Alessandra d'Avanzago était membre de la Confrérie italienne des Assassins de Venise durant la Renaissance.
Biographie[]
Née à Venise dans une famille Patricienne, Alessandra était la première victime d'une infortune alliance de sa famille. Sa mère, Cristina, était une membre mineure de la Confrérie des Assassins pendant que son père, Sebastiano était un riche tenant de terrain.[1]
En 1501, quand Alessandra eut 12 ans, Cristina entraîna son mari dans une conspiration contre le Doge et traître Agostino Barbarigo. Son père fut exilé pendant que sa mère fut capturée par les Templiers et les soldats de Barbarigo. Le Doge décida d'en faire un exemple avec Cristina et coupa la langue à Alessandra pour marquer sa famille dans l'infamie. La mère et la fille furent séparées et Cristina disparut, on ne la revit plus jamais. Des mois plus tard, le Doge contempla sa mort lente, ne pouvant vivre avec ses actes. Il tira sa dernière ficelle, qui était un contact occulte encore en vie dans la Confrérie. Il initia anonymement Alessandra à devenir un Assassin. À 13 ans, elle devint l'une des plus jeune initiée de son temps. Elle grandit en tant qu'Assassin et développa sa propre vision morale autour du credo et du concept de survie.[1]
Elle ne laissa jamais personne la traiter comme une personne de second plan, malgré le fait qu'elle soit muette. Elle passa beaucoup de temps à s'entraîner sans armes ni armures. Bientôt, elle se sentit menacée et rentra dans son instinct de survie, la faisant devenir la plus effrayante et inapprochable Assassin. Elle avait beaucoup de perte de self-contrôle dans certaines situations. Avec sa langue coupée, elle développa un langage combatif qu'elle apprit aux autres Assassins. Ils l'utilisèrent dans leurs missions.[1]
Avec ses amies restreints Bastiano et Béatrice, elle est calme et efficace.[1]
Galerie[]
|