- À ne pas confondre avec Conflit d'intérêts.
Conflits d'intérêt est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Bayek de Siwa revécue en 2017 par Layla Hassan à travers l'Animus.
Description[]
Sefetou traque Zervos, le capitaine du port. Selon les rumeurs, des marchands le cacheraient.
Dialogues[]
- Bayek: Je dois trouver ce Zervos pour apprendre ce qu'il sait sur Sefetou. Savoir s'il est lié au Scarabée. Je vais interroger les marchands, découvrir lesquels sont ses amis.
Bayek visita le marché de Saïs.
- Homme 1: Ma chérie, nous n'avons pas de quoi payer les maudites taxes de Sefetou. Quand il viendra, je lui dirai que je suis prêt à me soumettre à la servitude.
- Femme 1: Non, tu n'auras pas à le faire ! J'ai parlé de notre malheur à dame Maharet et elle m'a donné une bourse remplie de pièces. De quoi tenir un mois ou deux.
- Homme 1: Que cette famille est bonne et généreuse ! Nous ferons une offrande aux dieux en son honneur !
Bayek parla à un premier marchand.
- Homme 2: Tu veux des dattes ? Les meilleures du coin. Ce sont celles que la brasserie utilise pour sa célèbre bière.
- Bayek: Je ne fais que regarder. Tu connais un dénommé Zervos ?
- Homme 2: Zervos ? Le capitaine du port est mort.
Bayek s'adressa à un deuxième marchand.
- Bayek: Je regarde, c'est tout. Tu connais un dénommé Zervos ?
- Homme 3: Le capitaine du port ? Ahh... Pourquoi... me poses-tu cette question ?
- Bayek: Il paraît qu'il a disparu. Il se cache ? Il est mort ?
- Homme 3: Que ferais-tu si Sefetou avait mis ta tête à prix ?
- Bayek: Je vois. Je ne suis pas sous ses ordres.
- Homme 3: Je ne sais rien à ce sujet. Je m'occupe de mes affaires. Je n'ai rien à te dire. Tu as besoin de quelque chose ?
- Bayek: Je suis toujours sur la piste de Zervos.
- Homme 3: Sur sa piste, hein ? Désolé, je n'ai rien à te dire.
Bayek parla à une autre marchande.
- Femme 2: Que cherches-tu, aujourd'hui ?
- Bayek: Le capitaine du port, Zervos.
- Femme 2: Ne prononce pas son nom ! Les gardes l'ont tué !
Bayek parla à une autre marchande.
- Bayek: Les affaires vont bien ?
- Femme 3: Assez bien, oui ! Que cherches-tu, aujourd'hui ?
- Bayek: Zervos, le capitaine du port. Tu sais où je peux le trouver ?
- Femme 3: Tu cherches qui ? Pourquoi ? Je ne le connais pas ! Il paraît qu'il est mort ! Qu'est-ce que tu lui veux à ce Zervos ? C'était un homme bien !
- Bayek: Un homme bien ? Donc, tu le connais.
- Femme 3: Non ! C'est ce qu'on dit de lui, c'est tout. Laisse-moi tranquille !
- Bayek: Je cherche toujours Zervos.
- Femme 3: Je te l'ai déjà dit ! Je ne connais rien ni personne ! Laisse-moi tranquille !
Bayek rencontra un dernier marchand.
- Homme 1: Oh, tu m'as l'air costaud, toi. Tu veux renforcer ton armure ?
- Bayek: La nuit a été longue ?
- Homme 1: Très. Pardon. Que cherches-tu ?
- Bayek: Pour l'instant, je cherche Zervos.
- Homme 1: Le capitaine du port ? Bien sûr. Zervos est... euh... absent.
- Bayek: Absent ?
- Homme 1: Oui. Euh, il est parti à Létopolis. Attiré par la promesse d'une nouvelle vie.
- Bayek: Alors, il n'est pas mort.
- Homme 1: Mort ? Pourquoi voudrais-tu qu'il soit mort ?
- Bayek: Des nouvelles de Zervos ?
- Homme 2: Pardon. Euh, de qui, déjà ?
- Bayek: Une autre nuit difficile ?
- Homme 2: Elles le sont toutes ces temps-ci.
- Bayek: Je vois.
- Homme 2: Ah, désolé. Je ne peux rien pour toi.
