l'invitation de William Gladstone.
- Jacob: Je n'ai peut-être pas toujours fait preuve de la plus grande subtilité, mais quand même...
Jacob se rendit à Victoria Station, où se trouvait Catherine Gladstone.
- Jacob: Mrs Gladstone est protégée. Prudence... Mieux vaut attendre qu'elle soit seule.
Mrs Gladstone s'assit sur un banc.
- Mrs Gladstone: Éloignez-vous, je veux me reposer un instant.
Il est en retard... - Jacob: Voilà ma chance.
Mrs Gladstone se leva de son banc.
- Garde: Le train de Mr James est arrivé.
- Mrs Gladstone: Enfin ! Je n'en ai que pour un instant.
Mrs Gladstone se cacha dans des toilettes publiques, où la rejoignit Jacob, se faisant passer pour son amant James.
- Mrs Gladstone: C'est vous, mon amour ?
- Jacob: Oui.
- Mrs Gladstone: Le train avait du retard, mais je ne vous en veux pas. Enlacez-moi !
Jacob vola discrètement l'invitation.
- Mrs Gladstone: Oh, Seigneur !
Jacob quitta les commodités.
- Mrs Gladstone: Revenez, Mr James !
Si Jacob n'avait pas rejoint Mrs Gladstone, James aurait pris sa place aux côtés de cette dernière.
- Mrs Gladstone: C'est vous, mon amour ?
- James: Qui serait-ce d'autre ?
- Mrs Gladstone: Le train avait du retard, mais je ne vous en veux pas. Enlacez-moi !
- James: Vos yeux inaccessibles brillent comme des étoiles.
- Mrs Gladstone: Alors, je vais les fermer, et par cette nouvelle lune, vous serez privé de toute lumière.
- James: J'irai donc à tâtons.
- Mrs Gladstone: Oh ! C'est irrésistible. Partez avant que l'on ne vous voie, nous nous retrouverons jeudi.
- James: J'attendrai sans fermer l'œil dans le noir dans l'attente de voir briller sur moi votre lumière.
Jacob se débrouilla alors pour voler l'invitation.
- Jacob: Pas question d'aller au bal de la reine sans un moyen de transport adéquat.
Jacob vola la voiture de Mrs Gladstone.
- Jacob: Maintenant, les invitations. Comment ? "Par ordre de la souveraine, les épées seront déposées au vestiaire". Freddy saura arranger ça.
Jacob cacha la voiture dans une allée.
Conséquences[]
Jacob se procura deux invitations au bal de la reine ainsi qu'une voiture pour se rendre à Buckingham Palace.