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« Ne laisse jamais la peine peser sur ton âme. La vie est brève et le temps est cruel. Mais moi, je ne suis plus celle que j'étais. J'ai renoncé à tout l'amour que j'ai reçu. »
– Aya dans sa lettre à Bayek.[src]

Amunet (v. 85 AEC - NC) née Aya d'Alexandrie, était une agent de Cléopâtre VII sous la dynastie des Lagides et fondatrice de Ceux qu'on ne voit pas avec son époux Bayek de Siwa, au sein duquel elle en devint l'un des Mentors.

En cherchant à venger la mort de son fils aux mains de l'Ordre des Anciens, Aya et Bayek furent témoins des abus et des caprices sans fondement de cette faction secrète aux ambitions autocratiques, qui avait déjà infiltré les rangs du pouvoir égyptien et romain. Aya joua un rôle central dans la guerre civile pour le contrôle d'Alexandrie, mais fut désabusée après des années de loyaux services auprès de sa reine Cléopâtre qui s'était alliée à Jules César, manipulé par l'Ordre. Lorsque ce dernier fut nommé dictateur à vie de l'Empire romain, Aya se rebaptisa Amunet et concrétisa la création de Ceux qu'on ne voit pas à Rome en s'efforçant de recruter des membres du Sénat pour assassiner l'empereur tyrannique. Elle convainquit également Cléopâtre, quatorze ans plus tard, à se suicider lors du siège d'Alexandrie.[1] Ces actes lui valut d'entrer dans l'Histoire de la Confrérie et d'être respectée par les siens.[2]

Amunet est une descendante directe de Darius et de Kassandra.[3][4]


Biographie[]

Formation de Medjaÿ[]

ACO Maison de Bayek

Maison d'Aya, Bayek et Khemou à Siwa

Née à Alexandrie vers 85 avant notre ère où elle était l'une des membres les plus respectées de sa communauté, Aya était une descendante mi-grecque mi-égyptienne de la mercenaire spartiate Kassandra.[4]

Elle déménagea à Siwa pour vivre avec sa tante Herit, tandis que ses parents restèrent dans la capitale. À Siwa, elle se rapprocha de Bayek, le fils du protecteur de la ville, et formèrent un couple. Le père de Bayek, Sabu, n'approuvait pas leur relation car il savait que le rêve d'Aya était de s'installer à Alexandrie, et craignait que son héritage mixte ne corrompe ses enseignements. Bayek et Aya découvrirent plus tard que Sabu était l'un des légendaires Medjaÿ et que l'Ordre des Anciens le menaçait. Sabu décida alors d'enseigner au couple la tradition Medjaÿ afin qu'elle perdure en eux.[5]

Lorsqu'Aya découvrit qu'elle était enceinte, elle renonça à son rêve de retourner à Alexandrie pour devenir une universitaire. Elle épousa alors Bayek et donna ensuite naissance à leur fils, Khemou. Tous deux enseignèrent par la suite la tradition Medjaÿ à leur fils.[5]

Le complot à Siwa[]

ACO Bibliothèque Alexandrie

Bibliothèque d'Alexandrie

En 49 avant notre ère, l'Ordre des Anciens, désireux de découvrir les savoirs égyptiens et les reliques des anciens dieux, se rendit à Siwa et captura Bayek et Khemou qui était avec lui. Ce dernier tenta de défaire les liens de son père mais Bayek fut contraint accidentellement à tuer son propre fils.[1]

Aya, incapable de faire face à la perte de son enfant unique et à la soif de vengeance de Bayek, retourna à Alexandrie où elle rejoignit son cousin Phanos le Jeune. Là, Aya poursuivit ses études à la Bibliothèque d'Alexandrie, apprenant l'histoire ancienne, la philosophie, les mathématiques et maîtrisant diverses langues. Dans le même temps, elle complota pour assassiner ceux qui travaillaient pour le pharaon Ptolémée XIII, les croyant responsables de la mort de Khemou. L'esprit brillant et vif d'Aya attira l'attention d'Apollodorus, qui la présenta à Cléopâtre.[6] Aya devint par la suite l'une de ses amies proches, ainsi que l'une de ses agents.[1]

Traque de l'Ordre[]

