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Bayek naquit en 85 ou 86 avant notre ère à [[Siwa]], en Égypte. Il tiendra son nom de son lieu de naissance. Fils de [[Sabu]] et [[Ahmose]], il grandit en s'affirmant peu à peu comme un véritable héros local. Comme son père, il devint alors membre d'un ordre se voulant protecteur de la population égyptienne et des pharaons, les Medjaÿ. Il se plaça alors comme le protecteur du pharaon [[Bérénice IV]].
 
Bayek naquit en 85 ou 86 avant notre ère à [[Siwa]], en Égypte. Il tiendra son nom de son lieu de naissance. Fils de [[Sabu]] et [[Ahmose]], il grandit en s'affirmant peu à peu comme un véritable héros local. Comme son père, il devint alors membre d'un ordre se voulant protecteur de la population égyptienne et des pharaons, les Medjaÿ. Il se plaça alors comme le protecteur du pharaon [[Bérénice IV]].

Version du 23 mai 2020 à 14:25

AssassinsOriginsicon1
« Je ne suis plus un père. Je ne suis plus un mari. Ni même un Medjaÿ. Je suis... Celui qu'on ne voit pas. [...] Nous aiguisons nos lames, pour attiser l'espoir de ce monde en ruine. »
Bayek de Siwa à sa femme Aya, (48 av. J.-C.)[src]

Bayek de Siwa (85 ou 86 av. J.-C. – NC) fut le dernier Medjaÿ d'Égypte. Avec sa femme Aya, il est le fondateur de Ceux qu'on ne voit pas, future Confrérie des Assassins.

Le couple égyptien joua un rôle clé dans le conflit ayant opposé Cléopâtre à son frère Ptolémée XIII, et dans l'éradication de l'influence de l'Ordre des Anciens dans la région.

Prenant respectivement les noms d'Amun et Amunet, Bayek et Aya posèrent les pierres de Ceux qu'on ne voit pas en établissant un bureau à Memphis puis à Rome où l'Ordre des Anciens s'était étendu.

Biographie

Premières années

Bayek naquit en 85 ou 86 avant notre ère à Siwa, en Égypte. Il tiendra son nom de son lieu de naissance. Fils de Sabu et Ahmose, il grandit en s'affirmant peu à peu comme un véritable héros local. Comme son père, il devint alors membre d'un ordre se voulant protecteur de la population égyptienne et des pharaons, les Medjaÿ. Il se plaça alors comme le protecteur du pharaon Bérénice IV.

Malheureusement, son ordre se délita à cause de l'avènement de la dynastie lagide. Même si les habitants de Siwa le considéraient comme un héros, le reste du monde — et surtout ceux détenant le pouvoir — méprisèrent alors les Medjaÿ.

Durant sa jeunesse, il rencontra une femme originaire d'Alexandrie, Aya. Elle aussi entraînée selon la tradition Medjaÿ, Bayek et Aya donnèrent naissance à un fils : Khemou.

Il se lie également avec un habitant de Siwa, Hepzefa, qui devient son meilleur ami.

Capture et quête de vengeance

La crypte de Siwa

La montée en puissance des Grecs en Égypte conduisit un ordre secret et machiavélique à s'intéresser aux savoirs égyptiens : l'Ordre des Anciens. Ceux-ci désiraient découvrir les reliques des anciens dieux. L'Ordre, muni d'une étrange orbe, pensait pouvoir découvrir davantage de ces reliques à Siwa, dans une crypte.

Les têtes pensantes de l'Ordre, appelées « Porteurs de masques », capturèrent alors Bayek en 49 avant notre ère. Ils estimaient en effet qu'un Medjaÿ devait avoir connaissance des secrets des anciens, et qu'il devait savoir comment ouvrir la porte de la crypte. Mais le Medjaÿ n'avait jamais connu de tel secret, et les Porteurs de masques menacèrent Khemou, son fils. Celui-ci aida son père à se défaire de ses liens, mais la situation dégénéra et l'un des Porteurs de masques contraint Bayek à accidentellement tuer son propre fils

Assassinat du faux oracle

Fous de rage, Bayek et Aya jurèrent de se venger. Alors que leur fils leur avait été pris et que la population égyptienne souffrait, ils se donnèrent pour mission de retrouver les Porteurs de masques et de les éliminer.

