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« Je ne suis plus un père. Je ne suis plus un mari. Ni même un Medjaÿ. Je suis... Celui qu'on ne voit pas. [...] Nous aiguisons nos lames, pour attiser l'espoir de ce monde en ruine. »
Bayek de Siwa à sa femme Aya, 48 av. J.-C.[src]

Bayek de Siwa (85 ou 86 av. J.-C. – NC) fut le dernier Medjaÿ d'Égypte et fondateur avec sa femme Aya de Ceux qu'on ne voit pas, future Confrérie des Assassins.

Grandissant dans le village reculé de Siwa, Bayek hérita du titre de medjaÿ de son père, et consacra sa vie à protéger et se préoccuper du bien-être de son peuple.

Avec sa femme Aya, le couple égyptien joua un rôle clé dans le conflit ayant opposé Cléopâtre à son frère Ptolémée XIII, et dans l'éradication de l'influence de l'Ordre des Anciens en Égypte. Prenant respectivement les noms d'Amun et Amunet, Bayek et Aya posèrent les pierres de Ceux qu'on ne voit pas en établissant un bureau à Memphis puis à Rome où l'Ordre des Anciens s'était étendu. À eux deux, ils recrutèrent plusieurs membres et permirent à la Confrérie grandissante de combattre l'oppression et les atrocités perpétrées par l'Ordre, en instaurant un crédo basé sur la protection des innocents.

Biographie[]

Jeunesse[]

ACO Siwa

Oasis de Siwa

Bayek naquit en 85 ou 86 avant notre ère à Siwa, en Égypte, lieu qui lui donna son nom. Fils de Sabu et Ahmose, il grandit en s'affirmant peu à peu comme un véritable héros local et se lia d'amitié avec Hepzefa, un autre habitant du village, avec Kensa une nubienne qui lui apprit la chasse, avec Menehet, un prêtre et avec Sennefer.[1]

Comme son père, il devint alors membre d'un ordre se voulant protecteur de la population égyptienne et des pharaons, les Medjaÿ. Il se plaça alors comme le protecteur du pharaon Bérénice IV. Malheureusement, son ordre se délita à cause de l'avènement de la dynastie lagide. Même si les habitants de Siwa le considéraient comme un héros, le reste du monde — et surtout ceux détenant le pouvoir — méprisèrent alors les Medjaÿ.[1]

Durant sa jeunesse, Bayek rencontra une femme originaire d'Alexandrie, Aya. Toutefois, le père de Bayek n'approuvait pas leur relation car il savait que le rêve d'Aya était de retourner à Alexandrie et craignait que ses origines grecques corrompe ses enseignements.[1]

En 70 avant l'ère commune, Sabu partit de Siwa après avoir reçu un message d'un étranger, sans donner d'explications autre que son départ rendrait le village bien plus sûr sans lui. Bayek décida néanmoins de le suivre, accompagné de plusieurs amis et d'Aya, qui l'aidèrent à retrouver la trace de son père. Ils apprirent qu'un tueur, Bion, avait été chargé d'éliminer les derniers Medjaÿ. Sabu décida alors de poursuivre plus profondément l'enseignement des Medjaÿ à Bayek, et celui-ci en fit autant pour Aya, sept années durant.[1] Bayek et Aya donnèrent par la suite naissance à un fils : Khemou. Lorsque Bayek devint père, il forma son fils à devenir Medjaÿ, lui enseignant la tradition de l'ancienne Égypte à travers les constellations des étoiles.[2]

Bayek domestiqua un aigle de Bonelli, Senu avec qui il pouvait partager une relation symbiotique, Bayek voyant à travers les yeux de Senu.[2]

Capture et quête de vengeance[]

La crypte de Siwa[]

La montée en puissance des Grecs en Égypte conduisit un ordre secret et machiavélique à s'intéresser aux savoirs égyptiens : l'Ordre des Anciens. Ceux-ci désiraient découvrir les reliques des anciens dieux. L'Ordre, muni d'une étrange orbe, pensait pouvoir découvrir davantage de ces reliques à Siwa, dans une crypte.