En 48 avant notre ère, Aya identifia Actéon, alias "le Vautour" comme membre de l'Ordre des Anciens, l'organisation responsable de la mort de Khemou. Elle se faufila dans ses quartiers et l'assassina, lui prenant également un papyrus royal. Aya rentra chez elle, mais découvrit que Ktesos, dit "le Bélier", le complice d'Actéon, l'avait suivie et tenta de la tuer par vengeance, mais elle l'élimina en retour. Ses actions attirèrent l'attention de Gennadios, le Phylakitai d'Alexandrie, et devint une criminelle recherchée. Apollodorus, sachant cela, permit à Aya de se cacher sous la bibliothèque d'Alexandrie et communiqua ainsi en secret avec Phanos, qui travaillait dans la bibliothèque et la tenait au courant.[1]

ACO Aya mémoire 4

Bayek essayant la lame secrète

Quelques temps après, Bayek se rendit à Alexandrie à sa recherche, après avoir assassiné Medounamoun et Rudjek, deux autres membres de l'Ordre des Anciens. Phanos fournit à Bayek des informations et des directives sur le lieu où se trouvait Aya, les réunissant ainsi après un an loin de l'autre. Aya informa Bayek de sa situation et de sa conviction que le Serpent, le dernier membre de l'Ordre, travaillait dans la cour de Ptolémée. Elle lui confia alors une lame secrète qui avait été utilisée pour tuer le tyran Xerxès Ier de Perse, lui demandant d'infiltrer le palais royal pour découvrir l'identité du Serpent. Son nom fut finalement révélé plus tard comme étant le scribe royal, Eudoros, que Bayek assassina par la suite dans les bains d'Alexandrie. Mais dans son dernier souffle, Eudoros avoua que son nom de code était l'Hippopotame et que le Serpent était le nom utilisé par l'Ordre lui-même pour se désigner sans éveiller les soupçons.[1]

ACO Bayek Aya 2

Aya et Bayek partageant un moment intime

Parallèlement à l'assassinat de Gennadios, Aya fut libre de parcourir à nouveau la ville et rejoignit Bayek au sommet du Paneum. Pensant avoir enfin vengé leur fils, ils comprirent rapidement que l'Ordre dépassait toutes leurs craintes, et que leur influence s'étendait bien au-delà de leurs régions d'origine.[1]

Cadeau pour Pompée[]

« Nous n'avons toujours pas trouvé l'homme qui a tué Khemou. L'ombre de notre fils pleurera de joie lorsque nous prendrons leurs vies. »
– Aya à Bayek, Cléopâtre et Apollodorus, 48 AEC.[src]
ACO-Aya-mission-pompee

Aya en mission auprès de Phoxidas, pour retrouver Pompée

Aya partit rencontrer Apollodorus et Bayek, ce dernier ayant été présenté à Cléopâtre. Celle-ci révéla à Aya et Bayek que l'Ordre cherchait à contrôler toute l'Égypte, avec des membres contrôlant chaque région. Ils découvrirent alors quatre nouvelles cibles : le Scarabée, la Hyène, le Lézard et le Crocodile. Tandis que Bayek prêta allégeance à Cléopâtre et partit traquer les membres de l'Ordre, Aya, aux côtés de Phoxidas, fut envoyée en mer Égée pour conclure une alliance avec le général romain Pompée, qui fuyait Jules César au milieu de la guerre civile romaine. Lorsque les navires de Ptolémée XIII attaquèrent la flotte de Pompée, Aya et Phoxidas le sauvèrent, puis il accepta l'alliance et se prépara à voyager en Égypte.[1]

ACO-Pompée-et-Aya-alliance

Pompée et Aya

Aya fut, par la suite, envoyée en Méditerranée pour défendre les mers, croisant les Gabiniani, des légionnaires romains laissés en Égypte et partisans de Ptolémée XIII. Aya et Phoxidas réussirent à éliminer la flotte des Gabiniani, avant de se rendre à Heracleion en Égypte. Retournés auprès de Bayek, ils furent attaqués par un Gabiniani du nom de Venator, envoyé par Lucius Septimius pour assassiner Cléopâtre. Après l'avoir éliminé, Cléopâtre envoya Aya et Bayek pour rencontrer Pompée, craignant qu'il soit lui aussi la cible de Septimius. Sur les lieux, ils arrivèrent trop tard et découvrirent Pompée mort, ainsi que son armée.[1]

Cléopâtre rencontre César[]