Ils passèrent une année entière à étudier l'Ordre, pour déterminer quels individus pouvaient en faire partie. Bayek et Aya se séparèrent brièvement pour traquer cinq cibles. C'est ainsi que, en 48 avant notre ère, le Medjaÿ traqua et tua sauvagement Rudjek, un agent de l'Ordre surnommé « le Héron ».

Bayek entreprit alors d'assassiner celui qui régnait en maître sur Siwa : Medounamoun, surnommé « l'Ibis ». Celui-ci torturait les habitants de la région afin d'ouvrir la crypte. Bayek le trouva et mit fin à ses jours.

Retrouvant son meilleur ami, Hepzefa, Bayek comprit qu'il se devait de quitter Siwa et de retrouver sa femme pour réduire l'Ordre en poussière.


Rencontre avec Cléopâtre et assassinat du Serpent

Suite à cela, le Medjaÿ prit la route d'Alexandrie pour retrouver sa femme. Aya lui expliqua qu'elle était parvenue à éliminer deux Porteurs de masques : Actéon, alias "le Vautour" et Ktesos dit "le Bélier". Ils apprennent alors que le meurtrier de leur fils se fait surnommer « le Serpent ».

Bayek et Aya enquêtèrent sur son identité. La seconde révéla alors qu'elle travaillait pour le compte de Cléopâtre, sœur du pharaon de l'époque, Ptolémée XIII. Celle-ci, désireuse de prendre le trône de son jeune frère qu'elle savait manipulé par l'Ordre des Anciens, demanda à Bayek et Aya d’œuvrer pour sa cause en échange d'informations sur l'identité du Serpent. Elle expliqua même que c'étaient les Porteurs de masques eux-mêmes qui l'avaient privée du trône d’Égypte pour y placer sa marionnette de frère. Ils aidèrent ainsi Cléopâtre à gagner en influence, notamment avec l'assistance d'Apollodorus. Cependant, Bayek confia à Aya ne pas faire confiance à Cléopâtre.

Finalement, Bayek et Aya découvrirent que le Serpent n'était autre que le scribe royal, Eudoros. Ils mirent au point une nouvelle arme, la Lame secrète. Ils le traquèrent dans Alexandrie, et Bayek finit par l'assassiner. Avant de rendre son dernier souffle, Eudoros expliqua toutefois qu'il n'était qu'un pion parmi l'Ordre des Anciens, et que son véritable surnom était « l'Hippopotame ». En réalité, le surnom de « Serpent » était un nom de code utilisé par l'Ordre lui-même pour se désigner sans éveiller les soupçons dans ses messages.

Bayek et Aya comprirent que l'Ordre dépassait toutes leurs craintes, et que leur influence s'étendait bien au-delà de leurs régions d'origine.

La traque des autres Porteurs de masques

Aya fut missionnée par Cléopâtre de lui trouver des alliés pour reprendre son trône. C'est ainsi qu'elle devint l'alliée de Pompée le Grand.

En attendant, Bayek se chargea de traquer cinq nouvelles cibles dans différentes contrées.

Le Scarabée

Il élimina d'abord Taharqa, dit « le Scarabée » ; qui s'était fait passer pour l'un de ses informateurs à Memphis avant de le trahir et de le laisser pour mort dans le désert. Bayek s'en sortit in extremis grâce à sa monture et à Senu, son aigle. Taharqa perdit la vie de sa lame, mais le fils de celui-ci en voulut terriblement à Bayek. Le Medjaÿ sembla montrer quelques remords à l'idée d'avoir ôté un fils de son père...

La Hyène

Ensuite, il vint après Khaliset (« la Hyène »). Celle-ci, qui avait perdu son enfant, avait localisé une relique de la Première civilisation dans l'une des Pyramides de Khéops. Elle tenta d'utiliser la relique pour ramener son enfant à la vie, mais Bayek interrompit le rituel sans le savoir. Elle fuit brièvement le tombeau et Bayek reçut un message de Ceux qui étaient là avant. Il est possible qu'il eut été le premier Assassin de l'Histoire à avoir directement reçu un message des Anciens. Bayek et Khaliset combattirent alors dans une tempête de sable au milieu des pyramides, et la seconde perdit la vie de la main du premier.

Le Lézard

Après cela, Bayek s'attela au cas d'Hetepi, « le Lézard ». Ce dernier avait empoisonné le taureau sacré de Memphis, et maintenait les gens dans la peur avec un dangereux poison. En enquêtant sur son identité, Bayek rencontra un individu, le Clairvoyant, et eut une vision de lui-même combattant un dieu-serpent, et de son fils. Après découvert l'identité du Lézard, Bayek comprit qu'il s'agissait en fait d'un proche du grand prêtre de Memphis. Seulement, les prêtres de la ville étaient plusieurs à porter le même attirail dans le grand temple ; seules les couleurs différaient. La toux exécrable d'Hetepi et la couleur de son vêtement le trahirent, et Bayek l'assassina.

