Commerce équitable est la représentation virtuelle d'une mémoire de Bayek revécue en 2017 par Layla Hassan à travers l'Animus.
Description[]
Bayek découvre l'histoire d'une lance merveilleuse, qui a été volée, et décide d'en chercher le voleur.
Dialogues[]
Bayek approcha de la forge de Saou.
- Soldat égyptien 1: As-tu déjà vu un travail aussi raffiné que celui d'Onuris ?
- Soldat égyptien 2: J'aimerais pouvoir m'offrir une de ses armes. Tu as déjà vu le Serpent de Sarapis ? Une lance légère comme une plume et aussi acérée que les crocs de Sobek.
- Soldat égyptien 1: Avec une telle lance, je serais le champion de l'amphithéâtre !
- Soldat égyptien 2: Dommage qu'elle ait connu un tel sort...
Bayek lut un message laissé près de la forge.
Ostracon du Serpent de Sarapis
Sarapis, époux d'Iset, dieu des morts, qui a trempé cette lance dans le Nil pour la rendre légère et précise. Sarapis, qui a veillé sur un roi mourant, qui a affûté cette lame sur le bord de la nuit pour qu'elle reste à jamais tranchante. Outil, je te donne le nom de Serpent de Sarapis et te dédie aux dieux. |
- Sokar: Ah, le Serpent de Sarapis ! Tu connais son sort tragique ?
- Bayek: Pas entièrement.
- Sokar: Oh, c'était un vrai chef-d'œuvre. Une hampe gainée de cuir durci à l'eau, une lame forgée dans un métal céleste.
- Bayek: J'aimerais beaucoup la voir.
- Sokar: Impossible. Je l'ai faite pour un capitaine d'Apollodorus, quand je vivais à Saïs. Les soldats de Sefetou l'ont tué. Et moi, je suis parti.
- Bayek: Sefetou ?
- Sokar: Oui ! Sefetou le Brandon, il fait régner la terreur sur Saïs. L'un de ses sbires a volé la lance qui morte ma marque.
- Bayek: C'est une honte ! Tu ne peux pas la lui reprendre ?
- Sokar: Je ne sais comment l'atteindre. Il navigue sur le lac Maréotis, à bord d'une trirème de Sefetou.
- Bayek: Il mérite une leçon. Mes pas me mènent dans toute l'Égypte. Si je tombe sur lui, je lui prendrai ta lance.
- Sokar: Rien ne me ferait plus plaisir que d'apprendre sa mort ! Et si tu réussis, le Serpent de Sarapis sera à toi !
Bayek trouva le navire militaire et s'infiltra à bord.
- Soldat grec 1: Un autre de ces maudits rebelles ?
- Soldat grec 2: Tu vois quelque chose ?
- Soldat grec 1: Non.
- Soldat grec 2: Qu'est-ce que tu cherches ?
- Soldat grec 1: Des ennuis.
- Soldat grec 2: Tu t'attends à en avoir ?
- Soldat grec 1: Toujours.
- Soldat grec 2: Euh, à plus tard, alors.
Bayek attaqua les soldats.
- Soldat grec: Je vais te tuer, medjaÿ, et garder tes armes comme trophée.
Bayek élimina les soldats et retrouva le Serpent de Sarapis.
- Bayek: Cette lance est magnifique. C'est bien l'œuvre de ce maître forgeron de Saou. Le Serpent de Sarapis est une arme digne des dieux !
Bayek retourna à Saou.
- Femme 1: Les petits se sont enfin endormis.
- Femme 2: Merci de t'en être occupée. Puissent les dieux veiller sur eux et leur accorder nuit calme et sommeil apaisant. Ils se réveillent chaque nuit en hurlant.
- Femme 1: Ce à quoi ils ont échappé... vous avez échappé... va laisser de nombreuses traces.
- Femme 2: Plonger le visage de Sefetou dans les braises serait encore trop clément.
- Femme 1: Je sais, je sais. Tâche d'oublier. Tu es en sécurité. Tes petits vont bien, maintenant. Laisse ça derrière toi.
- Femme 2: Je vais essayer.
Bayek reparla à Sokar.
- Sokar: Medjaÿ ! Tes voyages t'ont ramené parmi nous.
- Bayek: Comment vas-tu, maître forgeron ?
- Sokar: Mieux. Je m'habitue à cette nouvelle vie.
- Bayek: J'ai une nouvelle à t'annoncer. J'ai retrouvé la crapule qui avait volé ta lance. Il ne fera plus de mal à personne.
- Sokar: Ha ! Cette nouvelle me ravit ! J'espère que tu as retrouvé le Serpent de Sarapis et qu'il t'a été utile !
- Bayek: Oh, très utile. Merci, (homme).
Conséquences[]
Bayek reprit le Serpent de Sarapis aux voleurs.