À la taverne est la représentation virtuelle d'une mémoire génétique d'Aveline de Grandpré.
Description[]
Dans l'espoir d'en apprendre davantage au sujet des activités de Rafael Joaquín de Ferrer, Aveline partit interroger Carlos Dominguez.
Dialogue[]
Aveline alla enquêter sur les quais, où elle interrogea l'un des membres d'équipage de Dominguez.
- Marin: Señorita.
- Aveline: Bonsoir. Je suis une "amie" du capitaine Dominguez. Est-il à bord ?
- Marin: À cette heure ? El Capitán est à la taverne, évidemment !
- Aveline: Merci.
Aveline s'aventura dans la Nouvelle-Orléans à la recherche de Dominguez.
- Dominguez: ...Adieu à vous, les filles de Paris, oui adieu à vous, les filles d'Es... d'Espagne. Voilà qui je suis, rien de plus ! Je suis Carlos Dominguez !
- Aveline: Bonjour Capitaine. Ravie de vous revoir.
- Dominguez: Vraiment ? Oui... je vous... je vous connais toutes les trois. Mais vous êtes toujours les bienvenues dans ma cabine ! J'ai bien assez de vigueur pour...
- Aveline: Je ne pense pas que...
- Dominguez: Ou nous pourrions frayer ici même !
- Aveline: Que savez-vous à propos de Rafael Joaquín de Ferrer ?
- Dominguez: J'ai bien peur qu'il ne soit pas invité !
- Aveline: Quelles sont vos relations avec lui ?
- Dominguez: Il me paye pour convoyer des marchandises depuis la Nouvelle-Orléans. C'est tout ce que je fais : naviguer pour de l'argent. Je vogue. On me paye. Dans un sens et dans l'autre... Je vogue. On me paye.
- Aveline: Qu'est-il venu faire ici ? Pourquoi la Nouvelle-Orléans ?
- Dominguez: Je l'ignore. Señor de Ferrer est un homme mystérieux.
- Aveline: Merci pour votre aide, Capitaine.
Aveline rentra chez elle, et alla trouver son père.

Philippe-Olivier parlant à Aveline
- Philippe-Olivier: Aveline, toujours en vadrouille...
- Aveline: Je rentre me reposer, papa.
- Philippe-Olivier: Monsieur Blanc m'a dit que tu avais rendu un fier service à mon négoce... à notre négoce, car ce sera un jour celui de ton époux.
- Aveline: Oh, papa... Tu sais que je préférerais gérer mon affaire plutôt que me marier.
- Philippe-Olivier: Tu es aussi têtue que ta mère, Jeanne. Si seulement elle pouvait te voir...
- Aveline: Elle n'est plus là.
- Philippe-Olivier: Non. Mais peut-être es-tu aujourd'hui en âge... C'est peu, guère plus qu'une page, mais elle provient de son journal. Elle te revient de droit.
- Aveline: Maman... Merci, papa.
Conséquences[]
Aveline en apprit peu au sujet de de Ferrer et rentra chez elle, où son père lui offrit une page tirée du journal de sa mère, Jeanne.
Note[]
- Dans la version PS Vita, la mémoire se passe en 1765, après "Pour le bien de la colonie", mais elle fut déplacée en 1768 dans la version HD.