ACO Ptolémée XIII Cléopâtre Aya

Ptolémée en présence de Cléopâtre et Aya

Sans trop avoir le choix, Aya et Bayek participèrent à un stratagème pour faire rencontrer Cléopâtre à Jules César, en visite à Alexandrie. Celui-ci, alors en conversation avec Ptolémée XIII, fut surpris de voir la sœur du pharaon en ces lieux et apprécia son audace. Ils discutèrent et décidèrent de s'allier pour mettre à terre l'Ordre des Anciens et renforcer leurs deux civilisations.[1]

Le lendemain, Aya rencontra Cléopâtre à l'extérieur du tombeau d'Alexandre le Grand pour y découvrir une entrée cachée. Alors qu'ils enquêtaient sur le sarcophage du roi portant des inscriptions détaillant un sceptre et une sphère, ils furent interrompus par le disciple de César Flavius Metellus, qui les informèrent que leurs émissaires avaient été capturés et détenus à la garnison d'Akra. Aya et Bayek quittèrent le tombeau pour libérer les émissaires, et découvrirent un complot contre César et Cléopâtre.[1]

Guerre civile de César[]

« Où est la justice qu'on nous a promise ? Septimius devait être jugé par Rome ! César protège l'Ordre ? »
– Aya à Apollodorus découvrant la trahison, 47 AEC.[src]
ACO-Aya-bataille-nil-ptolemee

Aya tentant de planter une flèche dans le radeau de Ptolémée, avant de se raviser

Durant la bataille du Nil, en 47 avant l'ère commune, Aya fut chargée d'éliminer Ptolémée XIII. Le repérant près de la rivière essayant de s'évader de la bataille par un radeau, Aya eut l'occasion de tirer une flèche mais décida de laisser les crocodiles s'occuper du jeune pharaon, qui se noya dans les eaux du Nil.[1]

La mort de Ptolémée fit de Cléopâtre la nouvelle reine d'Égypte. De leurs côtés, Aya et Bayek furent furieux d'apprendre que Flavius et Septimius étaient également membres de l'Ordre des Anciens et donc, directement responsables du meurtre de leur fils, Khemou. Les deux hommes étant sous la protection de Cléopâtre et de César, Aya et son mari réalisèrent alors que la reine et César étaient, eux aussi, manipulés par l'Ordre des Anciens. Septimius et César prirent la fuite vers Rome tandis que Cléopâtre rompit tout lien avec Bayek et Aya. Ceux-ci confrontèrent Apollodorus, qui les avaient mis en relation avec la reine au début, et se quittèrent en mauvais termes.[1]

ACO-sarcophage-alexandre-le-grand

Sarcophage d'Alexandre le Grand

Quelque temps plus tard, Aya et Bayek réunirent leurs alliés, Phoxidas, Phanos le Jeune, Tahira et Pasherenptah dans une taverne pour discuter de la situation préoccupante. Aya et Bayek remarquèrent rapidement que le tombeau d'Alexandre le Grand suscitait beaucoup d'agitation au sein de l'Ordre. Ils l'infiltrèrent et tombèrent sur Apollodorus mourant, qui leur révéla que le bras droit de Jules César était le maître suprême de l'Ordre des Anciens : Flavius Metellus, dit « le Lion ».[1]

Celui-ci avait en réalité subtilisé une relique de la Première Civilisation, un bâton qui reposait avec Alexandre le Grand. Apollodorus conjura au couple d'Assassins de mettre fin à cette folie, avant de leur confier que c'était définitivement Flavius qui avait forcé Bayek à tuer Khemou un an plus tôt. Il mourut alors dans leurs bras.[1]

Ceux qu'on ne voit pas[]

« Depuis le début, c'était Flavius. Il a fait venir César et les Romains en Égypte, pour s'emparer du pouvoir absolu. »
– Aya à Bayek, 47 AEC.[src]
ACO La pesée finale 3

Aya devant l'hologramme du globe terrestre

Aya et Bayek comprirent que Flavius avait pour but de retourner là où tout avait commencé, à Siwa, et d'ouvrir la fameuse crypte. Grâce à l'orbe et au bâton, Flavius parvint à manipuler les esprits des habitants de Siwa. Le couple fut sidéré de voir le pouvoir incommensurable que refermaient ces reliques. Leur surprise ne fut que davantage mise à mal lorsqu'ils virent que Flavius avait trouvé le moyen d'ouvrir la porte de la crypte. En effet, la réunion du bâton et de l'orbe en avait permis l'ouverture, et les deux Assassins arrivèrent trop tard pour l'arrêter. Aya et Bayek découvrirent alors les secrets de la crypte de Siwa : une carte léguée par Ceux-qui-étaient-là-avant montrant l'emplacement de toutes les reliques de cette civilisation disparue à travers le monde entier ![1]

