- « Nous avons la discipline, l'ordre et surtout la passion. Nous y croyons ! »
- – Israel Putnam à ses hommes, 1775.[src]
L'Armée continentale était la force militaire majeure des récents États-Unis lors de la guerre d'Indépendance.
Histoire
George Washington fut élu Commandant-en-chef de cette armée par le Congrès continental en 1775, qu'il avait formé dans le but d'attaquer les forces armées de l'Empire Britannique.
Après six années de combat, l'Armée britannique fut vaincue en 1781. Les forces continentales furent aidées par le Royaume de France, qui leur fournissaient hommes et provisions. Le Royaume d'Espagne et la République des Provinces-Unies les assistèrent grâce à leurs puissance navale, ce qui affaiblit terriblement les Britanniques, qui étaient désormais incapables de contrôler les Colonies.
En 1783, le Parlement Britannique fut contraint d'abandonner ces territoires face à ces puissants ennemis. Le Traité de Paris mit fin à la guerre, mais la Grande-Bretagne possédait encore de nombreuses colonies dans les Bahamas et en Amérique du Nord.
Suite à cette victoire, la plupart des soldats de l'Armée continentale rentrèrent chez eux, et les hommes restants formèrent plus tard l'Armée de terre des États-Unis (en anglais: US Army).[1]
Organisation
L'organisation de l'Armée continentale ressemblait à celle de l'Armée britannique. Leurs soldats standards et leurs brutes étaient armées de mousquets, ces derniers possédaient aussi des haches, les officiers étaient équipés de pistolets et de sabres, tout comme les Jägers, puis les batteurs avaient un rôle de balances.
Les soldats continentaux patrouillaient par groupes de sept ou huit, composés d'un officier, de quatre soldats standard, de deux à quatre grenadiers et d'un batteur.[2]
Notes
- Bien qu'il ait désiré s'allier à l'Armée continentale pendant la Révolution américaine, l'Assassin Connor était toujours vulnérable à leurs attaques.
- Dans La Tyrannie du Roi Washington, l'Armée continentale est mentionnée comme étant l'"Armée du Roi", et ses soldats étaient surnommés les "Tuniques Bleues".
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