Chasse au trésor est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique de Basim Ibn Ishaq.
Description[]
Une femme a besoin d'aide pour accéder à son héritage.
Dialogues[]
À Oukbara, Basim vit une femme qui s'énervait sur la porte d'une maison en ruines dont les fondations avaient été englouties par le fleuve.
- Tiferet : Ouvre-toi ! Je veux ce qui m'appartient ! Ah, cette porte va me rendre folle ! Ouvre-toi, maudite porte !
Il s'approcha de la femme qui se tourna vers lui.
- Tiferet : Qu'est-ce que tu regardes comme ça ?
- Basim : Tu as l'air de quelqu'un qui a besoin d'aide.
- Tiferet : Je l'accepte si elle se présente.
- Basim : Alors, je t'offre la mienne. Que t'arrive-t-il ?

Basim parlant à Tiferet
Elle se retourna vers la bâtisse décrépite.
- Tiferet : Cette maison, elle appartenait à ma mère, aujourd'hui morte. Elle recèle un objet de grande valeur. On peut même parler de trésor.
- Basim : Un trésor ?
La femme se tourna de nouveau vers Basim.
- Tiferet : Ha ! Le voilà tout ouïe, maintenant !
- Basim : Les trésors m'intriguent, mais n'aveuglent pas mon cœur. Ni mes oreilles.
- Tiferet : Quoi qu'il en soit, si je ne trouve pas le moyen d'entrer, ce trésor sera à jamais perdu.
- Basim : Enfant, j'étais doué pour la chasse au trésor. Nous allons voir, aujourd'hui, si je n'ai pas perdu la main.
- Tiferet : Contre paiement j'imagine ? D'accord. Mais une fois le travail fait, alors.
- Basim : Où se trouve ce fameux trésor, exactement ?
- Tiferet : Ma mère, potière de son état, l'a caché dans une amphore, une amphore en poterie lustrée bleue.
- Basim : De la poterie lustrée ? Un trésor en soi...
- Tiferet : À sa mort, accablée par le chagrin, je n'ai pas eu le courage de venir chercher ce qui me revenait dans sa maison. Et aujourd'hui, je trouve la maison dans cet état... Je t'en prie, apporte-moi mon bien.
- Basim : Aie confiance, tu auras ton héritage.
Plongeant dans le fleuve, Basim put pénétrer la maison en passant par des couloirs submergés.
- Basim : Espérons que l'humidité n'aura pas abîmé ce trésor.
Il déverrouilla la porte, la femme l'attendait.
- Tiferet : Alors, as-tu trouvé cette amphore ?
Il repartit chercher l'amphore qu'il trouva dans un coin de la maison.
- Basim : Voilà l'amphore... Je ne vois pas d'autre moyen de l'ouvrir que de la casser. Ce qu'elle renferme doit être très précieux.
Basim sortit avec l'amphore et l'apporta à la femme. Elle prit l'amphore et la jeta contre un mur, en se brisant son contenu tomba au sol, un morceau de minerai de cuivre.
- Basim : Drôle de respect pour le travail de ta mère...
Elle se pencha et ramassa son héritage.
- Basim : Et depuis quand un morceau de cuivre est-il considéré comme un grand trésor ?
- Tiferet : Ton ignorance en dit long. Ce cuivre, il va me permettre de fabriquer une centaine de vases lustrés. Tiens, voilà pour toi. Et un peu plus pour te remercier de ne pas t'être enfui avec mon trésor.
Basim brisa l'amphore dévoilant son contenu.
- Basim : Ça alors ! Un morceau de cuivre ?
Il alla retrouver la femme pour lui rapporter son héritage.
- Basim : Le voilà, ton trésor.
- Tiferet : Ah, est-ce par cupidité ou maladresse que tu as brisé l'amphore ?
- Basim : Si je ne l'avais pas cassée, tu l'aurais fait. Il n'y avait pas d'autre moyen de l'ouvrir. D'ailleurs, depuis quand un vulgaire morceau de cuivre est-il considéré comme un grand trésor ?
- Tiferet : Ton ignorance en dit long. Ce cuivre, il va me permettre de fabriquer une centaine de vases lustrés. Tiens, voilà pour toi. Tu aurais touché un peu plus si tu n'avais pas cassé l'amphore. J'y étais attachée, comme on dit...
Conséquences[]
Basim aida la femme à récupérer son héritage.
Notes[]
- S'introduire dans la maison et en déverrouiller la porte avant de parler à Tiferet n'influera pas sur son dialogue.
- De même détruire l'amphore en avance ne changera pas son discours. Le cuivre ne pourra cependant pas être récupéré avant de lui parler.