ACO Le dernier des medjaÿ 3

Aya et Bayek songeant à leur avenir

Le mari d'Aya partit confronter seul Flavius, le véritable meurtrier de Khemou, et réussit à venger son fils. Aya apprit la nouvelle, et il ne restait alors que César et Septimius en travers de leur chemin. Lorsque Bayek rejoignit sa femme à la bibliothèque d'Alexandrie, celle-ci lui présenta deux nouveaux alliés romains, Brutus et Cassius, et expliqua alors à Bayek qu'elle devait se rendre seule à Rome pour en finir avec eux. En effet, depuis la mort de leur fils, quelque chose s'était brisé en eux. Leur relation avait changé, et même si leur amour pour leur fils les avait guidés vers la vengeance, celle-ci n'avait pas pu les empêcher de se détourner de l'amour qu'ils se portaient l'un envers l'autre.[1]

À cet instant, Bayek et Aya décidèrent de sceller le destin des Assassins, et se nommèrent Ceux qu'on ne voit pas.[1]

Traque à Rome[]

ACO La chute d'un empire, la naissance d'un autre 8

Aya affrontant Septimius

Alors que Bayek resta en Égypte, Aya se rendit à Rome. Elle infiltra le palais de Jules César et y confronta Lucius Septimius, qui aurait dû mourir bien plus tôt. Celui-ci se moqua ouvertement d'Aya, de Bayek et de Khemou et périt de la main d'une mère enragée.[1]

Aya, accompagnée des deux sénateurs Brutus et Cassius, forma un plus grand cercle de quarante sénateurs parmi Ceux qu'on ne voit pas. Elle procéda également à l'amputation de son annulaire.[1]

ACO-Aya-tuant-Jules-cesar

Aya poignardant Jules César

Le 15 mars 44 avant notre ère, Aya et Brutus se rendirent au théâtre de Pompée, pour affronter Jules César, qui devait parler au Sénat avec Septime à ses côtés. Tandis qu'Aya devait combattre et tuer Septime, Brutus et Cassius furent chargés de retarder le discours de César. Par la suite, Aya infiltra le Sénat, où elle fut la première à poignarder César dans le dos. Les sénateurs, y compris Brutus et Cassius se jetèrent sur lui pour l'achever, mettant ainsi fin à sa vie.[1]

Peu après, Marc Antoine utilisa son influence politique pour retourner les citoyens romains contre Aya, Brutus et Cassius. Aya parvint à échapper à la foule et alla assassiner Antoine, qui l'implora d'exposer Brutus au peuple afin que Rome puisse enfin être en paix. Toutefois, avant de pouvoir l'assassiner, Aya fut poursuivie par une autre foule de citoyens romains en colère. Le groupe l'attaqua au sommet d'un aqueduc, et Aya tomba d'évanouissement de ses blessures. Inconsciente, elle fut retrouvée par Brutus et Cassius qui l'emmenèrent dans leur repaire. À son réveil, Brutus lui confia avoir reçut des visions qu'il devait suivre en Crète.[7]

ACO La chute d'un empire, la naissance d'un autre 15

Aya menaçant Cléopâtre

Deux jours après l'assassinat de César, Aya confronta Cléopâtre dans ses appartements, apprenant qu'elle avait eu un enfant avec le tyran, du nom de Césarion. Par respect de leur passé commun et de ce nouvel enfant, Aya menaça simplement Cléopâtre d'être une bonne reine, sans quoi elle reviendrait pour la tuer.[1]

Aya fut par la suite capturée par Marc Antoine et interrogée sur l'emplacement de Brutus et Cassius. Irrité par son refus de trahir ses camarades, il ordonna qu'elle soit jetée dans une arène pour être tuée par des hippopotames. Aya combattit les animaux jusqu'à ce que Brutus et Cassius vinrent à sa rescousse et s'enfuirent tous les trois par une voie d'évacuation sous-marine. Une fois en sécurité, Aya donna sa bénédiction à Brutus de se rendre en Crète.[7]

Nouvelle identité[]

« Bayek, César a été assassiné. Septimius est mort lui aussi. J'ai créé un bureau au cœur de Rome, mais personne ne connaît notre existence. Comme Amon, nous sommes… Ceux qu'on ne voit pas. »
– Aya dans sa lettre à Bayek, 43 AEC.[src]
ACO La naissance du Crédo 8