Le Crocodile

A la suite de cela, Bayek se rendit dans le Fayoum pour démasquer « le Crocodile », une affreuse figure qui terrorisait sans relâche les habitants de la région. Bayek fut amené à combattre dans l'arène de Kerkesoucha. Il retrouva alors une vieille connaissance de Siwa, Kensa. Ils combattirent dans l'arène jusqu'à éliminer un duo d'invincibles guerriers, les "Frères gaulois", Viridovix et Diovicos. Bayek savait en effet que leur mécène était le Crocodile. À l'issue du combat, il apprit de la bouche des vaincus qu'il s'agissait de Berenike. Bayek la traqua et comprit avec douleur que Kensa était son garde du corps. Il élimina le Crocodile et retourna voir Cléopâtre.

Le Scorpion et le Chacal

Bayek reçut alors une lettre d'Aya, qui lui déclara que deux autres membres de l'Ordre, dont l'un d'eux était vraisemblablement le meurtrier de Khemou, avaient été localisés.

Ils comprirent alors que celui qui se faisait appeler « le Chacal » était un Romain, Lucius Septimius. Ils n'arrivèrent cependant pas l'empêcher de tuer Pompée, leur allié. Sans trop avoir le choix, Bayek et Aya participèrent à un stratagème pour faire rencontrer Cléopâtre et Jules César, en visite à Alexandrie. Celui-ci, alors en conversation avec Ptolémée XIII, fut surpris de voir la sœur du pharaon en ces lieux et apprécia son audace. Ils discutèrent alors et décidèrent de s'allier pour mettre à terre l'Ordre des Anciens et renforcer leurs deux civilisations. Cléopâtre remporta alors la Guerre civile d'Alexandrie et devint pharaon d’Égypte.

César et Bayek combattirent les hommes de Septimius et de Pothinus, « le Scorpion ». Ce dernier fut tué par Bayek alors qu'il tentait de le tuer à dos d'éléphant. Celui-ci révéla au Medjaÿ que Septimius avait tué son fils, et non Eudoros. Enragé, Bayek vint à bout de Septimius mais César l'interrompit au dernier moment, estimant qu'en tant que Romain, le Chacal devait avoir droit à faire face à la justice. Désabusé, Bayek fut forcé de laisser le Chacal s'en aller avec César. Par la même occasion, Aya traqua Ptolémée XIII, qui tenta de fuir par le Nil et fut finalement dévoré par les crocodiles.

Bayek et Aya réalisèrent alors que Cléopâtre et César étaient, eux aussi, manipulés par l'Ordre des Anciens. Septimius et César prirent la fuite vers Rome tandis que Cléopâtre rompit tout lien avec Bayek et Aya. Ceux-ci confrontèrent Apollodorus, qui les avaient mis en relation avec la reine à l'origine, et se quittèrent en mauvais termes.

Chasse au « Lion »

Fondation d'une confrérie

Bayek et Aya décidèrent alors de réunir les alliés qu'il leur restait, et de fonder une confrérie. C'est ainsi que naquit la première confrérie des Assassins de l'Histoire : la confrérie égyptienne. Ils la nommèrent « Ceux que l'on ne voit pas ». Ils la dotèrent d'un credo, à respecter en toutes circonstances. Bien que Bayek et Aya ne furent pas les premiers Assassins de l'Histoire, ils furent les premiers à fonder la Confrérie en elle-même.

Le tombeau d'Alexandre le Grand

Bayek et Aya remarquèrent rapidement que le tombeau d'Alexandre le Grand suscitait beaucoup d'agitation au sein de l'Ordre. Ils l'infiltrèrent et tombèrent sur un Apollodorus mourant, qui leur révéla que le bras droit de Jules César était le maître suprême de l'Ordre des Anciens : Flavius Metellus, dit « le Lion ».

Celui-ci avait en réalité subtilisé une relique de la Première civilisation, un bâton qui reposait avec Alexandre le Grand. Apollodorus conjura au couple d'Assassins de mettre fin à cette folie, avant de leur confier que c'était définitivement Flavius qui avait forcé Bayek à tué Khemou un an plus tôt. Il mourut alors dans leurs bras.