ACO-Bayek-contre-les-anciens

Bayek combattant les anciens

Les têtes pensantes de l'Ordre, appelées « Porteurs de masques », capturèrent alors Bayek en 49 avant notre ère. Ils estimaient en effet qu'un Medjaÿ devait avoir connaissance des secrets des anciens, et qu'il devait savoir comment ouvrir la porte de la crypte. Mais le Medjaÿ n'avait jamais connu de tel secret, et les Porteurs de masques menacèrent Khemou, son fils. Celui-ci aida son père à se défaire de ses liens, mais la situation dégénéra et l'un des Porteurs de masques contraint Bayek à accidentellement tuer son propre fils

Assassinat du faux oracle[]

Fous de rage, Bayek et Aya jurèrent de se venger. Alors que leur fils leur avait été pris et que la population égyptienne souffrait, ils se donnèrent pour mission de retrouver les Porteurs de masques et de les éliminer.

ACO Bayek Aya

Aya et Bayek interrogeant des prêtresses

Ils passèrent une année entière à étudier l'Ordre, pour déterminer quels individus pouvaient en faire partie. Bayek et Aya se séparèrent brièvement pour traquer cinq cibles. C'est ainsi que, en 48 avant notre ère, le Medjaÿ traqua et tua sauvagement Rudjek, un agent de l'Ordre surnommé « le Héron ».

Bayek entreprit alors d'assassiner celui qui régnait en maître sur Siwa : Medounamoun, surnommé « l'Ibis ». Celui-ci torturait les habitants de la région afin d'ouvrir la crypte. Bayek le trouva et mit fin à ses jours.

Retrouvant son meilleur ami, Hepzefa, Bayek comprit qu'il se devait de quitter Siwa et de retrouver sa femme pour réduire l'Ordre en poussière.

Rencontre avec Cléopâtre et assassinat du Serpent[]

Suite à cela, le Medjaÿ prit la route d'Alexandrie pour retrouver sa femme. Aya lui expliqua qu'elle était parvenue à éliminer deux Porteurs de masques : Actéon, alias "le Vautour" et Ktesos dit "le Bélier". Ils apprirent alors que le meurtrier de leur fils se faisait surnommer « le Serpent ».

ACO-Bayek-rencontrant-Cleopatre

Bayek rencontrant Cléopâtre

Bayek et Aya enquêtèrent sur son identité. La seconde révéla alors qu'elle travaillait pour le compte de Cléopâtre, sœur du pharaon de l'époque, Ptolémée XIII. Celle-ci, désireuse de prendre le trône de son jeune frère qu'elle savait manipulé par l'Ordre des Anciens, demanda à Bayek et Aya d’œuvrer pour sa cause en échange d'informations sur l'identité du Serpent. Elle expliqua même que c'étaient les Porteurs de masques eux-mêmes qui l'avaient privée du trône d’Égypte pour y placer sa marionnette de frère. Ils aidèrent ainsi Cléopâtre à gagner en influence, notamment avec l'assistance d'Apollodorus. Cependant, Bayek confia à Aya ne pas faire confiance à Cléopâtre.

Finalement, Bayek et Aya découvrirent que le Serpent n'était autre que le scribe royal, Eudoros. Grâce à une Lame secrète donnée par Aya, ils le traquèrent dans Alexandrie, et Bayek finit par l'assassiner. Avant de rendre son dernier souffle, Eudoros expliqua toutefois qu'il n'était qu'un pion parmi l'Ordre des Anciens, et que son véritable surnom était « l'Hippopotame ». En réalité, le surnom de « Serpent » était un nom de code utilisé par l'Ordre lui-même pour se désigner sans éveiller les soupçons dans ses messages.

