...Et mon sucre ? est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique d'Edward Kenway, revécue en 2012 par un chercheur d'Abstergo Entertainment à travers l'Animus.
Description
Après avoir quitté la taverne, Edward apprit que les cartes et la fiole de sang qu'il avait dérobée à Duncan Walpole avaient été confisquées par les soldats espagnols. Il s'en alla alors les récupérer.
Dialogue
Edward retrouva Stede Bonnet.
- Edward: Désolé d'être parti si vite. On m'a pris pour un autre.
- Bonnet: Ils ont eu la main lourde.
- Edward: Ah, quelle poisse, je suis désolé, tout est de ma faute. J'essaie juste d'éviter que les Espagnols me voient.
- Bonnet: Oh, c'est trois fois rien. Malheureusement, ces soldats ont confisqué mon sucre. Ainsi que vos papiers.
- Edward: Bon sang ! Où ils sont allés ?
- Bonnet: Je n'en ai aucune idée, à mon grand regret. Je crois bien que ces messieurs le savent, mais mon espagnol est (très méchant), alors je... mieux vaut que je m'abstienne.
- Edward: Arrhh ! Viens, on va les suivre, je dois récupérer mes cartes.
- Bonnet: Et mon sucre ?
- Edward: Et j'en ferais quoi de ton sucre ? On verra, mon ami.

Edward et Bonnet suivant les gardes
Edward et Bonnet prirent les gardes en filature.
- Bonnet: Ça ne vous gène pas que je vous suive, Duncan ?
- Edward: Pas tant que tu te tais et que personne ne te voie.'' Bonnet !
- Bonnet: Je crois que je commence à prendre le pli.
- Edward: Silence !
- Bonnet: Je crains qu'ils ne nous aient repérés !
- Edward: Reste derrière !
- Bonnet: Ho... nous devrions peut-être nous séparer pour les tromper.
- Edward: Ça, c'est ta meilleure idée de la journée.
- Marchand: (Bonjour messieurs). Vous êtes en retard.
- Soldat: Oui, monsieur. (Oui). Nous sommes désolés. Notre capitaine nous a retardés.
- Marchand: Vous parlez du capitaine Mendoza ?
- Soldat: Oui. Il est impatient de faire votre connaissance. Mais il doit d'abord assister à... à une pendaison, (Monsieur).
- Marchand: Une pendaison ? Mais... j'adore les pendaisons !
- Soldat: Quelle aubaine, monsieur. Quand nous entendrons la cloche... nous pourrons y aller !
- Marchand: Cela me réjouirait. Surtout si c'est le Capitaine Mendoza qui actionne la trappe. Il doit toujours me payer les esclaves que je lui ai vendus.
Edward espionna leur conversation.

Edward prenant le garde et le marchand en filature
- Marchand: Combien de temps va prendre cette pendaison ? Je n'ai pas l'intention d'attrendre toute la journée.
- Soldat: Elle sera bientôt finie, monsieur. Et dès que le Capitaine Mendoza l'aura pendu, il vous versera votre argent.
- Marchand: J'espère qu'il ne compte pas me payer en reales. Je veux des marchandises. Du tabac. Du rhum. Du sucre.
- Soldat: (Oui, oui !) Nous avons saisi une belle quantité de sucre. La nuit dernière, à un gros Anglais.
- Marchand: Un Anglais ?
- Soldat: (Oui), du sucre des Barbades. De bonne qualité. Nous l'entreposons au castillo. Son propriétaire a provoqué une rixe la nuit dernière. Il a fui en abandonnant son sucre.
- Marchand: Cela conviendra. Vais-je devoir l'accompagner au castillo ?
- Soldat: Non, monsieur. Je pense que le Capitaine Mendoza vous le fera livrer. Oui, c'est certain.
- Marchand: Par tous les Dieux ! Et cette grande brute est le Capitaine Mendoza ?
- Soldat: Non, monsieur. Ça, c'est El Tiburón, l'homme de main du gouverneur Torres.
Edward suivit le Capitaine Mendoza et lui déroba sa clé. Il s'introduisit alors dans les prisons du fort et récupéra ses cartes avant de retourner auprès de Stede Bonnet.

Edward compensant la perte du sucre de Bonnet avec une bourse de reales
- Edward: Désolé pour ton sucre. J'ai fait ce que j'ai pu.
- Bonnet: Oh, c'est sans conséquences. Euh, j'ai une... cargaison suffisante pour tirer profit de ce voyage.
- Edward: Tu vas rester ici longtemps ?
- Bonnet: Quelques semaines, probablement. Puis je retourne à la Barbade, à l'ennui de la vie domestique.
- Edward: Ne te résigne pas à l'ennui. Va à Nassau. Et vis selon tes désirs.
- Bonnet: J'ai entendu dire que Nassau était un vrai nid de pirates. Un endroit des plus sordides.
- Edward: Pas sordide. Libéré.
- Bonnet: Oh, mon Dieu, quelle aventure ce serait. Mais non, non... Je suis un mari et un père, j'ai des responsabilités. La vie n'est pas qu'une simple partie de plaisir, Duncan.
- Edward: Eh, euh, Bonnet. Je m'appelle Edward, en fait. Duncan n'est pas mon vrai nom.
- Bonnet: Ah... un nom secret pour votre petite visite chez le gouverneur.
- Edward: Le gouverneur. Oui. Je crois que je l'ai fait attendre assez longtemps.
Conséquences
Edward récupéra les cartes et la fiole de sang.