Retour à Siwa et confrontation finale

Bayek et Aya comprirent alors que Flavius avait pour but de retourner là où tout avait commencé, à Siwa, et d'ouvrir la fameuse crypte.

Grâce à l'orbe et au bâton, Flavius parvint à manipuler les esprits des habitants de Siwa. Bayek et Aya furent sidérés de voir le pouvoir incommensurable que refermaient ces reliques. Leur surprise ne fut que davantage mise à mal lorsqu'ils virent Flavius avait trouvé le moyen d'ouvrir la porte de la crypte. En effet, la réunion du bâton et de l'orbe en avait permis l'ouverture, et les deux Assassins arrivèrent trop tard pour arrêter Flavius.

Bayek et Aya découvrirent alors les secrets de la crypte de Siwa ; une carte léguée par Ceux qui étaient là avant montrant l'emplacement de toutes les reliques de cette civilisation disparue à travers le monde entier ! Ils comprirent qu'avec un tel pouvoir, l'Ordre des Anciens.

Hepzefa, le meilleur ami de Bayek, avait tenté de protéger les siens lors de l'arrivée de Flavius à Siwa, mais avait été lâchement exécuté. Bayek, effondré par sa mort, le fait entrer dignement dans le monde des morts par l'embaumement et hérite de son épée ; une terrible épée enflammée.

Bayek prit la route pour Cyrène et confronta Flavius. Le véritable meurtrier de son fils était enfin face à lui. Mais celui-ci, en possession de l'orbe, utilisa son pouvoir pour malmener Bayek. Malgré tout, et au terme d'efforts incroyables, le dernier Medjaÿ parvint à venger son fils en tuant Flavius.

A son retour, Bayek apprit la nouvelle à Aya. Leur quête de vengeance enfin consumée, seuls César et Septimius restaient en travers de leur chemin. Aya expliqua alors qu'elle devait se rendre à Rome pour en finir avec eux, et que Bayek ne pouvait pas être du voyage. Celui-ci, dépité, comprit que sa femme et lui devaient se quitter. Depuis le jour où Khemou avait perdu la vie, quelque chose s'était brisé en eux ; et même si leur amour pour leur fils les avait guidés vers la vengeance, celle-ci n'avait pas pu les empêcher de se détourner de l'amour qu'ils se portaient l'un envers l'autre.

Bayek prit alors son insigne de Medjaÿ et le lança sur le sable chaud, expliquant qu'il n'était plus un père, ni un mari, ni même un Medjaÿ ; seulement « Celui que l'on ne voit pas ». C'est à cet instant que Bayek et Aya scellèrent le destin des Assassins, en se voyant une toute dernière fois. Après le départ de Bayek, Aya ramassa l'insigne de Medjaÿ de ce dernier dans le sable et découvrit la forme d'un signe ; celui des Assassins.

La fin de l'Ordre des Anciens et le début d'un ordre nouveau

Aya fit alors voyage vers Rome. Au cours du voyage, elle sembla éprouver une grande difficulté à ne plus vivre aux côtés de Bayek. Elle infiltra le palais de Jules César et y confronta Lucius Septimius, qui aurait dû mourir bien plus tôt. Celui-ci se moqua ouvertement d'Aya, de Bayek et de Khemou ; et périt de la main d'une mère enragée. Aya menaça alors Cléopâtre d'être une bonne reine, sans quoi elle reviendrait pour la tuer.

Aya trouva par la suite César et fut la première à lui enfoncer sa lame dans le corps, les autres personnes autour se jetant sur lui pour l'achever. Aya créa par la suite, avec Marcus Junius Brutus et Gaius Cassius Longinus, le Liberalis Circulum. Elle écrivit ensuite une lettre à Bayek, lui contant sa réussite, et lui confia sa nouvelle identité : Amunet.

Bayek, lui, concrétisa la création des Assassins égyptiens avec la création d'un bureau à Memphis. Il recruta plusieurs personnes à sa cause et continua de mettre fin aux injustices subies en Égypte.

Libération du Sinaï

La carrière

Arsinoé

Rufio

Note

  • Le nom "Bayek" a un lien avec le hiéroglyphe du faucon ou vautour.
  • Il possède une cicatrice qui lui barre les lèvres du côté droit de sa bouche comme celle d'Altaïr, Ezio Auditore da Firenze, Aveline de Grandpré et Desmond Miles.
  • Au niveau des tenues, Bayek est le seul assassin, où il est possible de lui mettre ou non la capuche.

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