Élégante et mortelle est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique d'Aveline de Grandpré.
Description[]
Armée de son nouveau pistolet-ombrelle, Aveline s'en alla sauver le négoce familial des calomnies répandues par leur concurrent, Monsieur Bouché.
Dialogue[]
Aveline rencontra l'un des informateurs de Gérald Blanc.
- Informateur: Psst ! Suivez-moi.
Aveline suivit l'informateur jusqu'à un crieur public.
- Crieur public: Le café de Grandpré couvrira votre visage d'urticaire et vous fera boiter comme un infirme ! Refusez cette mort-aux-rats insipide ! Buvez ce délicieux thé des Indes, l'élixir des gentilshommes !
- Aveline: Qu'est-ce que cela signifie ?
- Crieur public: J'en sais rien, m'dame ! On me paye pour dire ces choses. Je n'sais même pas lire, j'vous jure !
- Aveline: Où est celui qui t'a engagé ?
- Crieur public: À son entrepôt, sans doute. Me faites pas d'mal, j'vous en prie.
Aveline alla à l'entrepôt de Bouché et empoisonna les gardes à l'aide du pistolet-ombrelle.
Bouché présentant ses excuses à Aveline
- Bouché: Ne me tuez pas ! Que voulez-vous ?
- Aveline: Cesse de calomnier de Grandpré. Ferme ton étal, débarrasse le marché de tes pamphlets mensongers et présente des excuses publiques.
- Bouché: Très bien. Je le ferai. Je le jure !
- Aveline: Qu'est-ce que... ? Du café ? Comment te sens-tu ? Un peu nerveux ? Mal à l'aise ?
- Bouché: Vous devez me comprendre. Je suis aux abois. Mes esclaves s'évadent, je perds de l'argent tous les jours et j'ai tout investi dans ce thé. Si les gens se mettent à boire du café, je suis ruiné !
- Aveline: Tous ceux qui utilisent des esclaves méritent de les perdre. Et souviens-toi qu'il y a bien pire que la faillite d'un négoce.
- Bouché: Oui, oui, très bien madame.
Aveline retourna auprès de Gérald Blanc.
- Aveline: Il ne nous causera plus de soucis.
- Gérald: Mieux encore. Il est en banqueroute ! Ses magasins sont à vendre ! Tu pourrais euh... développer ton empire ?
- Aveline: Ça, c'est une idée. Si je rachetais son affaire, je pourrais affranchir ses esclaves et leur payer un salaire.
- Gérald: Une solution certes plus euh... pacifique que celles que... tu réserves d'habitude aux esclavagistes. Je vais dresser une liste des propriétés en vente et demander à mes informateurs de m'avertir de toute nouvelle... opportunité. Tu les verras partout.
- Aveline: Merci, Gérald.
Aveline alla acheter le magasin et rentra à l'entrepôt.
Aveline informant Gérald de la disparition d'autres esclaves
- Aveline: J'ai appris que d'autres esclaves ont disparu. Je pensais que cela s'arrêterait avec la mort du gouverneur d'Abbadie, mais ce n'est pas le cas, Gérald. Et il ne s'agit plus seulement d'esclaves, mais d'ouvriers et d'indigents... Où peuvent-ils bien aller ?
- Gérald: Écoute, je vais envoyer mes informateurs enquêter.
- Aveline: Non. Je m'en charge. C'est maintenant qu'il faut agir.
- Gérald: Puis-je te suggérer de... commencer par San Danjé cette fois-ci ?
- Aveline: Oui. Nous ne résoudrons pas ce mystère dans les beaux quartiers.
- Gérald: Lorsque tu seras prête à partir, viens me retrouver près des docks. Je t'indiquerai un raccourci.
Aveline reprit son apparence d'Assassin et alla trouver Gérald près des docks.
- Gérald: Ah, Aveline ! Rends-toi ici quand tu dois quitter la ville. Je m'arrangerai pour que tes frais soient euh... couverts.
Conséquences[]
Aveline protégea le négoce familial et l'étendit en acheta un nouveau magasin, puis prit un bateau pour le bayou où elle espérait découvrir l'origine de la disparition des esclaves.
Note[]
- Le discours du crieur public critiquant le café des de Grandpré pouvait être entendu dans Assassin's Creed: Rogue.
Galerie[]