Bayek et Aya comprirent que l'Ordre dépassait toutes leurs craintes, et que leur influence s'étendait bien au-delà de leurs régions d'origine.

ACO César Cléopâtre Aya

Aya devant Cléopâtre et César

Aya fut missionnée par Cléopâtre de lui trouver des alliés pour reprendre son trône. C'est ainsi qu'elle devint l'alliée de Pompée le Grand. En attendant, Bayek se chargea de traquer cinq nouvelles cibles dans différentes contrées, tous faisant partie des Porteurs de masques.

Traque du Scarabée[]

« Taharqa : Je ne suis qu'un membre de l'Ordre des Anciens. Cette victoire ne t'offrira pas la paix !
Bayek : Ce n'est pas la paix que je cherche. Ce n'est pas pour mon âme que je mène ce combat.
 »
– Bayek et Taharqa avant la mort de celui-ci, 48 AEC.[src]
ACO La pince du Scarabée 1

Taharqa

Il élimina d'abord Taharqa, dit « le Scarabée » qui s'était fait passer pour l'un de ses informateurs à Memphis avant de le trahir et de le laisser pour mort dans le désert. Bayek s'en sortit in extremis grâce à sa monture et à Senu, son aigle. Taharqa perdit la vie de sa lame, mais le fils de celui-ci en voulut terriblement à Bayek. Le Medjaÿ sembla montrer quelques remords à l'idée d'avoir ôté un fils de son père.[2]

La Hyène[]

« Puisses-tu retrouver ta fille dans l'autre monde, Khaliset. Puisse le seigneur de la Douât te guider. »
– Bayek après l'assassinat de Khaliset, 48 AEC.[src]
ACO La Hyène 2

Khaliset et ses hyènes menaçant Bayek

Bayek continua sa traque et rejoignit Gizeh pour obtenir plus d'informations sur Khaliset dite « la Hyène ». Celle-ci, qui avait perdu son enfant, avait localisé une relique de la Première Civilisation dans l'une des Pyramides de Gizeh et tenta alors de l'utiliser pour ramener son enfant à la vie, mais Bayek interrompit le rituel sans le savoir. Lorsqu'elle partit du tombeau, Bayek reçut un message de Ceux-qui-étaient-là-avant. Bayek et Khaliset combattirent alors dans une tempête de sable au milieu des pyramides, et la Hyène perdit la vie des mains du medjaÿ.[2]

Le Lézard[]

ACO Le visage du Lézard 3

Le Lézard près de ses momies

Après cela, Bayek s'attela au cas d'Hetepi, « le Lézard ». Ce dernier avait empoisonné le taureau sacré de Memphis, et maintenait les gens dans la peur avec un dangereux poison. En enquêtant sur son identité, Bayek rencontra un individu, le Clairvoyant, et eut une vision de lui-même combattant un dieu-serpent, et de son fils. Après découvert l'identité du Lézard, Bayek comprit qu'il s'agissait en fait d'un proche du grand prêtre de Memphis. Seulement, les prêtres de la ville étaient plusieurs à porter le même attirail dans le grand temple ; seules les couleurs différaient. La toux exécrable d'Hetepi et la couleur de son vêtement le trahirent, et Bayek l'assassina.

Le Crocodile[]

« Je détruirai tout ce en quoi tu crois, Berenike. Et j'éliminerai tous tes semblables. Pour l'instant, tout ce qui compte c'est de venger Shadya. Son nom sera le dernier mot que tu entendras. »
– Bayek au Crocodile, 48 AEC.[src]
ACO Les mâchoires du Crocodile 7

Bayek et le Crocodile

À la suite de cela, Bayek se rendit dans le Fayoum pour démasquer « le Crocodile », une affreuse figure qui terrorisait sans relâche les habitants de la région. Bayek fut amené à combattre dans l'arène de Kerkesoucha. Il retrouva alors une vieille connaissance de Siwa, Kensa. Ils combattirent dans l'arène jusqu'à éliminer un duo d'invincibles guerriers, les "Frères gaulois", Viridovix et Diovicos. Bayek savait en effet que leur mécène était le Crocodile. À l'issue du combat, il apprit de la bouche des vaincus qu'il s'agissait de Berenike. Bayek la traqua et comprit avec douleur que Kensa était son garde du corps. Il élimina le Crocodile et retourna voir Cléopâtre.

