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« Je ne sais pourquoi ils nous ont pris, mais jamais ils ne nous garderont. Je vais m'échapper, Mère, trouver un navire et rentrer. Je ne suis pas du genre à accepter mon destin. »
– Aaminah, dans une lettre à sa mère.[src]
ACP Aaminah 2

Aaminah

Aaminah était une esclave devenue pirate ayant rejoint l'équipage d'Alonzo Batilla au début du XVIIIe siècle.

Biographie[]

Jeunesse[]

« Ils vont nous vendre en place publique, comme des animaux. Nous irons au plus offrant, que nous serons forcés à appeler maître. Mais si jamais Père ne m'a fait l'appeler ainsi, nul ne saura m'y contraindre. Ce soir, nous nous battrons. »
– Aaminah, dans une lettre à sa mère.[src]

Aaminah fut séparée de sa famille par des esclavagistes et prête à être revendue en place publique. Détenue sur l'Isla de la Juventud, elle écrivit un certain nombre de lettres à sa mère analphabète, dans lesquelles elle exprimait son intention de se rebeller contre ses ravisseurs et de rentrer chez elle à bord d'un navire.

Aaminah finit par être placée sur un négrier en partance pour Kingston. Au milieu du voyage, la jeune fille orchestra une mutinerie, qui échoua. On lui administra alors une sévère correction, mais on se refusa à la tuer afin d'éviter un manque à gagner une fois au marché.

Service sous les ordres d'Alonzo[]

Alonzo: "Mais qu'est-ce que tu attends de moi ?"
Aaminah: "De la justice ! Les esclavagistes capturent les miens pour les revendre comme du bétail !"
Alonzo: "Du bétail qui vaut son pesant d'or..."
– Aaminah rejoignant l'équipage d'Alonzo, 1716.

En juillet 1716, Alonzo Batilla neutralisa le négrier sur lequel se trouvait Aaminah. Les esclaves sautèrent par-dessus bord et le pirate leur porta secours, suivant les conseils de son second Jumao. Avide de vengeance envers ses contremaîtres, Aaminah intégra l'équipage de Batilla à condition qu'il l'aide à libérer d'autres esclaves.

En août de la même année, les pirates approchèrent par mégarde de l'endroit où Aaminah avait été retenue esclave. Nerveuse, cette dernière leurs apprit qu'un fort se trouvait dans les environs ; fort qu'Alonzo décida aussitôt de piller. Malgré l'intervention du chasseur de pirate Alvaro, l'équipage vint à bout des défenses du fort et libéra les prisonniers qu'il renfermait. Bien que reconnaissante envers Alonzo, Aaminah critiqua la naïveté de son capitaine, qui se croyait capable de mettre fin à la traite des esclaves.

Au cours des mois qui suivirent, Alonzo et Aaminah prirent d'assaut des dizaines de négriers, si bien que plusieurs marchés d'esclaves de Jamaïque jusqu'à Port-au-Prince durent fermer pendant des semaines. Aaminah quant à elle fut qualifiée de "déesse africaine" tant elle semait la terreur au sein des esclavagistes.

Sur la piste de La Buse[]

Alonzo: "Tu as raison ! Je peux décoder son cryptogramme !"
Aaminah: "D'aussi loin que tu te souviennes, me suis-je déjà trompée ?"
– Aaminah à Alonzo, 1717.

En mai 1717, Aaminah aida Alonzo à décoder une lettre de La Buse, qui avait mystérieusement disparu en possession du Fragment d'Éden. En plaçant la page devant une source de lumière, elle révéla une carte dessinée à l'encre sympathique leur indiquant de se rendre à La Boca del Diablo.

En septembre, Alonzo et son équipage arrivèrent à La Boca del Diablo où ils découvrirent l'épave du Postillon, le navire de La Buse. Après avoir repêché les documents qui s'y trouvaient, ils apprirent que La Buse avait été la cible des Templiers. Furieux, il détruisit un autre fort esclavagiste à proximité et rattrapa le navire d'un certain Barnes, lequel lui apprit que La Buse avait survécu à l'attaque en se servant du Fragment. Barnes leur remit le journal de La Buse, qu'Alonzo et Aaminah s'empressèrent de déchiffrer : La Buse était à Mayaguana, et s'apprêtait à fuir les Caraïbes.

Trivia[]

  • Aaminah est une variante de l'arabe أمن, signifiant "fidèle, digne de confiance".

Reference[]

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