Bayek attendit la nuit et suivit les marchands suspects.
- Soldat grec 1: Personne dans les rues la nuit ! Par ordre de Sefetou !
- Soldat grec 2: Sur ordre de Sefetou, le couvre-feu s'applique au crépuscule !
Les marchands se réunirent dans un petit entrepôt.
- Homme: Comment vas-tu ?
- Zervos: Comme je peux. J'en ai assez de me cacher.
- Homme: Un étranger te cherchait, au marché.
- Zervos: Quoi ? Qui ça ? C'est un des chiens de Sefetou ?
- Homme: Je ne sais pas. Je ne crois pas. Il porte un insigne d'autrefois. Mais il a l'air dangereux.
- Zervos: Un insigne ? Quel genre d'insigne ?
- Homme: Un insigne de medjaÿ.
- Zervos: Un protecteur ? Mmh... Garde un œil sur lui.
Bayek surprit les marchands dans l'entrepôt.
- Zervos: Nous ne sommes pas des guerriers.
Zervos s'agenouilla devant Bayek.
- Zervos: Tu peux prendre la prime pour ma tête.
- Bayek: Je ne travaille pas pour Sefetou. Je cherche Zervos, au nom de Harkouf.
Rassuré, Zervos se releva.
- Zervos: Bien. Je suis Zervos, le capitaine du port de Saïs. Ha. Forcé de me cacher sur mes propres quais.
- Bayek: Que te veut Sefetou ?
- Zervos: Ce chien. Il prend toute la ville à la gorge !
- Femme: Ses impôts nous tuent !
- Homme 1: Il a brûlé la ferme de mon cousin !
- Homme 2: C'est vrai !
- Zervos: J'ai fait ce que j'ai pu. J'ai aidé les gens à cacher leurs marchandises. Sefetou ne peut taxer ce qu'il ne voit pas.
- Bayek: Et il t'a percé à jour.
- Zervos: Ses hommes ont attaqué mon commerce et ma maison, mais mes archives sont sur ma felouque. Ils ne l'ont pas encore trouvée, mais ils ne tarderont pas.
- Bayek: Je vais voir ce que je peux faire.
- Zervos: Ma felouque est amarrée aux quais de Saïs. Je préférerais qu'elle reste entière, mais si tu dois la détruire... Sois prudent. Les hommes de Sefetou surveillent le port de près !
Bayek infiltra l'entrepôt de Sap-Meh.
- Soldat grec 1: Tu as trouvé quelque chose ?
- Soldat grec 2: Non, ce maudit Zervos cache ses registres aussi bien que sa personne.
- Soldat grec 1: Continue. Si on trouve de quoi le faire pendre, Sefetou nous récompensera !
- Soldat grec 2: Et si on ne trouve rien ?
- Soldat grec 1: Tu iras l'annoncer à Sefetou. Et il ne sera pas content, par Sarapis.
- Soldat grec 2: Alors cherchons.
Bayek reprit la felouque aux soldats et retourna auprès de Zervos.
- Bayek: Tu n'as plus besoin de te cacher. J'ai pris soin de ta felouque. Tes archives sont en sûreté.
- Zervos: Tu as sauvé ma felouque ! Tiens, prends ceci, tu l'as bien mérité.
Si Bayek avait détruit la felouque.
- Bayek: Tu n'as plus besoin de te cacher. Les archives n'existent plus.
- Zervos: Je n'aurais jamais cru me réjouir de la destruction d'un de mes bateaux.
- Bayek: Un sacrifice modeste.
Les deux hommes rentrèrent dans l'entrepôt.
- Zervos: Tu as aidé tous ceux qui vivent ici.
- Bayek: Des gens sont manifestement prêts à te soutenir, Zervos. Pourquoi ne pas attaquer Sefetou ?
- Zervos: Sefetou est trop puissant, trop cupide. Il sait que personne ne peut s'en prendre à lui. Nous ne sommes pas des guerriers. Sefetou s'entoure de soldats. Sa base de Fort Nikiou est équipée de balistes. C'est même moi qui l'ai aidé à les importer !
- Bayek: Qu'Amon veille sur toi.
Conséquences[]
Bayek retrouva la trace de Zervos. Il sauva sa felouque et ses notes, évitant ainsi que Sefetou n'apprenne quels sont ses projets.