Le Scorpion et le Chacal[]

ACO Cléopâtre Discours

Cléopâtre s'adressant à ses sujets

Bayek reçut alors une lettre d'Aya, qui lui déclara que deux autres membres de l'Ordre, dont l'un d'eux était vraisemblablement le meurtrier de Khemou, avaient été localisés.

Ils comprirent alors que celui qui se faisait appeler « le Chacal » était un Romain, Lucius Septimius. Ils n'arrivèrent cependant pas l'empêcher de tuer Pompée, leur allié. Sans trop avoir le choix, Bayek et Aya participèrent à un stratagème pour faire rencontrer Cléopâtre et Jules César, en visite à Alexandrie. Celui-ci, alors en conversation avec Ptolémée XIII, fut surpris de voir la sœur du pharaon en ces lieux et apprécia son audace. Ils discutèrent et décidèrent de s'allier pour mettre à terre l'Ordre des Anciens et renforcer leurs deux civilisations. Cléopâtre remporta alors la Guerre civile d'Alexandrie et devint pharaon d’Égypte.

ACO Bayek César Char

Bayek couvrant César lors de leur fuite

César et Bayek combattirent les hommes de Septimius et de Pothinus, « le Scorpion ». Ce dernier fut tué par Bayek alors qu'il tentait de le tuer à dos d'éléphant. Celui-ci révéla au Medjaÿ que Septimius avait tué son fils, et non Eudoros. Enragé, Bayek vint à bout de Septimius mais César l'interrompit au dernier moment, estimant qu'en tant que Romain, le Chacal devait avoir droit à faire face à la justice. Désabusé, Bayek fut forcé de laisser le Chacal s'en aller avec César. Par la même occasion, Aya traqua Ptolémée XIII, qui tenta de fuir par le Nil et fut finalement dévoré par les crocodiles.

Bayek et Aya réalisèrent alors que Cléopâtre et César étaient, eux aussi, manipulés par l'Ordre des Anciens. Septimius et César prirent la fuite vers Rome tandis que Cléopâtre rompit tout lien avec Bayek et Aya. Ceux-ci confrontèrent Apollodorus, qui les avaient mis en relation avec la reine au début, et se quittèrent en mauvais termes.

Fondation d'une confrérie[]

Bayek et Aya décidèrent alors de réunir les alliés qu'il leur restait, et de fonder une confrérie. C'est ainsi que naquit la première confrérie des Assassins de l'Histoire : la confrérie égyptienne. Ils la nommèrent « Ceux que l'on ne voit pas ». Ils la dotèrent d'un credo, à respecter en toutes circonstances. Bien que Bayek et Aya ne furent pas les premiers Assassins de l'Histoire, ils furent les premiers à fonder la Confrérie en elle-même.

Chasse au « Lion »[]

ACO Tombeau d'Alexandre le Grand 04

Tombeau d'Alexandre le Grand

Bayek et Aya remarquèrent rapidement que le tombeau d'Alexandre le Grand suscitait beaucoup d'agitation au sein de l'Ordre. Ils l'infiltrèrent et tombèrent sur un Apollodorus mourant, qui leur révéla que le bras droit de Jules César était le maître suprême de l'Ordre des Anciens : Flavius Metellus, dit « le Lion ».

Celui-ci avait en réalité subtilisé une relique de la Première civilisation, un bâton qui reposait avec Alexandre le Grand. Apollodorus conjura au couple d'Assassins de mettre fin à cette folie, avant de leur confier que c'était définitivement Flavius qui avait forcé Bayek à tuer Khemou un an plus tôt. Il mourut alors dans leurs bras.