Amunet à Rome

Un an plus tard, en 43 avant notre ère, Aya écrivit une lettre à Bayek, après avoir obtenu un bureau dans le quartier du Panthéon. Dans sa lettre, Aya renonça à l'amour qu'elle portait autrefois à Bayek et lui confia sa nouvelle identité : Amunet.[1]

Conjointement avec Marcus Junius Brutus et Gaius Cassius Longinus, Amunet créa officiellement la branche romaine de Ceux qu'on ne voit pas.[1]

Le Sinaï[]

« Vous avez trop attiré l'attention, on a entendu parler du bureau jusqu'à Rome. »
– Aya à Bayek, 38 AEC.[src]

En 38 avant notre ère, Amunet fut attirée vers le Sinaï après avoir entendu parler des actions de Ceux qu'on ne voit pas. Elle sauva Bayek d'une exécution et l'aida à secourir Kashta et Tahira, qui furent emprisonnées à Fort Clostra. Après la mort de leur amie Tahira et du général romain Rufio, Amunet avertit Bayek que Gamilat manipulait le peuple pour sa propre cause rebelle. Ils éliminèrent Gamilat, et Amunet aida à créer le premier précepte de Ceux qu'on ne voit pas, afin d'empêcher que les innocents qu'elle et Bayek avaient juré de protéger ne leur soit fait du mal.[8]

Quatre ans plus tard, Amunet reçut un mot concernant un autre artéfact situé dans la ville de Thèbes en Haute-Égypte, et demanda à Bayek d'enquêter sur la nature d'une malédiction qui sévissait dans la région.[9]

Assassinat de Cléopâtre[]

ACO Aya Cleopatra poison

Amunet tendant une fiole de poison à Cléopâtre

Le 12 août 30 avant notre ère, Amunet infiltra le palais d'Alexandrie, pour confronter son ancienne amie et pharaon, Cléopâtre. Avec le siège de la ville par Octave en cours, Amunet exhorta Cléopâtre à démissionner, qu'elle accepta à condition qu'Amunet ramène Césarion avec elle à Rome et le forme comme l'un de Ceux qu'on ne voit pas. Amunet tendit à Cléopâtre une fiole de poison qu'elle prit pour se suicider et partit avec Césarion en direction de Rome.[7]

Expansion de la Confrérie[]

« Nous sommes Ceux qu'on ne voit pas, un titre que nous nous sommes attribué par nous-mêmes. De même que nous nous sommes donné un but : la libération physique et spirituelle du genre humain. Nous nous sommes créé ces ambitions. Par conséquent, pour les atteindre, nous avons besoin de lois pour vous guider. [...] L'efficacité de chaque précepte doit être estimée selon les résultats de sa mise en œuvre. »
– Amunet aux jeunes apprentis, Codex Magas, page IV.[src]

Alors que la confrérie commençait à s'étendre dans tout l'Empire romain, Amunet, qui s'était faite oubliée, prit part à un synode à Alexandrie, invitée par le Magister Hakor. Au sein d'une pièce de jeunes apprentis, Amunet souleva les fondements du crédo et en questionna leur signification. Elle leur rappela notamment que les préceptes qui dirigeaient leur confrérie devaient être suivis rigoureusement afin de guider leurs actions vers de plus grands succès.[2]

Postérité[]

Tombeau d'Amunet

Tombeau d'Amunet à Venise

Bien qu'enterrée aux côtés de son ancien mari dans la Grotte d'Hotep en Égypte[1], un cénotaphe dédié à Amunet fut situé sous la basilique Saint-Marc à Venise, en Italie. À la fin du XVe siècle, l'Assassin Ezio Auditore da Firenze récupéra le sceau de son deuxième tombeau et s'en servit pour obtenir l'armure du légendaire assassin Altaïr Ibn-La'Ahad[10].

À la Renaissance, Amunet fut respectée comme grand assassin et une statue fut érigée en son honneur dans le sanctuaire des assassins de Monteriggioni.[10]

ACO-Layla-Hassan-devant-momie-Aya

Layla Hassan devant la momie d'Aya

En 2017, la chercheuse d'Abstergo Industries Layla Hassan fut envoyée en Égypte pour dénicher un artefact mais elle en profita pour faire ses propres recherches avec son Animus personnel qui lui permit, en branchant des sondes spéciales sur les momies de Bayek et Aya, de revivre leurs mémoires génétiques, un procédé encore inédit jusqu'alors[1].

Notes[]

Galerie[]


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