Cheval de Troie est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique d'Ezio Auditore da Firenze, revécue en 2012 par Desmond Miles à travers l'Animus.
Description
Ezio Auditore se procura un certain nombre d'armures pour les mercenaires de Bartolomeo d'Alviano, puis fixa les derniers préparatifs à l'assaut donné sur la caserne du baron de Valois.
Dialogue
Ezio et les mercenaires revêtirent leurs armures.
- Bartolomeo: Donne-moi une de ces misérables armures.
- Ezio: Toi, tu n'en auras pas besoin.
- Bartolomeo: Quoi ?
- Ezio: Ça fait partie du plan. Tu es notre prisonnier. Et nous te conduisons au baron.
- Bartolomeo: Je vois. Et après ?
- Ezio: Tes hommes attaqueront à mon signal.
- Bartolomeo: Bene. Maintenant, va te changer. Le jour va se lever. Allez, allez, en formation !
Ezio mena Bartolomeo et les mercenaires déguisés au camp français. Ezio élimina les gardes postés à un point de contrôle pour éviter tout risque d'être repérés.
- Mercenaire: Il faut suivre le chemin de patrouille. Sinon, les hommes du baron finiront par se douter de quelque chose.
- Bartolomeo: Le baron pense que Cesare laissera les Français régner sur l'Italie. Ce misérable dégénéré se laisse aveugler par les quelques gouttes de sang royal qui coulent dans ses veines, mais il est loin du compte. Cesare se moque bien des Français ; il veut la couronne.
Le groupe passa par un second point de contrôle.
- Bartolomeo: Des ennemis droit devant !
Ezio se débarrassa des gardes, ouvrant le passage aux mercenaires.
- Bartolomeo: Ton plan est brillant, même si je n'aime pas recourir à de tels stratagèmes. Je préfère le combat ; c'est toujours le meilleur qui l'emporte.
- Ezio: Ce n'est pas un style qu'affectionnent Cesare et le baron.
- Bartolomeo: « Un jour viendra où les hommes respecteront enfin leurs semblables. Alors, nous verrons vraiment ce que l'humanité est capable d'accomplir. »
- Ezio: J'ai déjà entendu ça...
- Bartolomeo: C'est ton père qui l'a écrit autrefois.
Le groupe traversa un troisième point de contrôle.
- Ezio: Je vais m'occuper d'eux.
Ezio tua les gardes, permettant aux mercenaires de poursuivre leur chemin.
- Bartolomeo: Arrête-les avant qu'ils nous attaquent.
Ezio et les mercenaires arrivèrent enfin aux portes de la caserne.
- Portier: Que venez-vous faire ici ?
- Ezio: Mes soldats conduisent le capitaine italien à Son Excellence le Baron. Il veut se rendre.
- Portier: Et qui me dit que vous êtes des nôtres ?!
- Ezio: Vive la France !
- Portier: C'est bon, ouvrez !
Bartolomeo murmura discrètement à l'oreille d'Ezio.
- Bartolomeo: Quel acteur...
- Ezio: J'ai connu quelques actrices à Florence.
Ezio fit rentrer les mercenaires dans la caserne. Sur le chemin, des soldats français insultèrent Bartolomeo.
- Garde 1: Chien d'Italien.
- Garde 2: Regardez-le, il a honte de ce qu'il est !
Enfin, les mercenaires arrivèrent au devant d'Octavien.
- Octavien: Général d'Alviano. Vous avez entendu la voix de la raison.
- Bartolomeo: Ça suffit, sale lâche ! Relâche ma femme !
- Octavien: Une telle arrogance est tout à fait déplacée venant d'un homme de si petite naissance.
- Bartolomeo: Ma famille est plus noble que la tienne. Ton nom, lui, ne représente rien.
- Octavien: Comment osez-vous ?
- Bartolomeo: Tu penses qu'être à la tête d'une armée te confère la noblesse ? La noblesse, on l'acquiert en luttant aux côtés de ses hommes. Pas en enlevant une femme pour fausser l'issue d'un combat. Montre que t'en as dans le pantalon, et relâche ma femme !
- Octavien: Ces sauvages sont irrécupérables.
Alors qu'Octavien menaçait d'exécuter Pantasilea Baglioni, Ezio fit signe aux mercenaires d'attaquer en tirant au pistolet caché dans les airs. Surpris, Octavien se replia en compagnie de la prisonnière.
Conséquences
Ezio et les mercenaires infiltrèrent le camp français et passèrent à l'attaque, mais le Baron de Valois se retira dans ses quartiers avec Pantasilea.