ACO combat Bayek Flavius

Affrontement entre Bayek et Flavius

Bayek et Aya comprirent alors que Flavius avait pour but de retourner là où tout avait commencé, à Siwa, et d'ouvrir la fameuse crypte.

Grâce à l'orbe et au bâton, Flavius parvint à manipuler les esprits des habitants de Siwa. Bayek et Aya furent sidérés de voir le pouvoir incommensurable que refermaient ces reliques. Leur surprise ne fut que davantage mise à mal lorsqu'ils virent que Flavius avait trouvé le moyen d'ouvrir la porte de la crypte. En effet, la réunion du bâton et de l'orbe en avait permis l'ouverture, et les deux Assassins arrivèrent trop tard pour l'arrêter.

Retour à Siwa[]

Bayek et Aya découvrirent alors les secrets de la crypte de Siwa ; une carte léguée par Ceux qui étaient là avant montrant l'emplacement de toutes les reliques de cette civilisation disparue à travers le monde entier ! Ils comprirent qu'avec un tel pouvoir, l'Ordre des Anciens était bien trop puissant.

Hepzefa, le meilleur ami de Bayek, avait tenté de protéger les siens lors de l'arrivée de Flavius à Siwa, mais avait été lâchement exécuté. Bayek, effondré par sa mort, le fit entrer dignement dans le monde des morts par l'embaumement et hérita de son épée ; une terrible épée enflammée.

Bayek prit la route pour Cyrène et confronta Flavius. Le véritable meurtrier de son fils était enfin face à lui. Mais celui-ci, en possession de l'orbe, utilisa son pouvoir pour malmener Bayek. Malgré tout, et au terme d'efforts incroyables, le dernier Medjaÿ parvint à venger son fils en tuant Flavius.

Fin de l'Ordre des Anciens[]

Vers deux chemins séparés[]

A son retour, Bayek apprit la nouvelle à Aya. Leur quête de vengeance enfin consumée, seuls César et Septimius restaient en travers de leur chemin. Aya expliqua alors qu'elle devait se rendre à Rome pour en finir avec eux, et que Bayek ne pouvait pas être du voyage. Celui-ci, dépité, comprit que sa femme et lui devaient se quitter. Depuis le jour où Khemou avait perdu la vie, quelque chose s'était brisé en eux ; et même si leur amour pour leur fils les avait guidés vers la vengeance, celle-ci n'avait pas pu les empêcher de se détourner de l'amour qu'ils se portaient l'un envers l'autre.

Bayek prit alors son insigne de Medjaÿ et le lança sur le sable chaud, expliquant qu'il n'était plus un père, ni un mari, ni même un Medjaÿ ; seulement « Celui que l'on ne voit pas ». C'est à cet instant que Bayek et Aya scellèrent le destin des Assassins, en se voyant une toute dernière fois. Après le départ de Bayek, Aya ramassa l'insigne de Medjaÿ de ce dernier dans le sable et découvrit la forme d'un signe ; celui des Assassins.

Mission d'Aya[]

Aya fit alors voyage vers Rome. Au cours du voyage, elle sembla éprouver une grande difficulté à ne plus vivre aux côtés de Bayek. Elle infiltra le palais de Jules César et y confronta Lucius Septimius, qui aurait dû mourir bien plus tôt. Celui-ci se moqua ouvertement d'Aya, de Bayek et de Khemou ; et périt de la main d'une mère enragée. Aya menaça alors Cléopâtre d'être une bonne reine, sans quoi elle reviendrait pour la tuer.

ACO Aya with Brutus and Cassius

Amunet aux côtés de Cassius et Brutus

Aya trouva par la suite César et fut la première à lui enfoncer sa lame dans le corps, les autres personnes autour se jetant sur lui pour l'achever. Aya créa par la suite, avec Marcus Junius Brutus et Gaius Cassius Longinus, le Liberalis Circulum. Elle écrivit ensuite une lettre à Bayek, lui contant sa réussite, et lui confia sa nouvelle identité : Amunet.

