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Le Bûcher des Vanités (en italien : Falò delle vanità) a lieu le 7 février 1497 quand les disciples du moine JGirolamo Savonarola rassemblèrent des milliers d’objets pour les brûler, à Florence, le jour du Mardi Gras.

Les objets visés par cette destruction sont ceux qui poussent au péché, spécialement ceux qui touchent à la vanité, comme les miroirs, les cosmétiques, les robes richement travaillées, les bijoux, les instruments de musique. D’autres objets aboutissent sur le bûcher : livres immoraux, chansons non-religieuses, images licencieuses. Quelques chefs-d’œuvre de la peinture florentine, des nus d’inspiration mythologique de Botticelli sont portés par le peintre lui-même au bûcher.

De tels bûchers ne sont pas une invention de Savonarola, et accompagnaient fréquemment les sermons hors des églises de saint Bernardin de Sienne, dans la première moitié du XVème siècle[1].


Histoire

Le moine Savonarola vola la Pomme d'Éden que l'Assassin Ezio Auditore da Firenze avait réussit à récupérer aux frères Orsi à Forlì[2].

Par son moyen il mit Florence sous son contrôle en une ferveur religieuse extrémiste durant laquelle ses fidèles brûlèrent bon nombre d'objets et d'œuvres d'art jugés provoquant le péché.

Pour en finir avec ce régime de peur que certains au mieux fuyaient ou au pire étaient persécutés, les Assassins Ezio Auditore da Firenze et Niccolò Machiavelli soulevèrent le peuple petit à petit pendant quelques années pour renverser le moine fou. Ezio se chargea de plus d'éliminer les partisans du moine les plus fervents.

Enfin, après avoir été excommunié par le pape Alexandre VI lui-même, Savonarola fut exécuté sur le bûcher qu'il avait lui-même allumé à Florence le 7 février 1497 pour un nouvel autodafé, condamné par le peuple échappé à son emprise et de la Pomme et lassé de son régime tyrannique. Ezio l'acheva avant qu'il ne soit totalement consumé par les flammes. Puis l'Assassin exhorta les Florentins à suivre leur propre voies à chacun et de ne pas suivre aveuglément des meneurs comme le furent les Médicis ou Savonarola, conformément aux croyances de la Confrérie[3].



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