Bayek, lui, concrétisa la création des Assassins égyptiens avec la création d'un bureau à Memphis. Il recruta plusieurs personnes à sa cause et continua de mettre fin aux injustices subies en Égypte.

Plusieurs années plus tard, Bayek apprit d'Otis l'existence d'un camp romain au nord de Siwa, d'où un général romain prévoyait de soudoyer divers responsables grecs et égyptiens pour mettre en place un réseau de communication en vue de conquérir l’Égypte. Bayek réussit à arrêter le soudoiement, mais découvrit rapidement qu'Otis, qui avait choisi d'aider Ceux qu'on ne voit pas en paiement d'une dette qu'il devait à Aya, avait été assassiné par le général romain Gaius Julius Rufio.

Libération du Sinaï[]

ACO HO promo8 - Tahira Bayek Gamilat

Bayek discutant avec Tahira et Gamilat

En 38 avant notre ère, Bayek reçut un message de Tahira, cheffe de Ceux qu'on ne voit pas dans le Sinaï, l'informant que la région était en révolte ouverte contre les Romains et que deux membres avaient été tués après avoir été pris dans un massacre. La situation devenant de plus en plus intenable, Tahira avait désespérément besoin de l'aide de Bayek.[3]

En arrivant dans la carrière de Klysma, Bayek découvrit que la parole de ses actions passées était devenue une légende à travers l'Égypte.[3] Il rencontra ensuite Tahira, qui lui présenta Gamilat, le chef des rebelles nabatéens locaux et un allié de Ceux qu'on ne voit pas. Ensemble, ils informèrent Bayek des événements récents et le convainquèrent d'assassiner trois des lieutenants du général Rufio.[3]

ACO Kawab défait

Kawab défait par Bayek

Avec ses enquêtes, Bayek réussit à éliminer deux des lieutenants de Rufio, Tacito et Ampelius. Par le même temps, il libéra Osorkon et recruta Shaqilat parmi Ceux qu'on ne voit pas. Avec la mort des lieutenants, Bayek apprit qu'une prime avait été placée sur sa tête, par Kawab, le fils de Taharqa. Kawab cherchait en effet à venger la mort de son père, mais lorsque Bayek le confronta, il réussit à le convaincre d'utiliser sa colère pour un plus grand but, et rejoignit ainsi Ceux qu'on ne voit pas. Bayek continua son enquête pour retrouver le dernier lieutenant de Rufio, et tua Ptahmose. Sa mission effectuée, il retourna au bureau pour rendre compte à Tahira mais trouva la cachette attaquée par les romains et fut capturé.[3]

Amunet entendit parler des événements du Sinaï depuis Rome et vint à la rescousse de Bayek. Ensemble, ils partirent secourir Kashta et Tahira aux mains des romains, mais ce fut trop tard pour Tahira qui succomba à ses blessures dans les bras de Bayek. Bayek et Amunet partirent ensuite à Arsinoé pour éliminer Rufio, qui avait récemment voyagé dans le Sinaï depuis Rome, afin de contrer la menace croissante à ses plans.[3]

ACO Bureau de Ceux qu'on ne voit pas

Bureau de Ceux qu'on ne voit pas

Après la mort de Rufio, Amunet informa Bayek des agissements de Gamilat, qui tuait des innocents pour faire avancer sa propre cause. Bayek affronta le chef rebelle et fut contraint de le tuer lorsque Gamilat refusa de changer ses habitudes. Bayek et Amunet reconstruisirent finalement le bureau dans le haut du Sinaï, dans les montagnes au nord d'Arsinoe, et annoncèrent leur intention d'étendre la confrérie à Petra et en Judée.[4]

La malédiction des pharaons[]

Étrange apparition de Néfertiti[]

En 38 avant notre ère, Bayek reçut une lettre d'Amunet, au sujet de rumeurs sur un artefact qui se trouverait en Haute-Égypte, et fut chargé de le récupérer à tout prix. En se rendant à Thèbes, il fut accueilli par un égyptien aux cheveux roux, Soutekh. Quelques instants plus tard, une apparition de la reine Néfertiti apparut tuant certains soldats. Bayek élimina l'apparition et se demanda si l'artefact pouvait être derrière cela.[4]

Bayek se rendit alors à Louxor pour rencontrer le contact d'Amunet, Merti. Elle lui dévoila qu'une rumeur racontait qu'une relique avait été volée de la tombe d'un pharaon, et serait à l'origine de la malédiction. Bayek partit à Thèbes, et découvrit qu'une vente aux enchères allait être réalisée par Irsu. Il rencontra Tahemet qui lui dévoila que c'était Irsu et ses amis qui étaient à l'origine du vol dans la tombe de Nefertiti.[4]

Bayek se rendit ainsi à la vente aux enchères au sud-ouest de Thèbes où il trouva Irsu gravement blessé et piégé à l'intérieur d'une cage. Son neveu l'avait en effet enfermé et avait volé l'artéfact. Lorsqu'Irsu mourut de ses blessures, Bayek partit à la recherche de ce neveu et le trouva caché à l'intérieur d'une tombe dans la nécropole au-dessus de Set-Ma'at. Il découvrit en fait que le voleur et le neveu d'Irsu étaient Soutekh, qu'il avait rencontré un peu plus tôt à Thèbes.[4]

Le culte d'Akhenaton[]

Bayek se rendit au temple de Karnak pour parler à Isidora afin d'obtenir plus d'informations sur la malédiction. Cette dernière croyait que c'était une punition des dieux pour le pillage de la tombe et les reliques volées. Bayek se chargea alors d'examiner les terres agricoles en dehors de Thèbes, dont les villageois n'étaient pas touchés par cette malédiction. Lorsque Bayek sauva le prêtre Djehouty qui protégeait les villageois de la malédiction, tous deux furent dérangés par la vision du pharaon Akhenaton. Bayek décida alors d'examiner les archives thébaines pour y voir plus clair. Il comprit que le pharaon avait autrefois forcé les habitants à vénérer un seul dieu, une nouvelle religion centrée sur le culte d'Aton. Cependant, une fois le pharaon mort, certains habitants continuèrent en secret à vénérer ce seul dieu, et furent immunisés contre sa malédiction.[4]

Pour arrêter Akhenaton, Bayek tenta de consacrer sa tombe au vrai dieu Amon et dû trouver la statue d'or d'Amon. En se rendant au temple d'Hatchepsout, il fabriqua de la poudre à partir de la statue dorée, puis se rendit dans la vallée des rois où se trouvait la tombe d'Akhenaton. Il y vit les rayons d'Aton briller sur une réplique de la relique, et décida de briser chaque réplique afin d'endiguer cette malédiction. Il déposa alors la poudre récoltée plus tôt sur le trône d'Akheneton, et celui-ci apparut à Bayek. Après avoir vaincu l'apparition, Bayek eut des visions des funérailles d’Akhenaton. Après sa mort, l’artefact recherché par Bayek passa ainsi au successeur d’Akhenaton.[4]

Recherche de l'artéfact[]

Confrontation avec Isidora[]

Note[]

  • Le nom "Bayek" a un lien avec le hiéroglyphe du faucon ou vautour.
  • Il possède une cicatrice qui lui barre les lèvres du côté droit de sa bouche comme celle d'Altaïr, Ezio Auditore da Firenze, Aveline de Grandpré et Desmond Miles.
  • Au niveau des tenues, Bayek est le seul assassin, où il est possible de lui mettre ou non la capuche.

Galerie[]


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